mercredi 31 août 2011

La guerre est déclarée, une bande annonce qui fait envie


Voici un deuxième film français, avec Un heureux événement, qui m'intéresse vraiment. Et comme c'est tellement rare au milieu de la quantité de films anglo-saxons que je consomme en intraveineuse. La guerre est déclarée, qui sort aujourd'hui en France, parle également d'un jeune couple qui s'aime passionnément et décide de faire un enfant. Et c'est là que tout se complique. Ici Roméo et Juliette doivent faire face à la maladie de leur enfant et se battre. J'aime beaucoup la phrase de Roméo "Pourquoi c'est tombé sur nous ? Pourquoi Adam ?" auquel Juliette répond "Parce que l'on est capable de surmonter ça." Cela semble bien caractériser leur joie de vivre et leur envie de se battre en restant positif et happy. Comme quoi on peu sourire à la vie et tenter de conserver la positive attitude (à l'image de l'affiche) sans paraître pour autant simplet. Une belle leçon de vie et de cinéma.
Il s'agit du second long métrage de l'actrice-réalisatrice Valérie Donzelli (YEHHHH UNE réalisatrice), qui a été projeté en ouverture de la Semaine de la Critique du Festival de Cannes 2011. Le film a aussi remporté le Prix du jury, le Prix du public et le Prix des blogueurs au Festival Paris Cinéma 2011. Ce qui me laisse à penser que je ne me trompe pas en pariant sur ce film. Vivement qu'il arrive jusqu'au Québec.

La tempête tropicale Irène sur NYC présenté d'une façon poétique

Alors que sur Montréal nous avons ressenti un peu le passage de cette fameuse tempête à raison d'une importe pluie continue tout au long de la journée de dimanche accompagné d'un FORT vent qui aura eu raison de nombreux parapluies, Irène s'est montré bien plus violente sur la côte est américaine et notamment à NYC où le métro à été fermé par précaution et les habitants invités à rester chez eux. Voici une vidéo fait par Buffalo Picture House.

Irene NYC from Buffalo Picture House on Vimeo.

Quote of the Day aka Citation du Jour_n°087


Une citation pleine de bon sens, que j'ai découvert via le Tumblr JensineTea. J'adore encore plus ce cher Stephen. Prends ça Twilite et VIVE Harry Potter !

mardi 30 août 2011

In Time, international trailer


Après moultes bandes annonces déjà présentées ici et , voici maintenant l'international trailer qui montre beaucoup plus de Olivia Wilde et du pourquoi du comment elle courait dans les précédentes bandes annonces. Dommage. Toujours autant envie de voir ce film. Même encore plus.

dimanche 28 août 2011

Snow Patrol : Called Out In The Dark, le clip

Premier extrait, intitulé Called Out In The Dark, du sixième album du groupe irlando-écossais Snow Patrol qui sortira le 5 septembre prochain. Comme toujours on retrouve le chanteur Gary Lightbody, qui se fait cette fois voler le micro par Jack Davenport (qui fait partie du casting de la nouvelle série de la NBC Smash qui sera diffusé en février 2012) dont je suis particulièrement fan de sa voix quelque peu rauque que l'on ne peut entendre ici. Dans le rôle de la réalisatrice du clip on retrouve Tara Summers, qui tente de maîtriser un Gary qui n'apprécie pas trop d'être mis sur la touche.

samedi 27 août 2011

Colorful de Keiichi Hara, l'affiche française

Juste parce que je trouve cette affiche vraiment très belle et floralement lumineuse.


En guise de seconde chance, un esprit se retrouve réincarné dans le corps d’un adolescent, Makoto, miraculeusement réanimé après son suicide. Mais pour rester sur Terre, l’esprit devra passer les épreuves de la vie, sous la surveillance d’un ange…


Quote of the Day aka Citation du Jour_n°086


Brian Johnson: Dear Mr. Vernon, we accept the fact that we had to sacrifice a whole Saturday in detention for whatever it was we did wrong. What we did *was* wrong. But we think you're crazy to make an essay telling you who we think we are. You see us as you want to see us... In the simplest terms, in the most convenient definitions. But what we found out is that each one of us is a brain...
Andrew Clark: ...and an athlete...
Allison Reynolds: ...and a basket case...
Claire Standish: ...a princess...
John Bender: ...and a criminal...
Brian Johnson: Does that answer your question?... Sincerely yours, the Breakfast Club.

Fin du film culte de 1985 The Breakfast Club. Vidéo ici.


Mais personnellement, j'adore cette phrase de Andrew (aka sport boy) : We're all pretty bizarre. Some of us are just better at hiding it, that's all. Pour (beaucoup) plus de citations, je vous conseille d'aller faire un tour sur l'imdb du film.


Et pour finir, un peu de graphisme avec une affiche crée par Jay Ryan, que vous pouvez acheter via le site PosterCabaret.com.

mardi 23 août 2011

Emmy Rossum & William H. Macy dans LA Confidential magazine, septembre 2011


En attendant de retrouver la géniale série Shameless janvier 2012, voici quelque photos, par Art Streiber, aux antipodes de leurs personnages, dans le numéro de septembre du magazine US Los Angeles Confidential des acteurs Emmy Rossum & William H. Macy.

