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mercredi 12 juin 2013

"Game of Thrones" Ultimate Birthday Rap Battle & Cosplay Piano


Voici un truc bien sympa que j'ai découvert aujourd'hui, histoire de remonter un peu le moral des fans de Game of Thrones qui vont devoir attendent comme moi 42 semaines pour retrouver cette série qui nous aura fait vivre BEAUCOUP d'émotions cette année.
Rien de tel donc qu'un petit rap à l'occasion d'un anniversaire, devant un parterre d'enfants en bas âge... Enjoy!!!! C'est une création des membres de Stage 5 TV™.




Et en bonus, un nouvel exemple montrant combien les fans de cette saga littéraire/sérielle sont vraiment... fans... avec ici la partition du générique au piano et en costumes par l'équipe de CosplayPiano.
Pianiste : Sonya Belousova
Réalisateur : Tom Grey

lundi 27 mai 2013

Will & Jaden Smith - The Graham Norton Show

Le père et le fils se lancent dans un petit medley de rap, accompagnés de DJ Jazzy Jeff et de.... Alfonso Ribeiro Rap, spéciale dédicace pour les fans du Prince de Bel Air. Les Smith étaient dans l'émission anglaise, The Graham Norton Show, diffusée sur BBC One. Encore une fois, Will Smith prouve que lui mieux que personne sait faire le show.

dimanche 26 mai 2013

Quartet - My Review pleine d'enthousiasme SO BRITISH


Synopsis (AlloCiné: À Beecham House, paisible pension au cœur de la campagne anglaise qui accueille des musiciens et chanteurs d’opéra à la retraite, le bruit court qu’une nouvelle pensionnaire arriverait sous peu. Et ce serait une diva ! Pour Reginald, Wilfred et Cissy, le choc est grand lorsqu’ils voient débarquer l’impétueuse Jean Horton, avec laquelle ils triomphaient sur les scènes internationales des années auparavant. L’ambition de Jean et son ego démesuré avaient alors ruiné leur amitié et mis un terme au mariage qui la liait à Reginald. Malgré les vieilles blessures, Reginald, Wilfred et Cissy mettront tout en œuvre pour convaincre Jean de reformer leur célèbre quatuor à l’occasion du gala annuel de Beecham House.


Voici un film que je n'aurais pas découvert s'il n'y avait eu cette projection spéciale en VOST dans un cinéma proche de chez moi. En effet, un jeudi par mois, ce cinéma propose une séance en version originale, histoire de rendre hommage à la forte densité d'anglais qui vive dans le coin. L'occasion d'aller manger un Fish & Chips avec un ami anglais, histoire de rendre la soirée complètement BRITISH. Et je dois féliciter le cinéma de Renazé pour la découverte, car je n'aurais sinon pas eu l'intention d'aller voir ce film sorti originalement le 3 avril dernier en France (début janvier en Angleterre et aux USA, et seulement prévu pour septembre prochain au Canada) ce qui aurait été bien dommage car c'est UNE PURE MERVEILLE ANGLAISE comme nos voisins d'Outre-Manche ont le secret. Mais avec un américain à la barre. En effet, c'est la première réalisation de l'acteur Dustin Hoffman.


Il réuni la crème de la crème des acteurs anglais :
- Maggie Smith (pour moi THE QUEEN des comédiens anglais, connue à l'international pour ses rôles dans Downton Abbey et la saga Harry Potter
- Tom Courtenay, que j'ai découvert dans l'excellente mini-série Little Dorrit
- Billy Connolly, une absolue révélation de comédie qui est un humoriste écossais
- Pauline Collins, tantôt touchante et drôle
- Michael Gambon, que le grand public à l'international connaît plus pour son rôle de Dumbledore dans Harry Potter


Il s'agit de l'adaptation (et oui, encore une) d'une pièce de théâtre écrite par Ronald Harwood (également scénariste du film), un ami de longue date de Tom Courtenay. Il s'était lui-même inspiré d'un documentaire suisse des années 80, qui décrivait le quotidien des résidents d'une maison de repos fondée par Giuseppe Verdi, qui avait souhaité qu'après sa mort, la maison soit ouverte à tout chanteur d'opéra ou artiste qui n'avait pas fait fortune ou pensé à économiser. Et moi qui trouvais, tout au long du film, qu'un tel lieu ne pouvait exister et n'était que purement cinématographique tant la maison et les parcs sont de toute beauté. On aimerait pouvoir finir nos jours dans de tels lieux. Certes, l'original est probablement moins splendide, mais l'initiative reste la même : donner un toit à ces artistes pour leurs deniers jours.


Billy Connolly est pour moi THE révélation. Je ne connaissais pas cet acteur auparavant. Il est visiblement très connu en Angleterre. C'est un comédien habitué aux one man show. Il était d'ailleurs terrifié à l'idée de rejoindre le prestigieux casting d'acteurs "classiques" et franchement il n'y a vraiment pas de quoi tellement chacune des répliques de son personnage sont la promesse d'un éclat de rire. Surtout quand il persiste à vouloir séduire la petite jeunette du casting, le Dr Lucy Cogan, veinarde de Sheridan Smith qui a eu la chance de donner la réplique à un tel casting.

Ce quatuor est merveilleux et fonctionne à merveille. À l'image de ce film plein de bonne humeur et de joie de vivre qui prouve que même à cet âge avancé, la vie n'est pas finie et que ces personnes ont encore pleins de choses à dire et vivre. On espère avoir des amis si chers avec qui rire de la vie quand ce sera notre tour.


