mercredi 30 mars 2011

Super 8, by J.J. Abrams, with Kyle Chandler, le 3 août prochain


Synopsis (AlloCiné) : Eté 1979, une petite ville de l’Ohio. Alors qu'ils tournent un film en super 8, un groupe d’adolescents est témoin d'une spectaculaire catastrophe ferroviaire. Ils ne tardent pas à comprendre qu'il ne s'agit pas d'un accident. Peu après, des disparitions étonnantes et des événements inexplicables se produisent en ville, et la police tente de découvrir la vérité… Une vérité qu’aucun d’entre eux n’aurait pu imaginer.

Après un premier teaser inutile, voici enfin de quoi de se mettre sous la dent : du mystère à la Cloverfield, saupoudré d'un style 70's, produit par Spielberg et réalisé (et produit) par J.J. Abrams.
Celui-ci reste malgré ses derniers échecs, le créateur des séries LOST et FRINGE (que j'aime de façon de plus en plus obsessionnelle, preuves ici, ici, et ), mais aussi le producteur de justement Cloverfield qui avait su créer à l'époque le buzz. Avec devant la caméra Elle Fanning (la petite sœur de Dakota, aussi talentueuse que son aîné) et surtout, SURTOUT, Kyle Chandler que j'aime plus que jamais après ses cinq ans de bons et loyaux services dans la peau du coach Eric Taylor dans la trop regrettée série Friday Night Lights. Affaire à suivre, cet été.

The Company Men, by John Wells


Synopsis (AlloCiné) : Bobby Walker (Ben Affleck) est l’incarnation même du rêve américain : il a un très bon job, une merveilleuse famille, et une Porsche toute neuve dans son garage. Mais lorsque la société qui l’emploie réduit ses effectifs, Bobby se retrouve au chômage, tout comme ses collègues Phil Woodward (Chris Cooper) et Gene McClary (Tommy Lee Jones). Les trois hommes sont alors confrontés à une profonde remise en cause de leur vie d’hommes, de maris et de pères de famille. Bien loin de ses talents de cadre supérieur, Bobby se retrouve obligé d’accepter un emploi dans le bâtiment pour le compte de son beau-frère (Kevin Costner). Cette expérience va le pousser à découvrir qu’il y a peut-être plus important dans l’existence que de courir après la réussite…

Je ne sais pas ce que ce film vaut, et peut être que je n'aurais pas l'occasion de le savoir de si tôt, si tenté qu'il passe un jour dans un cinéma prêt de chez moi. Deux raisons, deux hommes :
Tout d'abord, John Wells (producteur-exécutif des séries Urgences, À la maison blanche, New York 911, ou plus récemment Shameless, mais aussi des films I'm Not There, Gigantic...) qui passe ici pour la première fois derrière la caméra. Il s'est battu pendant une dizaine d'années pour mener à terme ce film. Il est également l'auteur du scénario. En effet, retour dans les 90's, son beau-frère s'est fait brutalement licencier au cours de la chute de l'industrie Internet. La crise de 2008 en a remis une couche. Certains producteurs se sont moqués de lui. Les acteurs, au contraire, se sont montrés très intéressés. John Wells semble être un de ces rares défenseur d'un cinéma américain intelligent qui ose aborder de front les sujets de société. C'est ce que j'aime d'ailleurs dans le cinéma américain : ils savent se montrer auto-critiques, face aux conflits (financier, guerres, etc), même toujours d'actualité. Une chose que la production française devrait plus prendre en considération.
Et surtout Ben Affleck, qui est revenu en grâce à mes yeux avec sa dernière réalisation, The Town. Sa prestation dans la bande annonce me donne envie d'en voir plus. Elle a su toucher la corde sensible de mon petit cœur. Tout comme les autres acteurs Chris Cooper, Kevin Costner (l'amour de mon adolescence), Tommy Lee Jones et Rosemarie DeWitt (la sœur de Tara, dans la série United States of Tara). "Tout part d'un projet fou" : j'aime cette idée, et je ne peux m'empêcher d'y penser pour mon propre parcours professionnel. I will win, because I have faith, courage and enthousiasme.

