La diffusion du film qui valu l'Oscar du Meilleur Réalisateur à Monsieur Martin Scorcesse vient de s'achever sur TF1 et cela me ramène trois ans en arrière quand je l'ai découvert au cinéma. Je me revois encore marchant dans les rues de Nantes à la sortie du Gaumont, perdue dans mes pensées et toute retournée par ce film brillant qui m'a fait apprendre à aimer un acteur (Leonardo Dicaprio) qui prouve qu'il est bien plus que juste une belle gueule et redécouvrir un autre acteur (Mark "fucking" Wahlberg) qui est drôlissime dans son rôle de flic vulgaire au possible (qui lui valu une nomination à l'Oscar du meilleur second rôle masculin). Ce fut intéressant de pouvoir redécouvrir ce film, en VOST cette fois. Je trouve d'ailleurs que les tirades de Wahlberg sont encore plus hilarantes dans la langue de Shakespeare. Il n'y a que sa coupe de cheveux improbable qui me pose toujours autant problème mais je n'y peux rien c'est mon premier béguin de collégienne le Marky Mark.
Alors que les filles de mon âge étaient folles des gars des boysbands, moi je craquais sur ce gars et ses pubs pour les sous-vêtements Calvin Klein en noir et blanc. Et croyez-moi, rechercher des photos sur le net de vos stars préférés à cette époque du bas débit était une véritable épreuve de force pour tester votre fan attitude. Les plus vieux d'entre vous comprennent, ceux qui ne connaissent que le haut débit n'imaginent pas la lenteur que peut mettre une photo à charger... lentement... progressivement... Le visage vous apparaît alors tel le Messie. Tant de temps passé pour quelque pauvres clichés que vous regroupiez sur une superbe disquette 3"5... Il en faudrait des centaines pour atteindre la capacité d'une clé USB d'un Go. Tout cela pour dire que j'adore Mark Wahlberg depuis tout ce temps et qu'il en a fait du chemin dans sa carrière depuis. J'attends avec impatience de le découvrir dans le dernier film de Peter Jackson The Lovely Bones, janvier prochain.
Mais venons-en à celui qui m'a bluffé devant l'écran : Leonardo Dicaprio. Il est bien loin le jeune adulescent de Titanic. Il est devenu un homme et un p***** de bon acteur. Face à lui, Matt Damon fait pâle figure (et pourtant j'adore l'acteur surtout dans la Bourne Trilogy) mais je crois que c'est le rôle qui veut ça. En effet, contrairement à Billy Costigan (Dicaprio) a plus de mal avec sa double identité que Colin Sullivan (Damon). Il nous montre plus ses failles, son point de rupture ce qui touche le personnage de la psy responsable de son suivie post case prison tout comme le spectateur, en l'occurence moi.
Plus on avance dans l'histoire et plus la tension se fait sentir. Cacher leur identité devient de plus en plus complexe atteignant un tout autre niveau avec la chute sanglante du boss de Costigan. (génial Martin Sheen que j'adore depuis son rôle dans la série The West Wing) Brutale. J'en suis resté toute aussi effarée et speachless que le personnage de Dicaprio. Après cela, il se retrouve without any protection et tous se dirigent vers un final encore plus brutal et surprenant qui vous prends aux tripes. Bordel, la scène de l'ascenseur... Vous n'avez pas le temps de le voir venir. Ensuite tout s'enchaîne jusqu'au retour du flic interprété par Wahlberg qui revient mettre les pendules à l'heure-BANG-générique de fin.
Ceux qui ont vu l'original hongkongais, Infernal Affair, disent que The Departed est loin d'arrivé au niveau de l'original. Et bien cela promet car j'ai adoré la version de l'histoire transposé dans la mafia irish de Boston raconté par Scorcese qui a amplemant mérité son Oscar tant la réalisation est excellente. Une occasion de découvrir une ville trop rarement mise en valeur au cinéma. La bande son est particulièrement bien choisie, j'ai adoré chaque morceau. C'est remplie de classiques old school. Patsy Cline... I love it! Sans parler de sons bien irlandais tel I'm Shipping Up To Boston by Dropkick Murphys.