Pauline Collins est aussi une autre découverte pour moi. Elle est très drôle à jouer ce personnage qui perd progressivement la tête, partagé entre drôlerie et légèreté et la peur liée à la disparition de qui tu es et qui sont les gens et les lieux qui t'entourent. Elle est très touchante.
Michael Gambon est excellent à jouer cet excentrique en charge de la bonne marche de l'événement qui anime toute la maisonnée qui respire la musique et l'art. Il est bien loin de son célèbre rôle de Dumbledore, mais toujours aussi charismatique, encore plus dans ces sortes de toge baba cool qui semblent le poursuivre.


CONCLUSION : Dustin Hoffman s'en sort plus que bien pour sa première réalisation qui ne manque jamais de rythme tout au long de l'histoire. L'image est très belle, la caméra montrant le plus beau des intérieurs de cette maison, de la campagne anglaise et de ce casting plus qu'inspiré, agrémenté de tous ces véritables chanteurs/musiciens d'opéra.
Même si le réalisateur est américain, c'est bien la seule exception, tant ce film respire le feel good british par excellence, grâce à un scénario et une distribution des plus anglais. Vous passez un vrai moment de plaisir qui vous fait oublier votre quotidien et vous avez envie de revoir le film, à peine sortie de la salle, juste pour avoir une chance de catcher toutes ces expressions british, histoire de pouvoir les ressortir à l'occasion avec vos amis rosbif. J'ai trente ans, et je n'ai eu aucun mal à m'attacher et me reconnaître dans ces personnages et cette histoire malgré tout. Sérieusement, ne boudez pas votre plaisir, courez-y !!!!

samedi 30 mars 2013

Deux tasses pour le prix d'une, by Sebastian Errazuriz

Tea For Two Mug

Quelle invention magnifique pour "partager" son thé avec sa tendre moitié. Découverte faite via GeekAlerts.com pendant un surf-web lié à Game of Thrones. Comme quoi. Autant dire que la théiste que je suis a adoré l'idée de ces deux tasses en une. Ne me manque plus qu'un chéri, qui plus est fan de thé comme moi, pour la tester. Conçu par Sebastian Errazuriz. vous pouvez avoir la votre pour $15.99, via ThinkGeek.com.

lundi 4 mars 2013

Channel 4 Paralympics - "Meet the Superhumans" Ad

Forget everything you thought you knew about strength.
Forget everything you thought you knew about humans.
It's time to do battle.
Meet the Superhumans.

Je viens de découvrir cette vidéo. Une belle promotion de la part de la chaîne anglaise Channel 4, lors des Jeux Paralympiques de l’été dernier à Londres. Cette chaîne faisait définitivement plus honneur à ces jeux et ces athlètes que nos chaînes françaises à l'époque. En tous les cas, respect pour tous ces “surhommes/femmes”. Jeux Olympiques ou Paralympiques, cela reste des personnes qui vont au delà de leurs capacités physiques, se surpassent pour atteindre de nouveaux records.


Channel 4 Paralympics - Meet the Superhumans from IWRF on Vimeo.

vendredi 18 janvier 2013

Skyfall - My Review


Hier j'ai revu, cette fois au cinéma et accompagnée, le dernier James Bond? Et j'ai ressenti les même émotions que la premières fois, et même de nouveau sursautée à différents moments, alors que je connaissais les tenants et aboutissants de cette intrigue. La présence, cette-fois, de sous-titres français à pu éclairer certains détails mais cela restait néanmoins très clair lors du premier visionnage. Après tout, nous n'atteignons pas ici des sommets de complexité comme ce fût le cas avec le beaucoup trop embrouillé précédent volet sorti en 2008, Quantum of Solace.
Alors que Casino Royale (premier Bond vue au cinéma) m'avait plus que réconcilié avec cette saga que je n'avais jamais trouvé très marquante jusque là. La faute à des lead-in pas plus convaincants que ça et des histoires trop "pop-corn superficielles", à mon goût. C'est ainsi que Daniel Craig a fait son entrée dans la grande famille en 2006, en endossant les somptueux costumes du célèbre agent à la perfection. Fermant ainsi le clapet de tous ces rétracteurs. C'est bien simple, il EST James Bond. Ou est-ce Bond qui est Craig ?!? Aux côtés d'Eva Green (aka Vesper Lynd le seul et unique amour de l'agent secret), il est superbe avec ce mélange de brutalité, mais aussi cette faiblesse/cassure qui apparaît en plein jour avec son amour pour la responsable du Trésor il y a 6 ans, ou l'année dernière  alors que l'espion commence à sentir le poids des années s'abattre sur lui.


Dans Skyfall, on retrouve ce savant mélange dont Craig a le secret. Plus que jamais il nous montre un héros torturé et ici diminué par le poids de l'âge et des missions. Néanmoins il n'a jamais aussi bien porté le costume, et ce en toutes situations. Que ce soit la scène du train, où il bondit dedans avec un flegme et une classe déconcertante ; ou la poursuite dans le métro londonien, où il se réceptionne là encore toute en élégance après cette glissade dans les escalators. Classe est définitivement le premier mot qui me vient à l'esprit quand je pense à James Bond dans ce 23e volet anniversaire de la saga.

Autre chose que j'ai beaucoup apprécié, la musique du générique avec la voix absolument envoûtante (as usual) de Adèle pour le titre Skyfall. Le travail graphique de Daniel Kleinman est aussi superbe. Pour découvrir ou redécouvrir cet open titles, allez voir l'un de mes anciens posts ici. Certains n'ont pas aimés ce derniers, par avoir notamment trop entendu la chanson d'Adèle l'été dernier et encore aujourd'hui. Personnellement, je ne m'en lasse pas. Je monte le son à chaque fois que je l'entends, quand ce n'est pas volontairement sur mon iPod ou mon MacBook. Sa voix est comme toujours magnifique et transpose à merveille l'état d'esprit de Bond. Royal. Un Golden Globe récemment gagné pour l'interprète/compositrice, tout ce qu'il y a de plus mérité.