mardi 29 mars 2011

Harry Potter and the Deathly Hallows-part 2 : First official poster


Il y a quelque mois je vous avais présenté des posters "inédits" de la dernière partie du chapitre final d'Harry Potter. Il semble que j'avais tort et que ces derniers n'étaient en fait que des créations de fans. De très bonnes créations, certes, mais pas officielles.
Voici donc maintenant la première affiche officielle (américaine), sans titre, avec juste une baseline et une date de sortie. Comme si nous avions besoin de toute façon d'un quelconque titre. Ce film et cette histoire sont tellement partie de la culture que rares sont ceux qui ne reconnaîtront pas le héros face à son plus grand ennemi, lors de leur combat final. Les plus connaisseurs, reconnaîtrons au centre, l'objet de toutes les convoitises. It all ends 7.15. (Tout prend fin le 15 juillet.)

lundi 28 mars 2011

Love Is a Special Way of Feeling by Joan Walsh Anglund #2


Après la couverture-pages de présentation/dédicace, et la première page de ce charmant livre qu'est Love Is a Special Way of Feeling, de Joan Walsh Anglund, voici la suivante.

It is the safe way we feel
when we sit on our mother's
lap with her arms around us
tight and close.

Jennifer Aniston goes viral avec Smartwater

J'aime les personnes qui savent se moquer d'elles-même, et encore plus les célébrités car beaucoup se prennent un peu trop au sérieux. Dernier exemple en date, Jennifer Aniston s'est distingué dans une vidéo virale pour la marque Smartwater (Glacéau). Avec l'apparition en début de vidéo de Keenan Cahill, le nouveau chouchou des stars, qui a déjà eu l'occasion de pousser la chansonnette aux côtés de 50 Cent, ou encore David Guetta.
Pour en revenir à Miss Aniston, ce n'est d'ailleurs pas la première fois qu'elle participait à une pub pour une boisson, tout en se moquant de son image. Il y a quelque années, elle avait déjà œuvré pour la marque Heineken.


Secteur d'activité : Boissons
Annonceur : Smartwater (Glacéau)
Produit : eau minérale
Marque : Smartwater

dimanche 27 mars 2011

Jesse Heiman, the World's Greatest Extra


Si vous êtes un cinéphile et séries-addict accompli, vous êtes obligatoirement tombé nez à nez avec ce figurant de premier ordre au moins une fois. Il a 33 ans et ne prends pas une ride, ce qui lui permet de jouer des "rôles" d'éternels adolescents. La quantité de séries et de films dans lesquels il est apparu est hallucinante. Pour preuve, je vous conseille d'aller faire un tour sur sa page IMDb ou juste googlez son nom. Moi c'est surtout dans la série CHUCK (en temps que vendeur au BuyMore) que je l'ai repéré à maintes reprises. C'est par l'intermédiaire du site SériesAddict, pour lequel je fais des critiques, que j'ai découvert ça. D'ailleurs merci Nicolas. Un suédois s'est donc mis en tête de créer ce montage vidéos ci-dessous qui regroupe certaines de ses apparitions. Enjoy! Comme quoi, on peu avoir un physique banal et faire carrière à Hollywood.

♫ ♪♫ Singing In The Rain ♪♫ ♪♫

Parce que c'est indémodable et que ça fait toujours autant de bien de voir Gene Kelly se dandiner et chanter sous la pluie, même presque 60 ans après (le film date de 1952). La grande force d'une comédie musicale, c'est de vous communiquer cette bonne humeur qui vous fait vous trémousser sur votre chaise et vous donne envie de bondir pour vous mettre à chanter et danser en cœur avec les héros. Cela me rappel mon expérience devant Hairspray au cinéma. Merveilleux souvenir. Une bonne raison d'aller au Casino de Paris entre le 26 avril et le 29 mai pour voir la comédie musicale, pour la première fois à Paris, en live. Par contre, dommage c'est en français. Si l'envie, et le porte-feuille, vous en dit, traversez la Manche pour le voir à Londres. Rien ne vaut une version originale.

