Ce soir passait sur M6, pour la première fois à la télé française (en clair) Star Wars, ÉPISODE III : La Revanche des Sith qui mettait en lumière le point d'orgue de la saga : le passage du jeune Jedi Anakin Skywalker du côté obscure de la force, devenant ainsi le tristement célèbre Dark Vador.
Je ne suis pas une fan de cette saga, loin de là. Je l'ai déjà dis, mon affection appartient à l'autre saga mythique : Le Seigneur des Anneaux. Les tirades alambiqués de Yoda me font doucement rire mais je n'en respecte pas moins la créativité de George Lucas pour avoir crée toute cette mythologie foisonnante. J'ai fait mon baptême inter-galactique lors de l'une des énièmes rediffusions de la première trilogie, pour les beaux yeux d'Harrison Ford (Ian Solo et Chewbacca : j'adore) mais aussi pour découvrir le mythique bikini de la princesse Leïa et le cultissime "Je suis ton père."
En 2005 lors de la sortie en salle de La Revanche des Sith, les critiques dithyrambiques eurent raison de moi, pauvre mouton. Je suis donc allé le voir avec mon meilleur pote au milieu d'une salle remplie. On se retrouve alors sans défense, assistant à la fin inexorablement tragique des différents protagonistes. Lors du combat final entre Obi-Wan et son jeune apprenti Anakin on ne peu qu'être penné devant la chute du Jedi des propres mains de son maître, contraint et forcé d'en finir avec celui qui a perdu la raison, aveuglé par ses envies de pouvoir dans le but de protéger son amour (Padmé Amidala) là où il a échoué avec sa mère. Hélas, cette soif de pouvoir aura l'effet inverse et conduira le jeune couple à leur perte dans une scène magnifiquement tragique où la mort de Padmé/naissance des jumeaux Luc et Leïa s'entremêle avec la fin d'Anakin Skywalker et sa renaissance en seigneur noir Dark Vador.
Et c'est là la force de Lucas, de nous avoir fait découvrir qui se cachait sous le masque. Le rendant ainsi plus humain pour que lors de sa transformation le spectateur ne puisse éprouver que de la peine devant tant de gâchis. Lors de sa première inspiration sous le masque j'ai pleuré comme un bébé. Et c'est alors avec un œil tout nouveau que l'on re-vois la première saga avec les épisodes 4-5-6.
Je ne suis pas une fan de cette saga, loin de là. Je l'ai déjà dis, mon affection appartient à l'autre saga mythique : Le Seigneur des Anneaux. Les tirades alambiqués de Yoda me font doucement rire mais je n'en respecte pas moins la créativité de George Lucas pour avoir crée toute cette mythologie foisonnante. J'ai fait mon baptême inter-galactique lors de l'une des énièmes rediffusions de la première trilogie, pour les beaux yeux d'Harrison Ford (Ian Solo et Chewbacca : j'adore) mais aussi pour découvrir le mythique bikini de la princesse Leïa et le cultissime "Je suis ton père."
En 2005 lors de la sortie en salle de La Revanche des Sith, les critiques dithyrambiques eurent raison de moi, pauvre mouton. Je suis donc allé le voir avec mon meilleur pote au milieu d'une salle remplie. On se retrouve alors sans défense, assistant à la fin inexorablement tragique des différents protagonistes. Lors du combat final entre Obi-Wan et son jeune apprenti Anakin on ne peu qu'être penné devant la chute du Jedi des propres mains de son maître, contraint et forcé d'en finir avec celui qui a perdu la raison, aveuglé par ses envies de pouvoir dans le but de protéger son amour (Padmé Amidala) là où il a échoué avec sa mère. Hélas, cette soif de pouvoir aura l'effet inverse et conduira le jeune couple à leur perte dans une scène magnifiquement tragique où la mort de Padmé/naissance des jumeaux Luc et Leïa s'entremêle avec la fin d'Anakin Skywalker et sa renaissance en seigneur noir Dark Vador.
Et c'est là la force de Lucas, de nous avoir fait découvrir qui se cachait sous le masque. Le rendant ainsi plus humain pour que lors de sa transformation le spectateur ne puisse éprouver que de la peine devant tant de gâchis. Lors de sa première inspiration sous le masque j'ai pleuré comme un bébé. Et c'est alors avec un œil tout nouveau que l'on re-vois la première saga avec les épisodes 4-5-6.
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