Quote of the Day aka Citation du Jour_n°085


« Au Paradis (dernier balcon) des théâtres, les gens du peuple (le vrai public) faisaient alors le succès ou l’échec des drames, des mélodrames et des pantomimes qu’on jouait tout au long du Boulevard du Crime. »

“In paradise (upper balconies of theatres), the working class (the real audience), watched as plays, melodramas and pantomimes succeeded or failed, along the Boulevard du Crime.”

Jacques Siclier, au sujet du film Les enfants du Paradis,
de Marcel Carné et Jacques Prévert, Le Monde, 4 janvier 1974.

Une autre citation que j'ai découvert via mon travail pour le magazine DS, qui vient s'ajouter à celle de Muhammad Yunus.

Margin Call, trailer de la crise financière de 2008


Un film au casting incroyable au service d'un film sur les prémices de la crise de Walt Street de 2008 : Kevin Spacey, Paul Bettany Jeremy Irons, Zachary Quinto (le génial méchant Sylar dans la série Heroes que l'on se met à voir plus au cinéma notamment prochainement dans la romcom What's Your Number?), Penn Badgley (Brooklyn Boy Dan Humphrey dans la série Gossip Girl et l'année dernière dans Easy A avec Emma Stone), Simon Baker (le héros de la série The Mentalist), Mary McDonnell, Demi Moore et Stanley Tucci. Le film est écrit et réalisé par J.C. Chandor et fût présenté au Festival de Sundance. Il sort en salles le 21 octobre prochain aux USA.

lundi 22 août 2011

The Help - My Review


Synopsis (Cinoche) : Eugenia est une jeune journaliste blanche qui cherche à recueillir les témoignages positifs et négatifs de domestiques noires afin de publier un livre. Personne ne veut lui répondre : le climat des années 1960 au Mississippi n'étant pas toujours propice à ce genre de confessions. Elle arrive tout de même à convaincre Aibileen, qui est toujours amère après la mort de son fils, et Minny, qui a la réputation de répondre à ses employeurs. Au fil des rencontres, une amitié se forge entre ces trois femmes qui devront affronter les réactions mitigées de leur entourage.


Que dire sur ce film si ce n'est que j'ai pas un MERVEILLEUX moment devant. Un casting féminin absolument 5 ÉTOILES (comme avec Bridesmaids), à commencer par le trio de tête. Emma Stone est la raison première pour laquelle je me suis intéressé à ce film à la base. C'est bien simple, je suis un peu amoureuse (cinématographiquement parlant) de cette demoiselle, et ce depuis que j'ai vue une interview d'elle sur YouTube où j'ai adoré son franc parlé et son naturel, si rare à Hollywood surtout pour une fille de son âge (elle n'a que 22 ans). Elle m'a eu progressivement avec ses films depuis Super Bad et Super blonde - The House Bunny, puis Zombieland. Mais c'est surtout avec Easy A (son premier rôle titre) l'année dernière qu'elle m'a définitivement eu à sa botte. Son jeu d'actrice et ses mimiques sont vraiment rafraîchissants au milieu de toutes les blondes peroxydés hollywoodiennes de son âge. J'ai d'ailleurs été surprise de découvrir qu'elle était si jeune car dans sa façon de s'exprimer et de se comporter tendaient vers le contraire. Cet été, nous avons pu la voir au début du film Friends With Benefits, où elle a le privilège de rompre d'avec Justin Timberlake, puis Crazy, Stupid, Love (dont je n'ai que trop tardé à faire la critique) où elle a la CHANCE de jouer le love interest du personnage du plus que charmant et talentueux Ryan Gosling.


À ses côtés Viola Davis dans le rôle de la maid Aibileen Clark, prête à risquer le tout pour le tout en témoignant de sa condition est à la fois charismatique, touchante, sensible, apeuré. Elle nous donne une prestation à la hauteur de celle qu'elle avait déjà donné par le passé dans Doubt, face à Meryl Streep.


Enfin, Octavia Spencer est absolument RENVERSANTE. Elle vole chacune de ses scènes aux autres membres du casting. C'est un véritable électron libre, une boule d'énergie en roue libre qui vous faire rire à presque chacune de ses apparition. Mais elle sait aussi se montrer touchante et sensible quand il le faut. J'espère qu'on lui proposera encore d'autres grands rôles dans ce genre-là car elle le mérite vraiment.


Mais le reste des dames de ce casting ne sont pas en reste. Je commencerais notamment par Jessica Chastain, qui nous donne une prestation aux antipodes de son personnage plein de grâce et de retenu du dernier Malick, The Tree of Life. Ici, elle est tantôt pimpante, souriante, hilarante, en pleurs et emprunt de subtilité. Une jolie performance qui sait tenir tête à la maid Minny Jackson (Octavia Spencer), ce qui n'est pas une mince affaire. Ensemble, elles forme un superbe duo. Pendant tout le film, son visage m'était familier sans que j'arrive à la replacer. Elle est vraiment géniale et pleine de fraîcheur durant le film. Celia Foote est rejeté par les bourgeoises blanches (comme les maid noires) qui la trouve de trop petite vertu pour elles.