samedi 26 mars 2011

Les trois mousquetaires, version 2011

Un énième remake de l'œuvre d'Alexandre Dumas ne m'intéresse pas plus que ça mais deux noms au générique pourraient me faire changer d'avis : le britannique Matthew MacFadyen (l'irrésistible Mr. Darcy dans la version 2005 de Pride & Prejudice, ou pour la TV, entre autre Spooks et Little Dorrit) et l'irlandais Ray Stevenson (Titus Pullo dans la somptueuse série ROME), interprètent respectivement Athos et Porthos.

Harry Potter and the Deathly Hallows-part 2 : nouvelle image + HP7, part1 : première scène coupée

Décidément, ces derniers jours sont riches en révélations. Après qu'une photo officielle et une featurette (que j'ai dû regardé un milliard de fois) ont été révélés la semaine dernière, voici qu'une nouvelle photo de la deuxième partie a fait son apparition, découverte via le site CinemaTeaser.com. Bon il faut imaginer au fond le parc de Poudlard, ajouté en post-prod. Mais voir ces corps et l'état d'Harry : ça sonne de plus en plus la fin. Je sens que je vais pleurer comme une madeleine. Déjà que la première partie fut synonyme de liquide lacrymale important.


Et voici la première scène coupée, de la première partie, révélé ce jeudi sur la toile. Les "au revoir" de tante Pétunia à Harry. La petite larme n'est pas loin. Il est vraiment dommage que les Dursley aient été coupés du montage final, surtout pour le dernier volet. D'autre scènes inédites suivront prochainement vue que les dvd/blu-ray de la première partie sortent le 11 avril en Angleterre, le 15 aux USA et... le 8 en France. YES!!! Je ne manquerais pas de vous tenir aux courant de la sortie des prochains inédits, surtout concernant la fameuse séance de lancés de galets que tous les shippers du couple Ron-Hermione attendent avec impatience.


Petunia: I’ve lived in this house for twenty years. And now... in a single night... I’m expected to leave.
Harry: They’ll torture you. If they think, for a moment, you know where I’m going, they’ll stop at nothing.
Petunia: Do you think I don’t know what they’re capable of? You didn’t just lose a mother that night in Godric’s Hollow, you know. I lost a sister.

jeudi 24 mars 2011

Citations graphiques sur devanture McDo à Tours


De passage à Tours, en décembre 2010, la façade du MacDonalds local avait retenue mon attention toute graphique qu'elle était avec ses moultes citations de gens célèbres (Winston Churchill, Marilyn Monroe, Picasso, Woody Allen, etc). L'alliance de deux choses que j'adore. Dommage que ce soit sur la devanture de ce fast-food. QUICK FOREVER!!!!

Jane Eyre 2006, by BBC: homemade jacket


Encore une fois, ma petite sœur a gagné le droit de recevoir un autre dvd décoré par mes soins. Début 2010, je lui avait réalisé trois compils regroupant différents œuvres estampillées period-drama. Ici c'est celle de Charlotte Brontë, Jane Eyre qui fût le centre de mes attentions. Plus particulièrement la mini-série de la BBC de 2006, avec Ruth Wilson et Toby Stephens, que j'ai eu envie de découvrir alors qu'une nouvelle adaptation cinématographique sortira prochainement. Je vous en avais d'ailleurs parlé ici. Armé de feutres or et argent et aidé de ma banque de typos personnelle pour source d'inspiration, j'ai donc de nouveau dessiné le titre de façon très calligraphique. J'avais du mal à me décider pour la conception, mais au final je suis contente du résultat tout en courbes du titre. Pour le verso, j'ai plus joué sur la confusion de la typo avec le décor, les oiseaux du papier cadeau. D'ailleurs encore un autre papier qui date probablement de l'époque de ma grand-mère. Vintage quand tu nous tient.


