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mercredi 15 septembre 2010

Raiponce (Tangled) : affiches, images, trailers et autres concept arts

L'affiche Française, dévoilée fin août.

Je vous en avais déjà touché deux mots en juin dernier. Me voilà pour en remettre une couche alors que j'ai découvert de nouvelles bandes annonces qui me donnent encore plus envie de découvrir ce dessin animé qui sortira le 1er décembre en France. Mais c'est un Disney bordel, cela ne devrait pas me faire cet effet là et pourtant je retrouve dans l'histoire tout ce qui faisait le charme des histoires de mon enfance sauf qu'ici la fille kick ass et le mec suit le mouvement... de ses longs cheveux.


Synopsis (AlloCiné) : Lorsque Flynn Rider, le bandit le plus recherché du royaume, se réfugie dans une mystérieuse tour, il se retrouve pris en otage par Raiponce, une belle jeune fille à l’impressionnante chevelure de 20 mètres de long. L’étonnante geôlière de Flynn cherche un moyen de sortir de cette tour où elle est enfermée depuis des années. Elle passe alors un accord avec le séduisant brigand… C’est le début d’une aventure délirante bourrée d’action, d’humour et de sentiment, au cours de laquelle l’improbable duo va rencontrer un cheval super-flic, un caméléon à l’instinct de protection surdéveloppé et une bande de voleurs très « bruts »…

Contrairement aux premiers teasers/bandes annonces qui restaient centré sur la tour et ses alentours, ici nous découvrons pleinement quelques bribes du voyage que vont entreprendre nos deux héros. Ces images sont encore plus drôles que les précédentes et toujours aussi magnifiques. Décidément de quoi retomber en enfance. En plus la voix du beau prince, en VO, est celle du aussi charmant que drôle Zachary Levi que j'ADORE dans la série Chuck. Il est drôlissime et je ne peux m'empêcher de penser à lui et d'imaginer ses mimiques quand le prince parle. Une autre bonne raison de voir ce dessin animé, si possible en VO.

- Feature Trailer


- Theatrical Trailer


Le teaser poster (pré-affiche) dévoilé fin juillet.

Et enfin quelques concept arts pour vous faire patienter et saliver de plaisir.

Et vous pouvez découvrir pleins d'autres dessins ici ou encore ici.

samedi 24 juillet 2010

Toy Story 3 - My Review : Bien au delà de l'infini


Décidément, ce mois-ci je suis en mode "enfants" avec le travail en centre de loisirs la semaine. Et pour ne pas être dépaysée, le samedi avec mon amie Carole : projection de l'Histoire des jouets 3 accompagnée de Carambars fruités tout d'abord, suivie d'une harassante partie de ping-pong au Décathlon le plus proche et enfin goûter express façon choco et jus d'orange. Voici le superbe programme de mon après midi nantaise. Et une conclusion me viens au terme de la projection du dernier film made in Pixar : Comment avons-nous pu être aussi dures avec nos jouets, les reléguer au placard, leur faire endurer tant de misères, les jeter à la poubelle ?!?


Autant vous dire que comme beaucoup j'avais plus que hâte de découvrir cette suite du film par quoi tout à commencé. Toy Story nous a montré que les dessins animés n'étaient pas que pour les enfants mais que nous aussi pauvres adultes désabusés pouvions y trouver notre compte. Le numéro deux n'a fait que prouver tout le bien que l'on pouvait penser des studios à la lampe sautillante en nous fournissant un film tout aussi bon, si ce n'est meilleur. Ce qui est suffisamment rare pour le signaler. Onze ans plus tard, ce troisième opus ne déroge pas à la règle. Toy Story gardera une place particulière dans notre cœur car c'est grâce à lui que Pixar donnera une alternative à tous ceux qui ne supportaient plus les films trop contes de fées made in Disney.