Difficile de ne pas mentionner Bryce Dallas Howard, tant elle joue à la perfection la "méchante" de l'histoire. Elle aussi nous donne un jeu fort inspiré, bien meilleur que sa prestation dans le Twilight 3, Eclipse. L'excellence appelle l'excellence. Ici, elle est à la hauteur de son brushing et passe de la colère à l'arrogance en un tour de main, en faisant un petit détour par la folie colérique et l'émotion. Car oui, finalement Hilly Holbrook a un cœur. Ces scènes majeur, entre la collection de cuvettes de toilettes sur son jardin et la "dégustation" de la tarte au chocolat : HILARANT !!!!
Sans oublier ses fidèles acolytes dans le film, Anna Camp (Jolene French) vue notamment dans True Blood, saison 2 et Ahna O'Reilly (Elizabeth Leefolt).


Sissy Spacek qui joue la mère de Hilly et que l'on croit être beaucoup à côté de la plaque au début du film, voulant porter un gros manteau en plein été. Et puis finalement on s'attache à elle, comme Minny la fait avec les années. C'est mignon de voir d'ailleurs comment elle veille sur elle. Non comptant d'élever les enfants, ces maids veillaient également sur les anciens. Il n'y a bien que entre les deux que les gens n'avaient hélas plus de respect pour elles. Au file de l'histoire elle se montre de plus en plus piquante, surtout alors que sa fille la mise dans un asile de vieux. Le summum étant quand elle assiste hilare à la scène de dégustation de la fameuse tarte au chocolat, recette spéciale concocté par Minny pour son ex-patronne. La salle était pliée de rire et moi avec. J'en pleurais littéralement de rire, comme le personnage de Spacek.

Sans oublier les quelque apparitions téléphoniques de Mary Steenburgen (la série Joan of Arcadia, le film The Proposal et beaucoup d'autres).


Enfin, mais non des moindres, dans le rôle de la maman de Skeeter Phelan (Emma Stone), on retrouve Allison Janney que j'ai découverte dans la série À la maison blanche (The West Wing) et qui a depuis toujours le don pour choisir des rôles haut en couleurs et des plus que diversifiés. Celui-ci ne déroge pas à la règle.

L'auteur, Kathryn Stockett, dans un caméo dans une scène du film.

Tout ce casting majoritairement féminin pour une fois (ce qui est suffisamment rare à Hollywood pour le signaler) est le grand atout de ce film. Je n'ai pas lu le livre de Kathryn Stockett, dont est adapté l'histoire mais je compte bien régler cet impaire dès que je le trouverais à la bibliothèque de Montréal. Mais sinon, nous avons quelque apports masculin dans le film avec notamment Mike Vogel (déjà vue dans Cloverfield, She's Out of My League, Blue Valentine) dans le rôle du mari de l'exubérante Cella Foote et Chris Lowell (les séries Veronica Mars et Private Practice) en temps qu'amoureux de la jeune journaliste Skeeter. Mais avant cela, la scène de leur premier rendez-vous calamiteux est tordant. Isn't that what all you girls from Ole Miss major in - professional husband hunting? Tout comme leur deuxième rencontre : I've never met a woman who says exactly what she's thinking. Auquel Skeeter répond : Well, I got plenty to say.


CONCLUSION : c'est un très beau film baignant dans les années 60 avec son lot de jolies robes à fleurs et décors vintage mais aussi et surtout de ségrégation raciale, qu'elle se finisse dans le sang ou au travers d'une remarque acerbe par une blanche housewive, elle fait tout aussi mal. Et je conseille vraiment aux gens de voir ce film car j'ai réalisé en le voyant combien je suis une petite blanche dans un monde de blancs qui n'a pas eu a affronté tout ce genre de choses tout simplement parce que ma peau est plus claire. Comment avons nous, avec nos pigments plus claires, décrétés un jour que nous allions asservir ceux qui étaient un peu plus foncé que nous ? De quel droit ?!? Nous sommes tous identiques à l'intérieur pourtant. Certes maintenant les noirs et les blancs partagent les même bus et les même toilettes, et le président américain est noir. Mais la société se montre telle pour autant plus tolérante ? Parfois je me pose encore la question. Surtout en France, où avoir un présentateur noir au journal de 20H est un mini exploit. Encore beaucoup de chemin reste à parcourir pour que tout homme naisse libre et égau en droit sur cette terre.
Pour finir sur une note plus positive, je reprendrais les mots du personnage d'Octavia Spencer (Minny Jackson) : Eat my shit. Pour comprendre, voyez le film, vous en serez quitte pour une énorme crise de fou rire. Et les mots de Aibileen Clark (Viola Davis) à la petite fille dont elle s'occupe : You is kind. You is smart. You is important.
Et une autre citation de Minny Jackson, à sa nouvelle boss, Mrs. Foote, cette fois : Fried chicken just tend to make you feel better about life.
Pour d'autres excellents morceaux choisis, allez faire un tour sur le imdb du film.