 

Ensuite, mais quelle photographie ! Un coup de chapeau à Roger Deakins pour son travail. La scène à Shanghai est particulièrement réussie avec ce jeux de lumières et de silhouettes somptueux.
Ce qui m'amène à la réalisation de Sam Mendes, que j'adore depuis le brillant American Beauty (même si ses réalisations suivantes ne m'ont pas marquées). Mais ici il retrouve ses lettres de noblesse avec une réalisation aux petits oignons, glorifiant au maximum ce héros dans toute sa beauté et fragilité. Chaque plan est réglé tel un minuscule rouage d'une énorme machine. C'est superbe.



Et le compositeur Thomas Newman fini d'enrober cette succession d'images sur leur 31 avec un très claire hommage (encore une fois) à la saga originale en reprenant le thème musical officiel.
Car ce film est définitivement un hommage (50e anniversaire oblige). Que ce soit avec la reprise du thème musical, le retour de la célèbre Aston Martin, ou le thème musical en fond sonore.


Sans parler du parallèle entre ce retour aux racines de Bond jusqu'en Écosse (que dire de ces paysages, si ce n'est WHOUAH) d'un côté, et le questionnement de sa mère spirituelle "M" (à la fin impeccable de charisme et touchante à la fois) de l'autre.


L'affiliation. Les origines. C'est le maître mot de ce film, avec l'arrivée du machivélique Silva, aka Javier Bardem qui a troqué la couple au bol ridicule du tueur plus que sanguinaire de No Country for Old Men pour la blondeur de l'ex-agent trop fan de son ancienne boss. Excellent face à face avec James Bond.


Et n'oublions pas le jeune Ben Whishaw (le célèbre auteur John Keats dans Bright Star de Jane Campion et prochainement dans Cloud Atlas) qui devient le "Q" nouvelle génération qui ramène les gadgets du héros à leur plus strict minimum. Son face à face avec 007 dans la National Gallery, dissertant sur Le Dernier Voyage du Téméraire de Turner et les pour et contre de la jeunesse vs. l'expérience. Très drôle. Hâte de le retrouver dans les prochains films aux côtés de Craig.


vendredi 11 janvier 2013

Skyfall, le générique de Daniel Kleinman sur fond d'Adèle

Après avoir vue Skyfall, le dernier James Bond, la première chose que l'on en retient, c'est d'abord son générique graphiquement superbe et lugubre à souhaits pour symboliser le mental de Bond alors qu'il sombre, littéralement. Et pour rajouter à tout cela, la voix envoûtant d'Adèle interprète le morceau en toile de fond. Impossible d'être passé à côté de cette chanson ces dernières semaines. C'est bien simple, elle passe en boucle. Et ce n'est personnellement pas pour me déplaire. La chanteuse a une voix toujours aussi magnifique. Elle a pris une courte pause de son nouveau rôle de maman pour enregistrer ce morceau que je trouve en parfait adéquation avec le film et son héros qui est toujours la quintessence de la classe attitude en toutes circonstances. Surtout dans les combats. C'est absolument royal. Mais il nous montre en même temps les failles de l'agent secret qui ont réveillées le plaisir que j'avais rencontré lorsque j'ai découvert Casino Royal, il y a 6 ans. Et l'envie de ressortir mon dvd du placard pour me refaire un petit visionnage.


Générique Skyfall par Spi0n

lundi 25 juin 2012

Paper Butterfly Art, by Rebecca J. Coles


Encore une autre découverte via Fubiz.net, cette fois d'une artiste anglaise : Rebecca J. Coles. Le moins que l'on puisse dire c'est qu'elle fait preuve d'une patience incroyable, découpant ces mini papillon en quantité industrielle que ce soit dans des timbres, des papiers de couleurs ou aux motifs divers et variés, mais aussi du texte. Je vous conseille grandement d'aller faire un tour sur son site officiel qui regorge de quantité de photos de ses créations. D'ailleurs excellent travail du webmaster (la petite agence digitale Ghost) responsable de la conception du site. La façon que les différentes photos sont agencées en patchwork est simple mais efficace et très agréable à l'œil.



Mais Rebecca J. Coles n'est pas la seule à avoir la folie des butterflies. En effet, on pourrait également citer le travail de son compatriote le provocateur Damien Hirst qui créait à ses début de charmantes fresques colorés à bases de papillons. Rien à voir avec les "oeuvres" subversives qu'il s'entête à produire actuellement. Un rapide googleage de son nom vous donnera une idée.


On peut également citer le travail de l'américain Paul Villinski qui représentent le papillon à base d'une quantité pharaonique de ses petits semblables, mais aussi pour créer quelque chose de totalement différent comme un mot. Il varie les matériaux : papier, plastique, vinyl, etc... Il part également d'un objet tel une platine vinyl, une guitare, un violoncelle d'où s'échappent tous ces papillons.