Mais trêve de bavardages, place au film. Après plus de 20 minutes de publicités et autre bande annonces insipides impliquants des animaux qui parlent ou le fils de Will yumi Smith s'entraînant à devenir un super ninja avec Jackie Kun Fu Chan (non les fans de jouets ne sont pas forcément fans de chiens qui parlent !!), le logo de Disney apparaît enfin à l'écran. Et oui, on aurait presque oublié que les studios Pixar sont dorénavant la propriété de Mickey... S'en suit la charmant lampe sautillante puis le logo Toy Story 3 apparaît à l'écran. Car oui, au Pathé Atlantis de Saint Herblain la séance en 2D de 14h30 ne donne pas droit au fameux cour-métrage auquel nous sommes tant habitué. Mais grâce à la magie YouTubesque j'ai depuis rattrapé mon retard et découvert Night & Day qui ne restera pas dans les annales au même titre que For The Birds (Les moineaux), Jack Jack Attack ou Presto. Entre autres parce qu'il est en 2D, ce qui fait un peu tâche comparé à ce que nous avons l'habitude de voir. Mais aussi parce parce que l'histoire de ces deux personnages, le jour et la nuit, sont loin de nous passionner et de nous faire rire comme les moineaux, le lapin du magicien et autre bébé fou.

Mais heureusement, le début du film est là pour tout rattrapé. Alors que le début du deuxième film nous plongeait dans l'univers futuriste du fameux Buzz l'éclair, ici nous nous retrouvons dans un monde du far-west où Woody, Jesse, Pile-Poil et Buzz combattent le tyrannique Bayonne secondé par le couple Mr & Mme Patate et leur "enfants" les martiens. En effet, ces derniers ont volé l'or de la banque et kidnappé les enfants du village (trolls à la crinière colorée).


Cette séquence est remplie de références aux films de cow-boys et à ceux de voyages intergalactiques avec leurs vaisseaux spatiaux ultra-équipés façon Star Wars. Le machiavélique Bayonne dans son vaisseau à son image (littéralement) est absolument tordant. Sans parlé de l'horrible Mr. Patate qui, après avoir détruit le pont et laissé le train foncer vers son triste destin, s'enfuit au volant du cabriolet Barbie avec femme et enfants.


Et on ne cesse de rire devant cette scène d'ouverture qui nous plonge directement dans l'univers de nos jouets préférés et donne le ton pour tout le film. Comment avons-nous pu passer onze années sans eux ?!?


Retour à la réalité où Andy a bien grandi et les rares jouets (Woody, Buzz l'Éclair, Zigzag, Jessie l'écuyère & Pile-Poil, Rex, Mr. et Mme Patate, Bayonne, les martiens et les soldats) qui ont survécus à sa croissance ont fini leur vie dans un coffre à jouets près de la fenêtre. Seulement voilà, le garçon devenu jeune homme part à l'université, résultat c'est le grand ménage de printemps dans sa chambre et tout doit disparaître. Trois choix possible : le grenier, l'université ou la poubelle. Bon ce n'est pas surtout pour Woody qui part avec l'étudiant mais plutôt l'avenir des autres qui s'assombrit quand ils finissent malencontreusement à Sunnyside, la crèche du coin.


Car si tout semble rose au départ, avec la rencontre de nouveaux jouets et la perspective d'enfants jouant avec eux...


... ils déchantent rapidement (hormis Barbie qui trouve enfin son Ken) quand ils réalisent que Lotso le chef des lieux aka gros nounours rose plein de rancœurs, les assignent au "premier âge" autant dire la mort et ce dans d'atroces et lentes souffrances.