Quote of the Day aka Citation du Jour_n°084

C'est un clin d'oeil au premier billet de 20US$
que j'ai eu entre les mains, à la caisse du metro hier.

It is society that makes the poor.
When people are allowed to unleash their creativity,
poverty will disappear.

(C’est la société qui fait les pauvres.
Lorsque les gens sont autorisés à libérer leur créativité,
la pauvreté disparaît.)

Muhammad Yunus, né le 28 juin 1940 à Chittagong.
C'est un économiste et entrepreneur bangladais connu pour avoir fondé la première institution de microcrédit, la Grameen Bank, ce qui lui valut le prix Nobel de la paix en 2006. Il est surnommé le "banquier des pauvres".
Dixit le travail que je fais en ce moment pour la mise en page de la revue DS (Développement Social), pour un article intitulé "Faire de la finance autrement" (Alternative financing).

vendredi 19 août 2011

DRIVE, nouvelles affiches et bande annonce vostfr


Et encore un peu plus de cinéma, mais avec une touche de graphisme typographique cette fois, avec cette affiche du film DRIVE. Toute épurée et délicate. Aux antipodes de ce que laissait entrevoir la bande annonce. Elle met en avant le fait que le film a été récompensé au dernier Festival de Cannes. Ryan Gosling ressemble ici à un mix de James Dean/Montgomery Clift/Steve McQueen.
Et pour compléter le tout, voici d'autres posters. Le premier à l'occasion du Festival de Cannes, avant que le réalisateur remporte le Prix de la mise en scène. Puis le poster italien, le poster que le poster français que perso je trouve superbe, tout comme le poster américain. Et pour terminer, le poster anglais.


Et une nouvelle bande annonce avec sous-titres français et nouvelles images à la clef. J'ai définitivement trop envie de voir ce film.

Like Crazy, une jolie histoire anglo-américaine


C'est par l'intermédiaire du blog IntoTheSreen que je viens de découvrir la bande annonce de ce film, et je dois dire que mon intérêt est plus que piqué. Cela me fait pensé au film One Day (que j'ai l'intention d'aller voir prochainement, même si les critiques n'ont pas l'aire excellentes) et le titre me rappel la comédie Crazy, Stupid, Love (dont il serait temps que je poste la critique ici).
J'adore les deux acteurs : l'américain Anton Yelchin (excellent dans Charlie Bartlett, Terminator Salvation, New York, I Love You) et l'anglaise Felicity Jones (que j'ai découvert dans l'adaptation de 2007 de Northanger Abbey pour la chaîne anglaise ITV).
Et puis ce mix USA/UK je suis preneuse. À vrai dire, surtout des images de London avec ses bus rouge et ses rues si charmantes qui me rappel de beaux souvenirs et combien je suis tombé en amour avec la ville. J'espère pouvoir y retourner prochainement. À choisir, j'ai plus envie de retourner là-bas que de rentrer en France. En attendant, je pourrais toujours me regarder Like Crazy à sa sortie fin octobre prochain. Décidément la liste de films intéressants qui sortent à la rentrée commence à s'étoffer de plus en plus. Vive le cinéma !



The Good Wife, saison 3 : premiers trailers ENFIN

Après vous avoir présenté le premier poster, puis le deuxième, voici ENFIN les premiers teasers-trailers à se mettre sous la dent. Je ne sais pas vous, mais je suis tout éxité. Je me rends compte que j'ai vraiment hâte de retrouver la série, et encore plus en voyant la direction qu'elle prend. C'est vraiment la meilleure série actuellement diffusée. Espérons que cette nouvelle saison sera toujours d'aussi bonne qualité. En tous les cas, vivement, j'ai hâte de retrouver la galerie de personnages plus géniaux les uns que les autres. Bring in on!
Les trois premiers teasers recyclent des images des saisons précédentes alors que le dernier distille quelques images inédites. Pas assez, mais de quoi tenir bon gré mal gré jusqu'à fin septembre prochain.







MONEYBALL, affiches et une première bande annonce TRÈS prometteuse


Synopsis : Le film est l'adaptation du livre « Moneyball: The Art of Winning an Unfair Game » de Michael M. Lewis, lui même basé sur une histoire vraie. L’histoire tourne autour de l’équipe de baseball d’Oakland Athletics et son entraîneur Billy Beane, dont l'objectif était de faire gagner son équipe malgré un budget moins important que celui des autres, en se basant sur les statistiques.



Autant dire que la présence de Brad Pitt, écrit en gros sur l'affiche, ne m'avait pas donné envie jusqu'à maintenant de m'intéresser à ce film. Mais la dernière fois que je suis allé au cinéma, j'ai eu le droit à la bande annonce de ce film et je dois dire que j'ai ADORÉ. Maintenant cela fait définitivement partie de mes attentes de la rentrée. La musique qui plane au dessus du trailer est enivrante et me fait penser à la merveilleuse série Friday Night Lights. D'ailleurs toute cette histoire de coach qui va au delà des conventions et créé de toutes pièces une nouvelle équipe, c'est le Coach Eric Taylor avec les Lions. Certes Brad Pitt n'est pas Kyle Chandler, personne n'est parfait, mais néanmoins sa prestation donne envie d'en voir plus. Pour ne serais-ce que retrouver un peu ce bonheur que j'ai éprouvé devant les 5 saisons de FNL. Même si ici c'est du base-ball et non du football américain, cela revient du pareil au même pour nous Français qui somment restés assez hermétiques. Mais si le coach Taylor a su me faire aimé et un peu plus comprendre le football, peut être que le coach Beane sera me faire découvrir le base-ball. Réponse septembre prochain ici et novembre pour les français de France.



