Un film belge dont le titre est un clin d'oeil à Dead Man Walking, le film de Tim Robbins, avec Sean Penn et Susan Sarandon.
Ici, c'est un film belge avec Patrick Ridremont (scénariste-réalisateur-rôle titre), François Berléand et Virginie Efira, qui semble bien drôle et avec un beau casting. Sans parler des prix dans les différents Festivals que le film a déjà reçu. L'acteur principal je le connaissais pas mais il semble très bon. À suivre donc. Mais moi, sérieusement, en le voyant dans cette bande annonce, je ne peux m'empêcher de penser à Patrick Huard et au film québécois Starbuck. La nostalgie du pays doit trop me gagner.
Sortie sur les écrans français mercredi de la semaine prochaine.
Synopsis (AlloCiné) : William Lamers, 40 ans, anonyme criminel condamné au Poison pour meurtre, se prépare à être exécuté. La procédure se passe dans l’indifférence générale et, ni la famille du condamné, ni celle de ses victimes n’a fait le déplacement pour assister à l’exécution. Seul le journaliste d’un minable tabloïd local est venu assister au «spectacle».
Pourtant ce qui ne devait être qu’une formalité va rapidement devenir un véritable cauchemar pour Karl Raven, le directeur de la prison. Alors qu’on lui demande s’il a quelque chose à dire avant de mourir, William se met à raconter sa vie, et se lance dans un récit incroyable et bouleversant. Raven s’impatiente et appelle le Gouverneur Brodeck pour obtenir l'autorisation d'exécuter William. Mais comme la loi ne précise rien sur la longueur des dernières paroles et que le Gouverneur Stieg Brodeck, au plus bas dans les sondages, ne peut prendre aucun risque à un mois des élections, on décide de laisser William raconter son histoire jusqu’au bout.
Mieux encore, on va lui proposer un étrange marché. Parler pour ne pas mourir. Telle Sheherazade qui raconte chaque nuit au Sultan une histoire, il devient le « Dead Man Talking », le mort qui parle. Il est désormais l'enjeu majeur d'une campagne électorale aussi étonnante que rocambolesque. William l’anonyme, le « never has been », William l’obscur, va enfin rentrer dans la lumière. La rédemption de William transforme le coeur de ceux qui l'écoutent, et qui l'entourent...
Sortie sur les écrans français mercredi de la semaine prochaine.
Synopsis (AlloCiné) : William Lamers, 40 ans, anonyme criminel condamné au Poison pour meurtre, se prépare à être exécuté. La procédure se passe dans l’indifférence générale et, ni la famille du condamné, ni celle de ses victimes n’a fait le déplacement pour assister à l’exécution. Seul le journaliste d’un minable tabloïd local est venu assister au «spectacle».
Pourtant ce qui ne devait être qu’une formalité va rapidement devenir un véritable cauchemar pour Karl Raven, le directeur de la prison. Alors qu’on lui demande s’il a quelque chose à dire avant de mourir, William se met à raconter sa vie, et se lance dans un récit incroyable et bouleversant. Raven s’impatiente et appelle le Gouverneur Brodeck pour obtenir l'autorisation d'exécuter William. Mais comme la loi ne précise rien sur la longueur des dernières paroles et que le Gouverneur Stieg Brodeck, au plus bas dans les sondages, ne peut prendre aucun risque à un mois des élections, on décide de laisser William raconter son histoire jusqu’au bout.
Mieux encore, on va lui proposer un étrange marché. Parler pour ne pas mourir. Telle Sheherazade qui raconte chaque nuit au Sultan une histoire, il devient le « Dead Man Talking », le mort qui parle. Il est désormais l'enjeu majeur d'une campagne électorale aussi étonnante que rocambolesque. William l’anonyme, le « never has been », William l’obscur, va enfin rentrer dans la lumière. La rédemption de William transforme le coeur de ceux qui l'écoutent, et qui l'entourent...
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