Mais au delà de tout ceci, je suis heureuse d'avoir laissé sa chance à cette mini-série de quatre épisodes car c'est pour moi, maintenant, la meilleure adaptation de Jane Eyre. C'est bien simple, je reviens complètement sur ce que j'avais dis dans mon précédent post. Charlotte Gainsbourg semble incroyablement fade en comparaison de Ruth Wilson. Le duo avec l'interprète d'Edward Rochester, Toby Stephens, fonctionne ici à merveille. Et j'ai pris plaisir à redécouvrir cette histoire, et de nouvelles scènes extraites du livre qui n'étaient pas dans l'adaptation de 1996. Cela m'a d'ailleurs donné envie de lire l'œuvre de Brontë, chose que je n'avais jamais pris le temps (ou eu l'envie) de faire jusqu'à maintenant. Mais comme vous pouvez le voir ci dessus, j'ai actuellement deux versions en ma possession. La première date de 1957, avec une couverture tissu aux tons rose-violet et la silhouette de l'héroïne de l'ombre chinoise. J'aime particulièrement l'écriture manuelle du titre et les dessins qui ponctuent le récit. Hélas comme cette une édition pour les enfants, l'histoire n'est pas retranscrite de façon intégrale. Le texte est simplifié. J'ai d'autant pu voir la différence en comparant avec la deuxième version, prêtée par ma tante. Elle date de 1967, avec une couverture simili cuir. En tous les cas, les premiers passages que j'ai pu lire me donnent envie de continuer plus ardemment. Il me faudra endurer le long début, concernant son enfance, avant de pouvoir savourer sa rencontre avec le bourru mais charmant Mr. Rochester.

mercredi 23 mars 2011

Love Is a Special Way of Feeling by Joan Walsh Anglund #1


Comme convenu, la suite des pages de ce charmant livre qu'est Love Is a Special Way of Feeling, de Joan Walsh Anglund. Pour ma nouvelle séance photo une invité de marque s'est ajouté à la dernière minute. Cette chère Babar (je sais, drôle de nom pour une fille, mais j'ai cru à tord que c'était un petit garçon) s'est fait une spécialité de s'incruster sur les clichés, à chaque fois. Mes deux éditions de Jane Eyre sont également de la partie. Rien de tel qu'une petite lecture sous un soleil radieux.

lundi 21 mars 2011

Quote of the Day aka Citation du Jour_n°059

It's not who you are that holds you back,
it's who you think you're not.

(Ce n'est pas qui vous êtes qui vous retient en arrière,
mais qui vous pensez ne pas être.)

C'est tellement vrai. C'est d'ailleurs ce que j'ai tendance à faire trop souvent, ce que nous faisons tous trop souvent. Nous mettre des barrières. Penser que nous n'en sommes pas capables, pas dignes. Croire en soi, c'est le pouvoir. Essayons donc d'appliquer ce précepte.

Love Is a Special Way of Feeling by Joan Walsh Anglund #0


Voici un petit livre que j'ai envie de vous présenter durant les prochains jours, résultat d'une acquisition pour quelque centimes lors d'une braderie l'année dernière. Écrit et illustré par l'auteur pour enfants Joan Walsh Anglund, qui est né d'ailleurs le même jour que moi. Je suis tombé sous le charme de ses charmants personnages, tout autant que le joli phrasé de ses textes.


La première publication de Love Is a Special Way of Feeling date de 1960. Celle ici présente, toute de rouge vêtue, est la treizième du nom et date de 1970. Elle fût imprimée en Grande Bretagne, aux éditions Collins. Actuellement, ce livre est imprimé sous les presses plus exotiques de Singapour, aux dires d'Amazon.