Personnellement je préfère la première affiche, à celle ci-dessus, qui montrait bien le conflit auquel doit faire face le personnage de Pitt pour bâtir son équipe en faisant fi des conventions. La nouvelle met trop en avant sa star. C'est fini ça les films qui attirent juste pour ce critères. En co-star on retrouve également Jonah Hill, qui en a fait du chemin depuis Super Bad, ainsi que Philip Seymour Hoffman (qui avait déjà travaillé sous la direction de Bennett Miller, dans Capote) et Robin Wright. L'aperçu de la réalisation dans la bande annonce fait très envie. Le film a l'aire très beau visuellement.

jeudi 18 août 2011

Harry Potter and the Deathly Hallows, part 2 - My Review un poil déçue


Juillet dernier, une nouvelle GRANDE saga s'est achevée. Cela faisait si longtemps que Harry nous tenait compagnie que l'on en avait presque oublié qu'il devrait nous quitter tôt ou tard. Et ce jour est enfin arrivé, hélas. Place maintenant à ma critique, que je n'ai pas arrêté de repoussé car cela n'est pas une mince affaire à écrire. Non pas pas à cause de la tristesse mais plus à cause de la déception engendré suite au visionnage. Il me fallait donc le revoir pour réussir à mieux le juger et l'apprécier. Je vous préviens, la lecture va être longue, mais en même temps ce n'est pas tous les jours que l'une des plus grandes sagas cinématographiques s'achève.
En effet, contrairement aux critiques dithyrambiques à travers le monde, autant dire que pour ma part j'ai été un peu déçue. OK, c'était passionnant, tous les acteurs étaient au summum de leur art. On ressentait pleinement leur engagement complet pour rendre ce final le meilleur possible. Même le jeu de Daniel Radcliffe était parfait. Il m'a impressionné pour le coup. Rien à redire, si ce n'est... qu'il était temps.


Néanmoins, je reste quelque peu sur ma fin. Le part1 restera meilleur à mon goût. Il prenait le temps de mettre les choses en place et de respirer alors qu'ici tout s'enchaîne sans temps mort au détriments de certains passages qui auraient mérités d'être plus développé. Bien sûr l'histoire/le rythme (beaucoup plus soutenu) n'est pas le même, mais cependant parfois quelque pauses auraient été salutaires. Néanmoins la réalisation de David Yates était encore une fois excellente. Rien à redire à la photographie de Eduardo Serra. Certains passages ont bénéficié d'un excellent montage (Bravo Mark Day), alternant entre Harry, Ron & Hermione, et le reste de la bataille ; ou encore le pourquoi du comment de l'engagement de Snape... superbe Alan Rickman (as always).
Mais avec le recul, j'apprends à aimer cette deuxième partie. Je n'en garde que le meilleur. Sachant à quoi m'attendre, le deuxième visionnage était plus agréable, moins frustrant, même si l'ambiance de la salle n'était plus la même des débuts.

Commençons donc par les choses qui fâchent :
-- Premièrement le combat final entre Harry Potter et Voldemort, que l'on attend depuis tant d'années. Mais qu'est ce que c'est que ce saut dans le vide et ces moultes confrontations un peu partout dans le château ? Où est donc passé le long monologue de Harry face à Tom Jedusor, se tournant autour, au milieu de la salle à manger de Poudlard entouré des combattants de tout bord qui n'en perdent pas une miette ? Où est le passage où Harry explique combien Voldemort avait tout faux concernant Severus Snape ??? Ce passage dans le livre était magique, électrique, palpitant, passionnant. J'en perds les superlatifs. Hors ici, il ne s'agit qu'une scène d'actions avec pléthore d'effets spéciaux comme le cinéma hollywoodien en fait tant. C'est la GROSSE déception de ce film. Toute cette attente pour ça. Une des rares mauvaises décisions de David Yates qui m'aura déçue. Mike Newell aura raté la résurrection de Mister V, Yates sa mort. À croire que Voldemort aura donné trop de fils à retord aux réalisateurs en charge.


-- Ensuite le passage à la cabane aux coquillages et le bank robbery de Gringotts sont tellement passé vites qu'ils en sont presque anecdotiques.


-- Le temps d'antenne de Lupin et Tongs est totalement sacrifié au profit de the big picture. Aucune allusion à leur enfant avant leur mort. Quelques phrases auraient été toujours mieux qu'un effleurement de main, avant de découvrir leur corps sans vie avec Harry. Pour la grande fan des deux personnages, surtout Lupin depuis son entrée dans le monde d'Harry dans The Prizonier of Azkaban, c'est une réelle déception. Et encore, lui au moins à le droit à quelque réplique, contrairement à sa femme qui fait juste de la figuration.