dimanche 12 février 2012

And the Bafta goes to... The Artist


J'aime ce film sincèrement, mais à la fin trop c'est trop, à l'image de leur discours de remerciements qui s'épuisent à la longue (excepté Jean, comme toujours). C'est mon côté français qui resurgi, il faut que je critique à un moment donné. Je crois que je ressens le même effet que avec Avatar : plus capable de pouvoir personnellement juger le film, alors que tant de personnes l'avaient vue, ou dans le cas ici présent récompensé. Je ne comprends pas vraiment la façon de sélectionner un film français aux récompenses anglaises. Peut être qu'Harvey Weinstein y a investi quelques livres sterling.
Plus sérieusement, je trouve que les Baftas ont depuis bien longtemps perdu leur identité, vue la quantité de films américains qui y sont en compétition chaque année. Pas étonnant qu'il y est une catégorie spéciale nommée Outstanding British Film Winner, pour est sûr qu'au moins un film british reparte à chaque fois vainqueur.
Voici ci-dessous une vidéo présentant un medley de tous les prix reçus (7 au total) par le film de Michel Hazanavicius. J'aurais ADORÉ que Drive et Nicolas Winding Refn remportent les prix de Meilleur film et Meilleur réalisateur, car ce film est un pure bijou. Je suis très heureuse d'ailleurs de voir que les anglais, eux, ont su reconnaître sa qualité en le sélectionnant parmi les cinq meilleurs films de l'année.
Mes coups de coeur de la soirée resteront le discours de Jean (as usual), celui d'Octavia Spencer qui mérite tous les prix de la terre pour son rôle dans The Help (je n'arrêterais pas de le répéter), et enfin de voir Meryl Streep remporter le Bafta de la Meilleure actrice et surtout perdre sa chaussure qui lui est restitué par Colin Prince Charming Firth.



Le 4 février dernier, Jean Dujardin et Bérénice Bejo ont reçu le Cinema Vanguard Award qui récompense les acteurs qui ont "pris des risques artistiques et apporté une contribution importante et unique au film", lors du Santa Barbara Film Festival.
Voir les précédents prix reçus par l'équipe du film ici.


Et en parallèle de toutes ces distinctions, Jean continu la promo outre Atlantique, que ce soit dans la prestigieuse Saturday Night Live (samedi dernier), dans un sketch intitulé « Les Jeunes de Paris » parodiant les feuilletons (pourris) made in France/ABC Production. Il donne la réplique et danse avec Zooey Deschanel (qui était l'hôte de la soirée) qui parlent français pour l’occasion, et Kristen Wiig (vue et adoré dans Bridesmaids) reprenant le rôle de Bérénice.
Ou encore dans l'émission de Jay Leno le 3 février dernier, aux côté de Debra Messing, venu très certainement promouvoir sa nouvelle et géniale série SMASH (voir ma critique du pilot sur SeriesAddict). Elle est d'ailleurs le meilleur public pour Jean, rigolant à chacune de ses improvisations.

dimanche 5 février 2012

TOP des publicités les plus drôles de 2011

Voici un florilèges de publicités des plus drôles que j'ai découvert via le site e-marketing.fr, qui ont conçu leur TOP5 des pubs les drôles, en partenariat avec Kantar Media.
Voici celles que j'ai préféré. La première d'entre elles nous fait revivre l'époque plus où moins glorieuse des boys bands de mon adolescence avec la marque anglaise Yeo Valley. Cette dernière a en effet eu l'idée originale de glorifier la qualité de ses produits au travers d'un faux clip champêtre nous présentant de superbes jeunes hommes prêt à nous dévoiler leur torse (miam), enjamber le premier tracteur Massey Ferguson (marque chérie de mon père) venu et chanter la sérénade à une prim'holstein impassible. C'est vraiment très drôle et le plus surprenant c'est que la chanson "Forever" des fictifs The Churned est loin d'être désagréable à l'oreille.


Voici une vidéo contre la déforestation commandée par Greenpeace, qui s'en prend à Mattel et plus particulièrement aux moultes emballages de la poupée phare de la marque. L'occasion de découvrir un Ken plus effeminé que jamais la quitter live après avoir appris que sa bien aimée était responsable de la destruction de pans entiers de forêts tropicales en Indonésie. Voir vidéo en version française ici, sur le site français de l'organisation. Cela n'est pas sans me rappeler tous ces moments du couple dans le film Toy Story 3.


Le site mettait également en avant la fameuse pub pour le nouveau gel Fructis Style Camouflage que je vous avais présenté à l'époque de sa sortie en mai dernier. Le but du spot était de montrer que le gel s'adapte à tous les styles des plus grands artistes musicaux/looks des consommateurs.

Enfin, une publicité pour la banque norvégienne DnB NOR qui s'est offert ni plus ni moins que les services de George Clooney. Conclusion : “Certaines personnes ont de la chance, pour les autres, mettre de l’argent de côté peut être judicieux”. En attendant, je crois que l'on ferait tous la même tête si on se réveillait premièrement marié (merde quelle connerie je viens de commettre?!?) et deuxièmement WHOUAH (finalement le divorce c'est mal... il faut laisser sa chance aux institutions...).


Copywriter: Janne Brenda Lysø
Art directors: Stian Johansen & Lars-Kristian Harveg
Copywriter: Jonas Grønnern
Consultant: Monika Augustsson
Project manager: Kristin Berge Jahr.
Director: Martin Werner via Bacon, Oslo
Producer: Magne Lyngner
Music “Air on the G String”by Bach, de la Suite n°3 in ré majeur, interprété par Klassische Reise durch Europa.

mercredi 28 décembre 2011

TITANIC et autres nouveautés on UK TV pour le printemps 2011

En avril 2012, cela fera un siècle que le Titanic est devenu tragiquement célèbre en sombrant dans les eaux glaciales de l'Atlantique. L'occasion pour la BBC de marquer le coup avec la mini-série en quatre parties de Julian Fellowes (à qui l'on doit la série Downton Abbey). L'originalité de cette mini-série sobrement intitulé Titanic, c'est qu'elle se penchera sur les souvent grands oubliés de la tragédie : la deuxième classe, et notamment certains qui ont réellement existé tel que les Widener, les Thayer, Dorothy Gibson, mais aussi les Allison, Astor, Strause, Guggenhiem, Contesse de Rothes, Duff Gordons, Molly Brown, et évidemment les serveuses, ingénieurs, stewarts et autres membres d'équipage.
Ces premières images sont plus que convaincantes. Tout comme les effets spéciaux qui ne peuvent rivaliser avec la version 3D de James Cameron qui ressortira au cinéma en même temps mais semblent néanmoins bien réussis. Les acteurs ont l'aire impeccables, comme toujours dans une production anglaise. En grande fan du Titanic, j'attends donc cela avec impatience.