Bilbo le Hobbit, by Peter Jackson, first photos


Alors que Peter Jackson vient de commencer le tournage du diptyque Bilbo le Hobbit dans sa chère Nouvelle Zélande, deux photos du réalisateur dans les décors de la comté (la maison de Bilbon pour être plus précis) ont été révélées pour l'occasion. Côté casting, nouveau venu pour reprendre le rôle de Bilbon Sacquet, Martin Freeman (H2G2 : le guide du voyageur galactique, Love Actually et récemment Wild Target ainsi que la série Sherlock) remplace Ian Holm de la trilogie du Seigneur des Anneaux. Ian McKellen et Andy Serkis reprennent leur rôle respectif de Gandalf et Gollum. S'ajoute tout un tas de nouveaux acteurs pour interpréter nombre de nains qui accompagneront Bilbon dans sa quête. Le principal intérêt est de retrouver le charmant Richard Armitage dans le rôle de Thorin Oakenshield. J'ADORE cet acteur depuis que je l'ai découvert dans l'adaptation de la BBC de North and South où il était absolument charismatique dans son rôle de Mr. Thornton. Au point de concurrencer le cultissime Mr. Darcy.
En attendant, découvrir ces deux photos de Peter Jackson qui a prit au mot l'adage selon lequel on n'est jamais aussi bien servi que par soi-même, en reprenant les rennes du projet, après la défection de Guillermo Del Toro. Et pourtant Jackson ne souhaitait pas se replonger dans le monde de la Comté, car la précédente trilogie l'avait énormément épuisé. Espérons qu'il ne se tuera pas à la tâche, néanmoins je suis ravie que ce soit lui qui réalise les deux films. Je serais alors certaine de retrouver les ingrédients que j'ai temps aimé dans Le Seigneur des Anneaux. D'ailleurs rien que revoir l'intérieur de Bilbon et les paysages de la Comté, cela m'émeut et me donne envie de revoir l'entière saga version longue qui trône tout en haut de ma dvdtèque. En attendant décembre 2012 pour revivre l'expérience, cette fois-ci au cinéma.

WE WANT SEX... EQUALITY


Synopsis (AlloCiné) : Au printemps 68 en Angleterre, une ouvrière découvre que, dans son usine, les hommes sont mieux payés que les femmes. En se battant pour elle et ses copines, elle va tout simplement changer le monde...

Jane Eyre 2011, by Cary Fukunaga, with Mia Wasikowska and Michael Fassbender


Pour moi Jane Eyre est Charlotte Gainsbourg (dans l'adaptation de 1996, avec William Hurt). Sa beauté simple, naturelle et éthéré au possible collait parfaitement au personnage. C'est d'ailleurs pour cela que je n'ai pas regardé la version récente de la BBC de 2006. Mais force est de constater à la vue des premières images du film de Cary Funkunaga que ce long métrage me tente beaucoup. La beauté de la photographie n'est pas sans me faire penser à Bright Star de Jane Campion.


De plus l'interprète de Mr. Rochester (l'acteur germano-irlandais Michael Fassbender) est loin de me déplaire, loin devant William Hurt. Il est absolument irrésistible. Il va vraiment falloir que je regarde Hunger. En attendant la sortie prochaine de X-Men: First Class, avec également James McAvoy, un autre de mes chouchous. Pour en revenir à Fassbender, je fût surprise de découvrir qu'il a joué dans la plupart des épisodes de la mini-série Band of Brothers. Décidément, tout le fleuron anglais/américain a joué dedans. Encore une autre bonne raison d'adorer cette grande série. Quant à Mia Wasikowska, il faut que je m'enlève de la tête Alice aux pays des merveilles, vue combien j'ai détesté ce film, pour pouvoir l'apprécier dans ce film. Encore une fois, c'est grâce au blog EnchantedSerenityPeriodFilms, que j'ai eu vent de cette nouvelle adaptation. Sont aussi présents au casting Jamie Bell (Billy Eliott), Judi Dench, Sally Hawkins (récemment dans We Want Sex Equality et Never Let Me Go, mais aussi dans An Education, Happy-Go-Lucky, Persuasion ITV version), Tamzin Merchant (Georgiana Darcy dans Orgueil & Préjugés).