-- La mort de Fred dont nous avions tout vue dans un spot tv. Pas de dialogues. Un pauvre ralenti pour nous contenter. Cela aurait été l'occasion parfait pour donner un peu de texte à Percy et le réintroduire dans la famille du même coup. Cela n'a rien à voir avec la scène dans le livre qui était d'une force insoutenable. Et au moment où nous découvrons en même temps que Ron le corps sans vie, il n'est à aucun moment exprimé lequel des deux jumeaux est mort. Il existe des personnes qui n'ont pas lu les livres (si c'est ça existe encore) et pour qui cela restera un mystère. C'est un membre de la famille Weasley bordel !!! On les côtoie depuis pratiquement la toute première page de l'histoire, depuis ce fameux quai de gare où les jumeaux taquinent leur mère sur le fait qu'elle ne sait pas les différencier... Une tout autre époque, dure à revoir maintenant. Les Weasley sont comme pour Harry, un peu de notre famille. Perdre l'un des leurs, c'est comme nous transpercer en plein cœur. Et une telle blessure aurait mérité un traitement plus juste.


-- Le baiser entre Harry et Ginny. Il n'y a pas d'alchimie entre les acteurs et ça se voit, que ce soit dans le 6 ou dans le 7 part 2. Ils ne peuvent pas avoir à chaque fois George, pour relever le niveau, comme dans le 7 part1. Encore plus comparé à celui entre Ron/Hermione, c'est le jour et la nuit.

-- La mort de Voldemort et de Bellatrix dont le corps se transforme en poussière. Alors que dans le livre, ce dernier reste inerte mais bien palpable, concret. On réalise d'autant plus qu'il ne s'agissait que d'un être humain, comme vous et moi. Tandis que là dans le film, il disparaît un peu trop facilement. C'est une mort de cinéma dirons-nous, mais c'est un peu trop facile/prévisible.

-- Pas plus de Oliver Wood que ce que l'on voit dans la bande annonce. Les personnes pas suffisamment attentives (ou pas fan à tendance compulsive comme moi) seront passé à côté du clin d'œil, mais pour les autres déception.

Les points positifs :
-- Le kiss entre Ron et Hermione attendu depuis beaucoup TROP longtemps est bien mieux que dans le livre, sans la chandelle Potter pour gâcher la fête. Dommage néanmoins que la tête de Ruper Grint nous cache tout le spectacle.


-- Neville BAD ASS Longbottom. Ce personnage connaît ENFIN son moment de gloire. Celui qui aurait pu être le chosen one brille enfin de tout le talent qu'il avant en lui depuis toujours sans savoir comment faire. Maintenant que Harry et sa clique ne sont plus à Poudlard, c'est au tour du trio bis, Neville-Luna-Ginny de régner en mettre pour notre plus grand bonheur.


Néanmoins Neville reste Neville et il n'est donc pas à l'abri de quelque ratés (première tentative de destruction de Nagini) et discours guimauve ("Harry n'est pas mort en vain..."), mais il sait se montrer néanmoins un fameux guerrier pendant la bataille entre sur le pont et sa deuxième tentative de destruction du serpent MAGNIFIQUE. Et puis il assure quand même, tenant tête à Voldemort, armé de l'épée de Gryffyndor. Même claudiquant, il en impose pas mal. De toute façon il était promis à de grandes choses et ce dès le premier. Rappelez-vous lorsque Dumbledore accorda dix points à Gryffindor en disant qu'il est difficile de tenir tête à ses ennemis, mais encore plus à ses amis. Tant de chemin parcouru depuis Mister Longbottom.
Et puis l'entorse au livre quand, au milieu de la bataille, il ressent le besoin de déclarer son amour à Luna "since we’ll probably both be dead by dawn", parfait pour les shippers du couple comme moi. Même si, de la bouche même de Rowlings, ils ne finissent pas ensemble. C'est un petit guilty pleasure.


-- Madame Weasley combattant face à Belatrix et lui balançant son fameux "Not my daughter you BITCH!". J'ai exulté littéralement de joie dans la salle. Depuis le temps que j'attends d'entendre cette ligne, ayant peur qu'ils la coupe au montage. Définitivement plus pour les enfants ce film.


-- L'ultime face à face entre Snape et Voldemort d'une grande violence difficilement tolérable même si tout est suggéré à travers une vitre. Le trio retranscrit parfaitement la terreur qui nous habite. Et ensuite l'au-revoir du professeur à Harry "you have your mother's eyes". Sans parler de la magnifique succession de moments de la vie de Rogue que Potter découvre dans la pensine. Un excellent travail de réalisation et de montage qui atteint son paroxysme lorsqueRogue découvre le corps de Lilly sans vie sous les yeux du bébé en pleurs. La scène m'a fait pleurer à chaudes larmes. Excellent travail de Alan Rickman toujours aussi impeccable mais qui peu ici nous montrer encore plus de son talent. Ce personnage était définitivement bien plus qu'un professeur arborant le même sinistre durant tout ce temps.