Un maintenant un long trailer présentant beaucoup de nouveaux programmes pour la chaîne BBC qui semblent plus intéressants les uns que les autres. Décidément, j'adore la créativité anglaise.



Les nouveautés de la chaîne ITV. La promo marque surtout de par son choix musical : la toujours aussi somptueuse To Build A Home de Cinematic Orchestra.

vendredi 4 novembre 2011

Burning Man, un poster magnifique


Sans parler du fait que Matthew Goode porte le rôle central, il n'en faut pas plus pour me faire saliver d'avance. Sans rire, cet homme a l'une des plus belles et sexy voix qu'il m'est été donné d'entendre. C'est indécent. Il n'a qu'a parler et je suis à ses pieds. Plus sérieusement, cela fait plusieurs années que je suis son parcours cinématographique que ce soit l'année dernière dans Leap Year (avec Amy Adams), le droit au cœur A Single Man (avec Colin Firth) ou encore le somptueux Watchmen. Et cela que je l'ai découvert depuis le film Chasing Liberty avec Mandy Moore.
Ici dans l'un de ses premiers rôles titres, il interprète un chef anglais travaillant dans un restaurant chic de Bondi Beach en Australie, essayant de remettre de l’ordre dans sa vie et celle de son fils tout en étant constamment entouré par les femmes… Burning Man est un film australien réalisé par Jonathan Teplitzky, un nom que je vais garder en mémoire.


Le film a été présenté en sélection officielle au dernier Festival du Film de Toronto (tiff). Avec cette première bande annonce je suis également tombé sous le charme de la photographie qui est superbe. J'attends donc avec beaucoup d'intérêt la sortie de ce film.


Et pour vous faire une idée sur le monsieur et sa plus que charmante voix, voici une interview lors du tiff.

jeudi 22 septembre 2011

Harry Potter, the Complete 8 Film Collection trailer

Alors que le dvd du dernier film sortira en novembre prochain, voici un LONG trailer retraçant la complète saga. J'y peu rien, ça me prends aux tripes à chaque fois. C'est une part de la fin de mon enfance tout ça.

vendredi 16 septembre 2011

A Love Story… In Milk

Vidéo toute mignonne découverte grâce à un ami sur Facebook. Vous ne regarderez plus votre brique/bouteille de lait de la même façon. Et c'est bien le but recherché.

Conçu par Catsnake, une société de production
basé dans les Ealing Film Studios, à Londres.
Mandaté par Friends of the Earth.
Écrit et produit par Stephen Follows.
Réalisé par ​monté par Danann Breathnach.
Musique composée par Michael Csanyi Wills.

dimanche 4 septembre 2011

100 ans de mode, à l'anglaise

100 années de style East London style en 100 seconds. Du 13 sept 1911 au 13 septembre 2011. Une découverte faite via un ami sur Facebook. Vive la mode et Vive l'Angleterre !

jeudi 18 août 2011

Harry Potter and the Deathly Hallows, part 2 - My Review un poil déçue


Juillet dernier, une nouvelle GRANDE saga s'est achevée. Cela faisait si longtemps que Harry nous tenait compagnie que l'on en avait presque oublié qu'il devrait nous quitter tôt ou tard. Et ce jour est enfin arrivé, hélas. Place maintenant à ma critique, que je n'ai pas arrêté de repoussé car cela n'est pas une mince affaire à écrire. Non pas pas à cause de la tristesse mais plus à cause de la déception engendré suite au visionnage. Il me fallait donc le revoir pour réussir à mieux le juger et l'apprécier. Je vous préviens, la lecture va être longue, mais en même temps ce n'est pas tous les jours que l'une des plus grandes sagas cinématographiques s'achève.
En effet, contrairement aux critiques dithyrambiques à travers le monde, autant dire que pour ma part j'ai été un peu déçue. OK, c'était passionnant, tous les acteurs étaient au summum de leur art. On ressentait pleinement leur engagement complet pour rendre ce final le meilleur possible. Même le jeu de Daniel Radcliffe était parfait. Il m'a impressionné pour le coup. Rien à redire, si ce n'est... qu'il était temps.


Néanmoins, je reste quelque peu sur ma fin. Le part1 restera meilleur à mon goût. Il prenait le temps de mettre les choses en place et de respirer alors qu'ici tout s'enchaîne sans temps mort au détriments de certains passages qui auraient mérités d'être plus développé. Bien sûr l'histoire/le rythme (beaucoup plus soutenu) n'est pas le même, mais cependant parfois quelque pauses auraient été salutaires. Néanmoins la réalisation de David Yates était encore une fois excellente. Rien à redire à la photographie de Eduardo Serra. Certains passages ont bénéficié d'un excellent montage (Bravo Mark Day), alternant entre Harry, Ron & Hermione, et le reste de la bataille ; ou encore le pourquoi du comment de l'engagement de Snape... superbe Alan Rickman (as always).
Mais avec le recul, j'apprends à aimer cette deuxième partie. Je n'en garde que le meilleur. Sachant à quoi m'attendre, le deuxième visionnage était plus agréable, moins frustrant, même si l'ambiance de la salle n'était plus la même des débuts.