# Trailer


# Featurette - Inside Look

Soul Surfer, un destin à croquer

Par le biais du blog EnchantedSerenityPeriodFilms, sur lequel j'aime très souvent faire un tour, j'ai découvert ce film qui sortira le 8 avril au Canada. Il s'agit d'une histoire vraie sur une surfeuse, Bethany Hamilton, qui perd un bras suite à une attaque d'un requin. Elle trouve alors la force de se relever et devenir une championne. Elle devient également un symbole pour tout un tas de personnes à travers le monde. J'aime les films basés sur des faits réels, et encore plus quand ils présentent ce genre de personnalités hors du commun. Cela me donne envie de me dépasser et d'arrêter d'avoir peur. Soul Surfer me rappel Blue Crush que j'avais vue à sa sortie en juillet 2003. L'histoire d'une autre nana, qui avait du se relever et concourir de nouveau après un échec cuisant qui avait failli lui coûter la vie. Certes c'était également une histoire vraie, mais elle ne s'était pas retrouvée nez à nez avec un requin, et encore moins dépossédée d'une partie d'elle même. Affaire à suivre.

dimanche 20 mars 2011

Harry Potter and the Deathly Hallows-part 2 : les premières images, III


Voici une nouvelle photo officielle de dévoilée. Après un premier montage de photos inédites en décembre dernier, suivie d'un deuxième en janvier, voici mon troisième montage. Vous savez ce qu'on dit, jamais deux sans trois. Suite donc à la diffusion jeudi soir sur la chaîne américaine ABC Family d'un First Look Behind the Scenes of Deathly Hallows, Part2 d'une minute et trente huit secondes, nous avons pu découvir quelque nouveaux extraits accompagnés d'interviews du cast, réalisateur et producteurs. Grâce au site brésilien Oclumência j'ai récupéré de nombreuses copies écran de haute qualité et réalisé un nouveau montage. Alors que le film sort dans 116 jours ce nouveau teaser relance l'attente qui n'a jamais été aussi longue.

Cliquez sur le montage pour découvrir plus en détails. ATTENTION SPOILERS !!!

Fringe, saison 3 : toujours aussi passionnante

Walter et Nina, à la fin du 3.14.

Cette série est vraiment superbe et toujours aussi surprenante. Après un épisode 3.16 un peu en deçà à mon goût, surtout avec le rebondissement de fin d'épisode, un peu facile (Ou comment ramener Bell sans faire appel à Leonard Nimoy.), mais voici que le suivant relève le tout et que Anna Torv interprète un troisième personnage. Comme si déjà elle n'avait pas fait preuve de beaucoup de talent en interprétant l'Olivia de notre monde, et son double de the other side. Maintenant voilà qu'elle joue un homme, et pas n'importe lequel : William Bell. Ce qui donne droit à des moments de grande complicité entre Olivia/Willy et Walter. Les acteurs sont au diapason et c'est excellent. Sans parler des moments où Willy/Olivia drague ouvertement Astrid. Je retire donc tout ce que j'ai pu penser à la fin du 3.16 car cette idée de possession par cloche interposé est très intéressant. De plus l'histoire parallèle était pour une fois passionnante et ce dès la scène sur le toit : macabrement magnifique avec le vol de l'ange. C'est également un plaisir de revoir l'actrice Paula Malcomson, après la saison 3 de Sons of Anarchy. Et enfin découvrir le Lincoln de notre monde est une belle surprise. Dommage que Olivia ne soit pas elle-même durant leur rencontre. Seth Gabel est moins charmant, moins bad ass, que dans l'autre monde, comme dans le montage ci-dessous, mais c'est toujours agréable de pouvoir le retrouver. Il est beaucoup plus sexy dans FRINGE que dans mes souvenirs de Dirty Sexy Money, excellente série arrêté trop tôt. Je fais trop une fixette sur son personnage que j'adore. En fait j'adore le trio (Lincoln-Charlie-Folivia) de la Fringe Team de l'autre monde. L'alchimie est palpable et excellente. Difficile de ne pas les aimer instantanément.