-- Après donc que Harry a vue les souvenir de Rogue, le silence prends de nouveau place, intensifiant la scène alors que le personnage a appris en un minimum de temps que Rogue (comme Dumbledore l'avait dit) a toujours été de son côté, a aimé toute sa vie sa mère (Always), que son patronus était le même que celui de Lilly Potter et que c'est donc lui qui avait déposé l'épée dans la mare dans le part1, et enfin que Harry a été maintenu en vie jusqu'à maintenant (like a pig) pour pouvoir mourir au bon moment de la main même de Voldemort. Cela fait un peu beaucoup à encaisser pour une seule personne. D'où le silence parfaitement approprié qui rend la scène encore plus percutante, au milieu du capharnaüm de la bataille, et ajoute de la puissance au jeu de Daniel Radcliffe déjà très bon comme dans tout le reste du film (cela me fait bizarre de le dire, mais c'est la pure vérité).

-- Luna qui tient tête à Harry en se faisant entendre pour la première fois haut et fort. Vive Luna ! Sans parler que c'est grâce à elle qu'ils savent que c'est le diadème de Rowena Serdaigle qu'il faut chercher. Et en plus elle sait également à qui s'adresser pour le retrouver. She's the best. Evanna Lynch, à l'image de son personnage, a su se montrer attachante dès son arrivé dans la mythologie dans le 5e tome/film et gagner instantanément la sympathie du public. J'espère vraiment que l'actrice va continuer dans la voie de la comédie et que nous aurons d'autres occasions de la voir jouer, pourquoi pas, des rôles à l'opposé de la rêveuse Luna.


-- Les moments de silence complet qui intensifient encore plus la scène (dans Gringotts avant que le dragon explose tout, juste après que Harry est vue dans la pensine la vérité sur Snape et du même coup sur lui-même, ou encore lorsque Voldemort comprends que le Harry est après les Horcruxes).

-- La scène d'Harry qui tente de garder la tête hors de l'eau (après avoir sauté du dos du dragon) alors qu'il a des visions horribles du carnage que Voldemort est entrain de commettre quand il comprends que le trio a mis la main sur une autre partie de son âme, est tout simplement superbement terrifiante. Ce gros plan sur Harry avec les remous de l'eau, c'est magnifique.

-- Le progrès des effets spéciaux qui sont tout simplement superbes. En témoigne la LONGUE liste de personnes/studios qui ont travaillé sur le film dans le générique de fin. Je pense notamment à la scène du trio sur le dragon, où ils sont reconnaissables. Rien à voir avec Harry sur le trôle dans le premier film par exemple. Ou encore pour ce qui est des sorts, de la fumée des Mangemorts en mouvement, de la beauté évanescente des fantômes, et de façon plus générale de la bataille de Poudlard.


-- Madame Malfoy qui est absolument magnifique dans ce film. Alors que son mari n'a jamais été aussi profondément pathétique (et en même temps irrésistible), elle brille par son charisme et son humanité. Le jeu tout en subtilité de l'actrice est superbe. Au milieu de toute cette guerre de pouvoir, elle prends son destin en main et réalise que l'important au final est son fils. Elle n'a que faire de savoir si Harry Potter est mort ou non, ni ce que cela implique pour son ex maître en puissance. La scène où elle s'agenouille est superbe, surtout quand elle se retourne très lentement vers Voldemort pour dire "mort".


-- Au même titre, voir le fils Drago enfin choisir son camp et découvrir que au fond ce n'est qu'un enfant, arrogant certes, mais qui ne veut pas tuer. Le regard qu'il jette à Harry quand ce dernier lui demande pourquoi il n'a rien dit à Bellatrix (à la fin du part1) alors qu'il savait pertinemment qu'il s'agissait du chosen one.


Superbe scène lorsque son père, puis sa mère lui demandent de les rejoindre. Le voir hésiter, à penser rester du côté des "gentils" est très touchant. Au final, au milieu de tout ce merdier, il ne choisi pas un camp, mais tout simplement sa famille et ensuite ils tournent le dos à tout ceci. Se lavant les mains de qui gagne ou perd au final. Le plus drôle dans tout ça, c'est lorsque Voldemort le prends dans ses bras. Il ne réalise pas alors qu'il se trouve face à celui qui a désarmé Dumbeldore et donc été, pendant un temps, le véritable possesseur de l'Elder Wand. Ironie quand tu nous tiens.


-- Le fait que Harry dise au revoir à Ron et Hermione avant de se rendre dans la Forêt Interdite, contrairement où dans le livre il part sans se retourner. Cela ne fait qu'intensifier encore plus la grande force, le lien profond qui uni ce trio. Hermione qui fond en larmes et veut venir avec luialors que Ron se passe de mots, son regard est suffisamment éloquent. Ils sont meilleurs amis depuis toujours, ils comprennent donc ce que Harry est obligé de faire.

-- Le clin d'œil au deuxième film/livre lorsque Harry tombe sur des pixies (petites créatures bleues qui volent dans tous les sens) dans la salle sur demande, alors qu'il cherche le diadème.