Commençons donc par les choses qui fâchent :
-- Premièrement le combat final entre Harry Potter et Voldemort, que l'on attend depuis tant d'années. Mais qu'est ce que c'est que ce saut dans le vide et ces moultes confrontations un peu partout dans le château ? Où est donc passé le long monologue de Harry face à Tom Jedusor, se tournant autour, au milieu de la salle à manger de Poudlard entouré des combattants de tout bord qui n'en perdent pas une miette ? Où est le passage où Harry explique combien Voldemort avait tout faux concernant Severus Snape ??? Ce passage dans le livre était magique, électrique, palpitant, passionnant. J'en perds les superlatifs. Hors ici, il ne s'agit qu'une scène d'actions avec pléthore d'effets spéciaux comme le cinéma hollywoodien en fait tant. C'est la GROSSE déception de ce film. Toute cette attente pour ça. Une des rares mauvaises décisions de David Yates qui m'aura déçue. Mike Newell aura raté la résurrection de Mister V, Yates sa mort. À croire que Voldemort aura donné trop de fils à retord aux réalisateurs en charge.


-- Ensuite le passage à la cabane aux coquillages et le bank robbery de Gringotts sont tellement passé vites qu'ils en sont presque anecdotiques.


-- Le temps d'antenne de Lupin et Tongs est totalement sacrifié au profit de the big picture. Aucune allusion à leur enfant avant leur mort. Quelques phrases auraient été toujours mieux qu'un effleurement de main, avant de découvrir leur corps sans vie avec Harry. Pour la grande fan des deux personnages, surtout Lupin depuis son entrée dans le monde d'Harry dans The Prizonier of Azkaban, c'est une réelle déception. Et encore, lui au moins à le droit à quelque réplique, contrairement à sa femme qui fait juste de la figuration.


-- La mort de Fred dont nous avions tout vue dans un spot tv. Pas de dialogues. Un pauvre ralenti pour nous contenter. Cela aurait été l'occasion parfait pour donner un peu de texte à Percy et le réintroduire dans la famille du même coup. Cela n'a rien à voir avec la scène dans le livre qui était d'une force insoutenable. Et au moment où nous découvrons en même temps que Ron le corps sans vie, il n'est à aucun moment exprimé lequel des deux jumeaux est mort. Il existe des personnes qui n'ont pas lu les livres (si c'est ça existe encore) et pour qui cela restera un mystère. C'est un membre de la famille Weasley bordel !!! On les côtoie depuis pratiquement la toute première page de l'histoire, depuis ce fameux quai de gare où les jumeaux taquinent leur mère sur le fait qu'elle ne sait pas les différencier... Une tout autre époque, dure à revoir maintenant. Les Weasley sont comme pour Harry, un peu de notre famille. Perdre l'un des leurs, c'est comme nous transpercer en plein cœur. Et une telle blessure aurait mérité un traitement plus juste.


-- Le baiser entre Harry et Ginny. Il n'y a pas d'alchimie entre les acteurs et ça se voit, que ce soit dans le 6 ou dans le 7 part 2. Ils ne peuvent pas avoir à chaque fois George, pour relever le niveau, comme dans le 7 part1. Encore plus comparé à celui entre Ron/Hermione, c'est le jour et la nuit.

-- La mort de Voldemort et de Bellatrix dont le corps se transforme en poussière. Alors que dans le livre, ce dernier reste inerte mais bien palpable, concret. On réalise d'autant plus qu'il ne s'agissait que d'un être humain, comme vous et moi. Tandis que là dans le film, il disparaît un peu trop facilement. C'est une mort de cinéma dirons-nous, mais c'est un peu trop facile/prévisible.

-- Pas plus de Oliver Wood que ce que l'on voit dans la bande annonce. Les personnes pas suffisamment attentives (ou pas fan à tendance compulsive comme moi) seront passé à côté du clin d'œil, mais pour les autres déception.

Les points positifs :
-- Le kiss entre Ron et Hermione attendu depuis beaucoup TROP longtemps est bien mieux que dans le livre, sans la chandelle Potter pour gâcher la fête. Dommage néanmoins que la tête de Ruper Grint nous cache tout le spectacle.


-- Neville BAD ASS Longbottom. Ce personnage connaît ENFIN son moment de gloire. Celui qui aurait pu être le chosen one brille enfin de tout le talent qu'il avant en lui depuis toujours sans savoir comment faire. Maintenant que Harry et sa clique ne sont plus à Poudlard, c'est au tour du trio bis, Neville-Luna-Ginny de régner en mettre pour notre plus grand bonheur.


Néanmoins Neville reste Neville et il n'est donc pas à l'abri de quelque ratés (première tentative de destruction de Nagini) et discours guimauve ("Harry n'est pas mort en vain..."), mais il sait se montrer néanmoins un fameux guerrier pendant la bataille entre sur le pont et sa deuxième tentative de destruction du serpent MAGNIFIQUE. Et puis il assure quand même, tenant tête à Voldemort, armé de l'épée de Gryffyndor. Même claudiquant, il en impose pas mal. De toute façon il était promis à de grandes choses et ce dès le premier. Rappelez-vous lorsque Dumbledore accorda dix points à Gryffindor en disant qu'il est difficile de tenir tête à ses ennemis, mais encore plus à ses amis. Tant de chemin parcouru depuis Mister Longbottom.
Et puis l'entorse au livre quand, au milieu de la bataille, il ressent le besoin de déclarer son amour à Luna "since we’ll probably both be dead by dawn", parfait pour les shippers du couple comme moi. Même si, de la bouche même de Rowlings, ils ne finissent pas ensemble. C'est un petit guilty pleasure.