Pour ce qui est des prestations d'acteurs, n'oublions pas Jack Nicholson cabotin, comme à son habitude, en Frank Costello chef de la mafia au sommet de son art comme toujours. Mention particulière pour la scène d'ouverture avec sa silhouette toute en ombre et lumière : j'adore.
En bref du grand cinéma avec de grand acteurs que je suis fière de compter parmi ma dvd-tèque dans son joli coffret métallique.
Alors que les filles de mon âge étaient folles des gars des boysbands, moi je craquais sur ce gars et ses pubs pour les sous-vêtements Calvin Klein en noir et blanc. Et croyez-moi, rechercher des photos sur le net de vos stars préférés à cette époque du bas débit était une véritable épreuve de force pour tester votre fan attitude. Les plus vieux d'entre vous comprennent, ceux qui ne connaissent que le haut débit n'imaginent pas la lenteur que peut mettre une photo à charger... lentement... progressivement... Le visage vous apparaît alors tel le Messie. Tant de temps passé pour quelque pauvres clichés que vous regroupiez sur une superbe disquette 3"5... Il en faudrait des centaines pour atteindre la capacité d'une clé USB d'un Go. Tout cela pour dire que j'adore Mark Wahlberg depuis tout ce temps et qu'il en a fait du chemin dans sa carrière depuis. J'attends avec impatience de le découvrir dans le dernier film de Peter Jackson The Lovely Bones, janvier prochain.
Mais venons-en à celui qui m'a bluffé devant l'écran : Leonardo Dicaprio. Il est bien loin le jeune adulescent de Titanic. Il est devenu un homme et un p***** de bon acteur. Face à lui, Matt Damon fait pâle figure (et pourtant j'adore l'acteur surtout dans la Bourne Trilogy) mais je crois que c'est le rôle qui veut ça. En effet, contrairement à Billy Costigan (Dicaprio) a plus de mal avec sa double identité que Colin Sullivan (Damon). Il nous montre plus ses failles, son point de rupture ce qui touche le personnage de la psy responsable de son suivie post case prison tout comme le spectateur, en l'occurence moi.
Plus on avance dans l'histoire et plus la tension se fait sentir. Cacher leur identité devient de plus en plus complexe atteignant un tout autre niveau avec la chute sanglante du boss de Costigan. (génial Martin Sheen que j'adore depuis son rôle dans la série The West Wing) Brutale. J'en suis resté toute aussi effarée et speachless que le personnage de Dicaprio. Après cela, il se retrouve without any protection et tous se dirigent vers un final encore plus brutal et surprenant qui vous prends aux tripes. Bordel, la scène de l'ascenseur... Vous n'avez pas le temps de le voir venir. Ensuite tout s'enchaîne jusqu'au retour du flic interprété par Wahlberg qui revient mettre les pendules à l'heure-BANG-générique de fin.
Ceux qui ont vu l'original hongkongais, Infernal Affair, disent que The Departed est loin d'arrivé au niveau de l'original. Et bien cela promet car j'ai adoré la version de l'histoire transposé dans la mafia irish de Boston raconté par Scorcese qui a amplemant mérité son Oscar tant la réalisation est excellente. Une occasion de découvrir une ville trop rarement mise en valeur au cinéma. La bande son est particulièrement bien choisie, j'ai adoré chaque morceau. C'est remplie de classiques old school. Patsy Cline... I love it! Sans parler de sons bien irlandais tel I'm Shipping Up To Boston by Dropkick Murphys.
Pour ce qui est des prestations d'acteurs, n'oublions pas Jack Nicholson cabotin, comme à son habitude, en Frank Costello chef de la mafia au sommet de son art comme toujours. Mention particulière pour la scène d'ouverture avec sa silhouette toute en ombre et lumière : j'adore.
En bref du grand cinéma avec de grand acteurs que je suis fière de compter parmi ma dvd-tèque dans son joli coffret métallique.
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