-- L'excellent montage entre le combat d'Harry vs. Voldemort d'un côté, et Ron/Hermione/Neville vs. le snake de l'autre. Avec Voldemort qui réalise qu'il n'est plus qu'un alors que tous ses précieux horcruxes ont été détruits.
D'ailleurs tout au long du film on le voit progressivement douter, prendre peur de plus en plus. Et avec cette peur il devient de plus en plus dangereux et extermine tout sur son passage même au sein même de ses rangs. Le massacre dans Gringotts sous les yeux apeurés des Malfoy est a vous glacer le sang. Cela faisait peur dans le livre. C'est parfaitement retranscrit dans le film, on est mal à l'aise au possible.
La scène où du haut de la falaise il tente de briser le bouclier qui entoure l'école avec l'aide de sa baguette que la caméra va jusqu'à s'insinuer dans la fissure qui ce créée dans cette dernière est superbe. Sans parler de la peur qui se lit sur le visage de Voldemort, comme s'il commençait à sentir que ses pouvoirs commencent à s'amenuiser.

-- La bande son du compositeur français Alexandre Desplat qui s'est encore une fois surpassé après pourtant son excellent travail pour la première partie, particulièrement avec les morceaux : Lily's Theme, Courtyard Apocalypse, Battlefield, ou encore Statues.

-- Les rares moments de légèreté comme quand :
- Le professeur McGonnagal se comporte comme un grand enfant ("I always want to use that spell"), ou encore quand elle incite le jeune Finigan a mettre à profit son art explosif (clin d'œil au fait qu'il y a toujours quelque chose qui explosait à la figure de ce dernier tout au long des différents films).


- Ou Ron à propos de Ginny qui n'a aucun regard pour lui, quand le trio revient à Hogwards, au profit de Harry. "Six months she hasn't seen me and It's like I'm a frankie first-year. I'm her brother. (Seamus) She has many brothers and only one Harry. (Ron) Shut up Seamus."
Ou quand il fait preuve de génie avec Hermione, lui montrant du même coup qu'il n'a jamais perdu une miette de ce qu'elle disait.


- Lorsque le trio arrive dans la salle sur demande et recherche de l'aide auprès des élèves présents, sur un objet ayant appartenu à Rowena Serdaigle qu'ils doivent retrouver. Et lorsque ces derniers leur posent différentes questions, la réponse est invariablement "we don't know". Sans les lumières de Luna (encore et toujours) ils seraient encore entrain de chercher.


- Et les incartades de Rusard, toujours à côté de la plaque.


Et comme tous les films de la saga, cela s'achève par le trio. Tout ce qui compte au final, c'est eux trois que ce soit maintenant ou 19 ans plus tard. Comme nous l'avait si bien montré le part1, ils sont la force vive de toute cette saga. Harry ne serait rien sans Ron et Hermione et nous sans eux trois.


En tous les cas, milles merci à J.K. Rowling pour cette merveilleuse histoire et à tous les gens qui ont travaillé sur les films pendant près d'une décennie pour transposer cette magie sur grand écran. Cela n'a pas toujours été simple, il a fallu faire des choix qui ne pouvaient plaire à tout le monde. Mais au moins, avec le 7e tome divisé en deux parties, nous avons eu la chance d'avoir une fin digne de ce nom qui ne soit pas tronqué. Certes, je n'ai pas adoré ce film a mon premier visionnage, mais comme pour le troisième c'est avec le temps et le recule que je serais mieux l'apprécier et ne retenir au final que les meilleurs moments. C'est comme dans la vie.
Pour ce qui est des acteurs, ils ont clairement donné leur maximum (visible à chaque instant à l'écran au point qu'il en est presque palpable) et nous ont embarqué avec eux dans l'aventure. Que de chemin parcouru pour le casting d'enfants, et plus particulièrement le trio principal, depuis le premier film. Ils sont passé du stade d'enfants inconnus à jeunes adultes planétairement connus. C'est l'effet Harry Potter. Souhaitons leur le meilleur pour leur future carrière loin de Poudlard.
Quand à nous, il faut aussi clore ce passage de notre vie pour nous ouvrir à de nouvelles histoires, même si cela ne sera jamais vraiment fini. Harry Potter restera dans nos cœurs bien plus que je n'aurais jamais imaginé au début de tout ceci quand j'ai découvert le premier film puis me suis plonger dans les différents livres jusqu'à devenir accro comme tout bon potterphile qui se respecte. Et puis la magie perdure :
- entre Pottermore, le site lancé par Rowling
- le Warner Bros. Studio Tour construit en lieu et place des studios anglais de Laevesden (à une trentaine de kilomètres au nord-ouest de Londres) où a été tourné la saga, et qui ouvrira ses portes au printemps 2012 (voir vidéo)
- sans oublier le parc d'attractions d'Orlando, en Floride.
En tous les cas, une chose est sûre, je le transmettrais à mes enfants. Le jour où je deviendrais mère, je n'aurais qu'une hâte qu'ils grandissent pour que je puisse alors leur compter la merveilleuse histoire d'un petit sorcier binoclard. En espérant qu'ils seront à leur tour aussi passionnés par ces livres et feront ainsi perdurer pour les générations suivantes ALWAYS.