-- Madame Weasley combattant face à Belatrix et lui balançant son fameux "Not my daughter you BITCH!". J'ai exulté littéralement de joie dans la salle. Depuis le temps que j'attends d'entendre cette ligne, ayant peur qu'ils la coupe au montage. Définitivement plus pour les enfants ce film.


-- L'ultime face à face entre Snape et Voldemort d'une grande violence difficilement tolérable même si tout est suggéré à travers une vitre. Le trio retranscrit parfaitement la terreur qui nous habite. Et ensuite l'au-revoir du professeur à Harry "you have your mother's eyes". Sans parler de la magnifique succession de moments de la vie de Rogue que Potter découvre dans la pensine. Un excellent travail de réalisation et de montage qui atteint son paroxysme lorsqueRogue découvre le corps de Lilly sans vie sous les yeux du bébé en pleurs. La scène m'a fait pleurer à chaudes larmes. Excellent travail de Alan Rickman toujours aussi impeccable mais qui peu ici nous montrer encore plus de son talent. Ce personnage était définitivement bien plus qu'un professeur arborant le même sinistre durant tout ce temps.


-- Après donc que Harry a vue les souvenir de Rogue, le silence prends de nouveau place, intensifiant la scène alors que le personnage a appris en un minimum de temps que Rogue (comme Dumbledore l'avait dit) a toujours été de son côté, a aimé toute sa vie sa mère (Always), que son patronus était le même que celui de Lilly Potter et que c'est donc lui qui avait déposé l'épée dans la mare dans le part1, et enfin que Harry a été maintenu en vie jusqu'à maintenant (like a pig) pour pouvoir mourir au bon moment de la main même de Voldemort. Cela fait un peu beaucoup à encaisser pour une seule personne. D'où le silence parfaitement approprié qui rend la scène encore plus percutante, au milieu du capharnaüm de la bataille, et ajoute de la puissance au jeu de Daniel Radcliffe déjà très bon comme dans tout le reste du film (cela me fait bizarre de le dire, mais c'est la pure vérité).

-- Luna qui tient tête à Harry en se faisant entendre pour la première fois haut et fort. Vive Luna ! Sans parler que c'est grâce à elle qu'ils savent que c'est le diadème de Rowena Serdaigle qu'il faut chercher. Et en plus elle sait également à qui s'adresser pour le retrouver. She's the best. Evanna Lynch, à l'image de son personnage, a su se montrer attachante dès son arrivé dans la mythologie dans le 5e tome/film et gagner instantanément la sympathie du public. J'espère vraiment que l'actrice va continuer dans la voie de la comédie et que nous aurons d'autres occasions de la voir jouer, pourquoi pas, des rôles à l'opposé de la rêveuse Luna.


-- Les moments de silence complet qui intensifient encore plus la scène (dans Gringotts avant que le dragon explose tout, juste après que Harry est vue dans la pensine la vérité sur Snape et du même coup sur lui-même, ou encore lorsque Voldemort comprends que le Harry est après les Horcruxes).

-- La scène d'Harry qui tente de garder la tête hors de l'eau (après avoir sauté du dos du dragon) alors qu'il a des visions horribles du carnage que Voldemort est entrain de commettre quand il comprends que le trio a mis la main sur une autre partie de son âme, est tout simplement superbement terrifiante. Ce gros plan sur Harry avec les remous de l'eau, c'est magnifique.

-- Le progrès des effets spéciaux qui sont tout simplement superbes. En témoigne la LONGUE liste de personnes/studios qui ont travaillé sur le film dans le générique de fin. Je pense notamment à la scène du trio sur le dragon, où ils sont reconnaissables. Rien à voir avec Harry sur le trôle dans le premier film par exemple. Ou encore pour ce qui est des sorts, de la fumée des Mangemorts en mouvement, de la beauté évanescente des fantômes, et de façon plus générale de la bataille de Poudlard.


-- Madame Malfoy qui est absolument magnifique dans ce film. Alors que son mari n'a jamais été aussi profondément pathétique (et en même temps irrésistible), elle brille par son charisme et son humanité. Le jeu tout en subtilité de l'actrice est superbe. Au milieu de toute cette guerre de pouvoir, elle prends son destin en main et réalise que l'important au final est son fils. Elle n'a que faire de savoir si Harry Potter est mort ou non, ni ce que cela implique pour son ex maître en puissance. La scène où elle s'agenouille est superbe, surtout quand elle se retourne très lentement vers Voldemort pour dire "mort".


-- Au même titre, voir le fils Drago enfin choisir son camp et découvrir que au fond ce n'est qu'un enfant, arrogant certes, mais qui ne veut pas tuer. Le regard qu'il jette à Harry quand ce dernier lui demande pourquoi il n'a rien dit à Bellatrix (à la fin du part1) alors qu'il savait pertinemment qu'il s'agissait du chosen one.


Superbe scène lorsque son père, puis sa mère lui demandent de les rejoindre. Le voir hésiter, à penser rester du côté des "gentils" est très touchant. Au final, au milieu de tout ce merdier, il ne choisi pas un camp, mais tout simplement sa famille et ensuite ils tournent le dos à tout ceci. Se lavant les mains de qui gagne ou perd au final. Le plus drôle dans tout ça, c'est lorsque Voldemort le prends dans ses bras. Il ne réalise pas alors qu'il se trouve face à celui qui a désarmé Dumbeldore et donc été, pendant un temps, le véritable possesseur de l'Elder Wand. Ironie quand tu nous tiens.