La FRINGE Division, de l'autre univers : Lincoln, Charlie et Folivia.

Encore une fois, ils étaient au diapason dans le 3.13 que j'ai adoré, notamment la scène avec la Bug Girl qui en pince pour Charlie, et ses araignées dans le sang. C'était trop mignon et drôle. J'espère que l'on reverra la demoiselle qui a su faire rougir le charmant agent Francis. Peut être dans le prochain, le 3.18, diffusé la semaine prochaine.

vendredi 18 mars 2011

A First Look Behind the Scenes of Deathly Hallows, Part2

C'est avec excitation et un brin d'hystérie, je dois bien l'avouer, que j'ai découvert ces nouvelles images de la deuxième et dernière partie d'Harry Potter and the Deathly Hallows. aujourd'hui. Elles sont apparues sur la toile hier à l'occasion d'un marathon Harry Potter (les 5 premiers films) organisé de jeudi à dimanche de cette semaine sur la chaîne américaine ABC Family. Alors ne vous méprenez pas, ça commence comme une bande annonce que l'on a déjà vue, mais très vite plein de nouveaux extraits apparaisent. Be prepare and enjoy!

mercredi 16 mars 2011

Quote of the Day aka Citation du Jour_n°058


Une création de vol.25, une jeune femme, originaire de l'état de Washington, USA. Elle s'est nommée ainsi car elle avait 25 ans quand elle a ouvert son petit magasin virtuel en 2008, via etsy.com. Elle considérait alors que vol.25 représentait un nouveau volume de sa vie.

mardi 15 mars 2011

Quote of the Day aka Citation du Jour_n°057

If you don't mean what you say, shut the fuck up please.
(Si tu ne penses pas ce que tu dis, ferme-la s'il te plaît.)

Je vous avais déjà présenté une création typesque de cet artiste, au milieu d'un florilège typographique. Il se nomme Theresesennerholt et représente différentes citations, plus ou moins connues, en mettant en forme la lettre.

lundi 14 mars 2011

My new love for Alicia, Kalinda, Diane, and other men



C'est ma série coup de cœur du moment. C'est bien simple je me suis lancé dans un marathon de la saison 2, directement après avoir fini de découvrir la première par l'intermédiaire de M6. Dommage que les français n'est pas accrochés, ce qui a conduit à une overdose d'épisodes chaque jeudi. On se consolera en se disant que M6 les a diffusé dans l'ordre. En tous les cas, ce n'est qu'une nouvelle série victime de ma boulimie façon marathon. En effet je suis arrivé à un point où j'ai arrêté le visionnage de nombres d'entre elles parce que j'étais arrivé à saturation. Je me suis alors plutôt tourné vers les films et limité à The Vampire Diaries et Friday Night Lights parce que j'en fais les critiques pour le compte de SeriesAddict, et FRINGE parce que je suis fan du Docteur Bishop et de la qualité d'écriture et d'interprétation (chose rare sur les networks). Mais parfois je m'octroies des consommations plus importantes, pour rattraper mon retard notamment. Avant dernier exemple en date, Castle, qui fût supplanté par The Good Wife.



Je n'avais pas accroché au départ sur la série et d'ailleurs n'avait pas compris ce que tout le monde avait bien pu lui trouver. Je n'étais notamment pas d'accord sur la qualité scénariste que tout le monde citait continuellement. Certes la scène d'ouverture de cette housewive blessée, muette, qui se contente de gifler son mari, tout en restant digne pour ensuite affronter les journalistes m'avait bluffé. Mais pour le reste, sans plus.



Et puis la série m'a eu à l'usure. Je me suis attaché à tout ce casting cinq étoiles, très talentueux. J'ai eu plaisir à retrouver tout d'abord Julianna Margulies, après tant d'années dans Urgences, elle revient plus forte et magnifique que jamais. Elle sait se montrer de plus en plus forte, mais aussi sensible. Et voir Alicia craquer et fondre en larmes vous fend le cœur.
Ensuite, Will, son ami de Georgetown qui l'engage dans son cabinet. Son charme n'a pas opéré sur moi de prime abord. Et puis, comme Alicia, j'ai finalement totalement craquer pour cet avocat retord et son regard plein d'amour à vous briser le cœur.