Je tiens d'ailleurs à souligner au passage les prouesses technologiques qui ont été mises en œuvre pour ce nouveau volet. Quand on revoit les deux premiers, surtout Toy Story 1 qui était précurseur à sa sortie en 1995 mais 15 ans plus tard ressemble plus à un film de fin d'études des Gobelins (ce qui est déjà très bien, attention). On peut voir d'ailleurs que le choix des jouets d'alors n'avait pas été laissé au hasard : tous fait de plastique, plus facile à modélisé à l'ordinateur, je ne parle même pas des humains qui ne ressemblent pas à grand chose. Même si pour le troisième opus ils ont du freiner aux niveaux des avancés numériques pour ne pas perdre ce qui fait toute la beauté des jouets d'Andy, on perçoit par petites touches dans les détails qu'ils sont encore plus travaillé. Cela se ressent dans le travail des textures des jouets mais aussi du mobilier environnant et aussi des humains beaucoup plus jolis à l'œil. N'oublions pas le personnage de Lotso qui est une véritable prouesse à lui tout seul, tellement magnifique qu'on voudrait pouvoir le toucher et cela en 2D alors je suppose que la 3D a dû le rendre encore plus vrai. Dernier cas, capillaire cette fois, le brushing de Ken : impeccable.


Pour en revenir à l'histoire, nous suivons donc les personnages qui cherchent par tous les moyens à s'évader de Sunnyside et pour cela ils vont s'allier car c'est bien connu, on est plus fort ensemble. C'est d'ailleurs le message fort qui nous sera vendu tout le long du film, l'importance de rester soudés quoi qu'il arrive. Certes c'est vu et revu nos toys préférés le font avec une telle élégance et un tel panache que l'on s'en moque et profitons du voyage.


Je retiendrais de ce film, en plus du générique de début, le rebut système de Buzz qui après avoir été à la botte de l'ennemi en avait bien besoin. Une sorte de clin d'œil au premier film où Woody et les autres avaient eu toutes les misères du monde à lui faire prendre conscience qu'il n'était qu'un "jouet". Ici la seule solution est le doigt du dino dans le "trou reset" pour relancer l'aventurier de l'espace... en mode espagnol...


Ce qui implique quelque quiproquos en mode flamenco.


Autres grands moments, tout ce qui implique de près ou de loin Ken son côté "précieux" (jouet de filles oblige) fan de tissus et son dressing qu'il présente en long en large et en travers pour conquérir le cœur fashion de la belle Barbie, l'élue de son cœur. Sans oublier la façon de marcher, pieds plats, de la poupée au masculin : ridiculement drôle.


Autant de merveilleux moments qui rendent encore plus difficile le moment inévitable où il faut dire au revoir, à l'image d'Andy qui doit laisser derrière lui des personnages qui l'ont accompagnés la majorité de sa vie. Ces toys nous auront fait rire et même émus aux larmes que l'on doit se pincer parfois pour ne pas oublier, comme Buzz l'éclair, que ce ne sont que des jouets. Seulement voilà, ils sont bien plus que ça. Ils ont bercés notre enfance à nous aussi. Il y a quinze ans je n'en avait que douze maintenant je suis une adulescente en puissance qui refuse de grandir et donc fonce à chaque sortie d'un nouveau Pixar pour avoir le sentiment, pendant deux heures, d'être encore une enfant. Et à ce niveau-là les studios à la lampe remportent au la main le contrat en nous apportant ici le plus magnifique des épilogues. Un seul regret, on aimerait que cela ne ce termine jamais.

lundi 21 juin 2010

VIVE l'Histoire des jouets 3, Shrek 4 et Raiponce

J'avais envie de vous parler de nouveaux de mes coups de cœur cinématographiques futurs mais cette fois en ce qui concerne les films d'animations. Commençons tout d'abord par THE film qui m'a fait tombée amoureuse des films d'animations en général et de Pixar en particulier : Toy Story. Je me souviens avoir été bluffée par les couleurs, la qualité de l'image, l'histoire et les personnages. Cela n'avait plus rien avoir avec les dessins animés de mon enfance. Désormais, vous pouvez être un adulte et dire Oh et FORT que oui vous aimez ça, mais surtout quant c'est une production à la lampe, signe de qualité assuré.