-- Le fait que Harry dise au revoir à Ron et Hermione avant de se rendre dans la Forêt Interdite, contrairement où dans le livre il part sans se retourner. Cela ne fait qu'intensifier encore plus la grande force, le lien profond qui uni ce trio. Hermione qui fond en larmes et veut venir avec luialors que Ron se passe de mots, son regard est suffisamment éloquent. Ils sont meilleurs amis depuis toujours, ils comprennent donc ce que Harry est obligé de faire.

-- Le clin d'œil au deuxième film/livre lorsque Harry tombe sur des pixies (petites créatures bleues qui volent dans tous les sens) dans la salle sur demande, alors qu'il cherche le diadème.

-- L'excellent montage entre le combat d'Harry vs. Voldemort d'un côté, et Ron/Hermione/Neville vs. le snake de l'autre. Avec Voldemort qui réalise qu'il n'est plus qu'un alors que tous ses précieux horcruxes ont été détruits.
D'ailleurs tout au long du film on le voit progressivement douter, prendre peur de plus en plus. Et avec cette peur il devient de plus en plus dangereux et extermine tout sur son passage même au sein même de ses rangs. Le massacre dans Gringotts sous les yeux apeurés des Malfoy est a vous glacer le sang. Cela faisait peur dans le livre. C'est parfaitement retranscrit dans le film, on est mal à l'aise au possible.
La scène où du haut de la falaise il tente de briser le bouclier qui entoure l'école avec l'aide de sa baguette que la caméra va jusqu'à s'insinuer dans la fissure qui ce créée dans cette dernière est superbe. Sans parler de la peur qui se lit sur le visage de Voldemort, comme s'il commençait à sentir que ses pouvoirs commencent à s'amenuiser.

-- La bande son du compositeur français Alexandre Desplat qui s'est encore une fois surpassé après pourtant son excellent travail pour la première partie, particulièrement avec les morceaux : Lily's Theme, Courtyard Apocalypse, Battlefield, ou encore Statues.

-- Les rares moments de légèreté comme quand :
- Le professeur McGonnagal se comporte comme un grand enfant ("I always want to use that spell"), ou encore quand elle incite le jeune Finigan a mettre à profit son art explosif (clin d'œil au fait qu'il y a toujours quelque chose qui explosait à la figure de ce dernier tout au long des différents films).


- Ou Ron à propos de Ginny qui n'a aucun regard pour lui, quand le trio revient à Hogwards, au profit de Harry. "Six months she hasn't seen me and It's like I'm a frankie first-year. I'm her brother. (Seamus) She has many brothers and only one Harry. (Ron) Shut up Seamus."
Ou quand il fait preuve de génie avec Hermione, lui montrant du même coup qu'il n'a jamais perdu une miette de ce qu'elle disait.


- Lorsque le trio arrive dans la salle sur demande et recherche de l'aide auprès des élèves présents, sur un objet ayant appartenu à Rowena Serdaigle qu'ils doivent retrouver. Et lorsque ces derniers leur posent différentes questions, la réponse est invariablement "we don't know". Sans les lumières de Luna (encore et toujours) ils seraient encore entrain de chercher.


- Et les incartades de Rusard, toujours à côté de la plaque.


Et comme tous les films de la saga, cela s'achève par le trio. Tout ce qui compte au final, c'est eux trois que ce soit maintenant ou 19 ans plus tard. Comme nous l'avait si bien montré le part1, ils sont la force vive de toute cette saga. Harry ne serait rien sans Ron et Hermione et nous sans eux trois.


En tous les cas, milles merci à J.K. Rowling pour cette merveilleuse histoire et à tous les gens qui ont travaillé sur les films pendant près d'une décennie pour transposer cette magie sur grand écran. Cela n'a pas toujours été simple, il a fallu faire des choix qui ne pouvaient plaire à tout le monde. Mais au moins, avec le 7e tome divisé en deux parties, nous avons eu la chance d'avoir une fin digne de ce nom qui ne soit pas tronqué. Certes, je n'ai pas adoré ce film a mon premier visionnage, mais comme pour le troisième c'est avec le temps et le recule que je serais mieux l'apprécier et ne retenir au final que les meilleurs moments. C'est comme dans la vie.
Pour ce qui est des acteurs, ils ont clairement donné leur maximum (visible à chaque instant à l'écran au point qu'il en est presque palpable) et nous ont embarqué avec eux dans l'aventure. Que de chemin parcouru pour le casting d'enfants, et plus particulièrement le trio principal, depuis le premier film. Ils sont passé du stade d'enfants inconnus à jeunes adultes planétairement connus. C'est l'effet Harry Potter. Souhaitons leur le meilleur pour leur future carrière loin de Poudlard.
Quand à nous, il faut aussi clore ce passage de notre vie pour nous ouvrir à de nouvelles histoires, même si cela ne sera jamais vraiment fini. Harry Potter restera dans nos cœurs bien plus que je n'aurais jamais imaginé au début de tout ceci quand j'ai découvert le premier film puis me suis plonger dans les différents livres jusqu'à devenir accro comme tout bon potterphile qui se respecte. Et puis la magie perdure :
- entre Pottermore, le site lancé par Rowling
- le Warner Bros. Studio Tour construit en lieu et place des studios anglais de Laevesden (à une trentaine de kilomètres au nord-ouest de Londres) où a été tourné la saga, et qui ouvrira ses portes au printemps 2012 (voir vidéo)
- sans oublier le parc d'attractions d'Orlando, en Floride.
En tous les cas, une chose est sûre, je le transmettrais à mes enfants. Le jour où je deviendrais mère, je n'aurais qu'une hâte qu'ils grandissent pour que je puisse alors leur compter la merveilleuse histoire d'un petit sorcier binoclard. En espérant qu'ils seront à leur tour aussi passionnés par ces livres et feront ainsi perdurer pour les générations suivantes ALWAYS.