Son associé, Diane, est tout simplement géniale. Intransigeante mais juste, peu se comporter comme une adolescente énamourée. Un vrai brin de femme. Un rôle à la hauteur du talent de Christine Baranski.
Ensuite il y a Kalinda, la fameuse Kalinda dont tout fan de la série parle obligatoirement. Et pour cause, difficile de ne pas tomber sous son charme. C'est bien simple, si vous êtes un homme hétérosexuel, vous en pouvez que tomber sous son charme, et si vous êtes une femme, c'est bien simple vous devenez lesbienne. Archie Panjabi est aussi sexy que mystérieuse. Pour ma part, j'ai craqué pour ces trois femmes fortes et brillantes. Et pourtant, dieu sait que j'aime les hommes.



D'ailleurs, en parlant d'eux, il y en a un autre que j'adore, c'est Cary Agos, interprété par Matt Czuchry qui m'avait déjà fais craquer dans les trois dernières saisons de Gilmore Girls. Ma sœur et moi étions littéralement tombées sous son charme et surtout du pouvoir de son "regard sourire". Ici, il trouve un rôle à la hauteur de son talent, surtout dans la saison 2, où adjoint du procureur, il se retrouve souvent confronté aux avocats du cabinet Lockhart & Gardner pour notre plus grand plaisir. Ils sont plus fourbes et manipulateurs les uns que les autres, à la limite de la légalité parfois. C'est du pure Shakespeare. Du grand art.



Enfin, dans la partie politique nous avons le toujours charmant Chris Noth, dans le rôle de l'époux de l'héroïne. Pour la fan de Sex & the City (la série pas les films), c'est un plaisir de retrouver Mister Big. Et son chargé de campagne est interprété par le sublime Alan Cumming. Cet acteur est vraiment charismatique et m'aura fait rire à plusieurs reprises. Ce qui est rare devant ce show. Donc chaque rire est aussi fort qu'il vous prend par surprise. Du bonheur à l'état brut.



En bref, cette série est un pure bonheur que vous auriez tort de manquer. C'est vraiment un très bon legal drama, justement parce que ça ne se limite pas aux affaires devant la cour, loin de là. Et plus vous en apprenez sur les personnages, plus c'est passionnant. C'est aux antipodes de New York, police judiciaire (Law and Order). Cela a un petit quelque chose de The Practice, ce qui est une très bonne chose, car j'adorais cette série. Vous y retrouverez une brochette d'acteurs que vous avez au moins croiser une fois dans d'autres séries ou films. Preuve de son succès outre atlantique, les guest stars apparaissent de plus en plus. Derniers exemples en date : Michael J. Fox, Leelee Sobieski, America Ferrera... Et en plus, c'est produit par les frères Ridley et Tony Scott. Si vous n'avez pas tentez votre chance sur M6 pour la première saison, rattrapez votre retard et soyez au rendez-vous pour la diffusion prochaine de la deuxième.

Un petit florilège typographique

Hier, j'ai découvert un site très intéressant, Pinterest.com, via le site WeLoveTypography. Pour les amoureux de la typographie, comme moi, c'est un pure bonheur. Comme je suis gentille, j'ai eu envie de partager certaines de mes trouvailles avec vous. Enjoy!
All you Need is Tea & Warm Socks, by theresesennerholt.
Kevin + Satsuki’s Hand-Lettered Letterpress Wedding Invites,
by Paper Crave.
Lucky Bucket Branding.
333A Orchard Road
#04-14/15 Mandarin Gallery
Singapore
ABC of Lettering by Carl Holmes.
Alphabet Wall Art for the Modern Kid by ModernPOP!
Type-Collage, by Mike Lemanski.
Devanture d'une boutique.
Affiche d'un Festival de Jazz.
une jeune graphic-designer de Floride.