## Toy Story 3 ##


Synopsis (AlloCiné) : Woody le cowboy, Buzz l'Eclair et les autres jouets se retrouvent confrontés à ce qui devait bien arriver un jour : le départ d'Andy pour l'université... Ils sont donc tous envoyé à la garderie de Sunnyside où pour eux une seconde vie commence. Mais est-ce possible de rester bien longtemps loin de leur maître adoré ?



Alors que les Américains ont eu la chance de le découvrir depuis la semaine dernière (I hate you!!!), nous pauvres Français, devront patienter jusqu'au 14 juillet prochain. Au vue des premiers écots sur rottentomatoes.com, le film est dorénavant le meilleur démarrage de Pixar (devant Les indestructibles) et les critiques sont élogieuses. Décidément, l'attente va être longue.


- Première Bande Annonce, en VF, diffusée fin 2009


- Deuxième Bande Annonce, en VF

- Et en exclusivité, une interview d'un nouveau personnage, le mythique Ken


## Shrek 4, il était une fin ##


Autre film qui m'a définitivement fait craqué pour l'animation : Shrek et plus particulièrement le deuxième volet absolument hilarant. Je me souvient encore de la projection à Nantes et d'avoir pleuré littéralement de rire. Quand il ne s'agissait pas des blagues à l'écran, c'était un mec au rire improbable dans le public... Mémorable. Bon, le troisième m'a incroyablement déçue mais à la vue des nouvelles bandes annonces, il y a un je ne sais quoi qui me donne envie de croire de nouveau à cet ultime histoire de l'ogre vert. Peut être est-ce le charme du Chat Potté qui a fait son œuvre sur ma personne. En même temps, il est encore plus irrésistible tout obèse qu'il est.


Synopsis (AlloCiné) : Après avoir vaincu un méchant dragon, sauvé une belle princesse et le royaume de ses parents, que peut encore faire un ogre malodorant et mal léché ? Domestiqué, assagi, Shrek a perdu jusqu'à l'envie de rugir et regrette le bon vieux temps où il semait la terreur dans le royaume. Aujourd'hui, tel une idole déchue, il se contente de signer des autographes à tour de bras. Trop triste... C'est alors que l'habile et sournois Tracassin lui propose un contrat. Shrek se retrouve soudain transporté dans un monde parallèle totalement déjanté où les ogres sont pourchassés, où Tracassin est roi, où Fiona et son bien-aimé ne se jamais rencontrés... Shrek va-t-il réussir à déjouer le sortilège, à repasser de l'autre côté du miroir, à sauver ses amis, à retrouver son monde et reconquérir l'amour de sa vie ?

- Trailer


- Trailer B


- International Trailer



## Tangled ##


Ce dernier projet, je l'ai découvert par le biais de mon amie Laure qui déjà avait été la première à me parler du dernier Disney La princesse et la grenouille, bien avant sa sortie en salle. Ici avec l'histoire de la chère Raiponce, bloquée dans sa haute tour, nous avons de nouveau affaire à un Disney. Et le moins que l'on puisse dire c'est que j'ai aimé ces premières images, qui m'ont beaucoup fait rire. Ce qui est plutôt rare avec les produits estampillés Mickey car je suis, depuis Toy Story, absolument dévouée à la cause Pixarienne.
En tous les cas, les images sont très belles et ce trailer, sous fond de PINK (rock n' roll), donne envie d'en voir plus. La chanteuse/actrice Mandy Moore prête sa voix pour la princesse, alors que le beau prince a celle du charmant acteur, que j'adore, Zachary Levi (alias Chuck dans la série du même nom). Verdict : le 1er décembre prochain.

Synopsis (AlloCiné) : Enfermée dans un haut donjon par un sorcier dès sa naissance, la princesse Raiponce (Rapunzel) n'a jamais vécue en dehors de sa prison... jusqu'au jour où le prince bandit Flynn vient la délivrer. Un petit détail, la jolie demoiselle possède une très très longue chevelure, unique moyen pour se sortir de cet horrible donjon...