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dimanche 24 juin 2012

Ma Première Fois - My Review


Synopsis (AlloCiné) : Zachary a 20 ans. Sombre et indépendant, il collectionne les conquêtes amoureuses et les échecs scolaires. Sarah a 18 ans. Première de la classe, fragile, elle comble ses manques affectifs grâce à une maîtrise parfaite de sa vie. Rien ne devrait les rapprocher et pourtant, l’année du bac, durant six mois, ils vont vivre un amour contre lequel on ne peut rien, le vrai, le grand, celui qui marque une vie pour toujours.

Attention à la présence de SPOILERS sur l'intrigue. Si vous lisez la suite sans avoir vu le film, c'est à vos risques et périls. Je vous aurais prévenu.


Parce que des jolis gens dans un joli décor de fucking hipsters, avec des mouvements de grue de malade qui coûtent la moitié du budget ça ne fait pas pour autant un bon film. Sans parler des dialogues cousus de fil blanc. Les acteurs sonnent faux à chacune de leur tirade. Bon pour corser un peu les choses, on ajoute une meilleure amie suicidaire. Mais elle se loupe, alors c'est pas si pire. En même temps avec un titre comme ça on pouvait s'attendre à du cucul la praline mais la bande annonce n'avait rien laissé présagé. L'abus de bougies en trop de circonstances. La putain de scène de kiss sous la pluie. Le gentil beau-papa à lunettes (super hip) super compréhensif (Vincent Perez) versus la méchante maman/Mouloud publicitaire (Judith El Zein). La perte de virginité florale de la demoiselle, parfaitement orchestrée par son chéri d'amour. La fille studieuse qui tombe amoureuse du méchant garçon dont l'amour, le vrai, va le changer à jamais.


En écrivant ces lignes je réalise combien tout ceci a un GROS air de A Walk To Remember. Jusqu'à sa fin tragique. Ce n'est pas parce que vous tuez l'un des deux amoureux que cela fera un bon film. C'est vu et revu. Entre le film précédemment cité, Titanic, Brokeback Mountain, The Constant Gardener, Moulin Rouge, Romeo + Juliet, Love Story, Ghost, Se Souvenir des belles choses, Le Voile des illusions, Liaisons dangereuses, Philadelphia, P.S I Love You, Neverland, Atonement (pour ne citer qu'eux) sont déjà passés par là, en faisant un bien meilleur travail. Finir par le drame n'en fait pas un chef d'œuvre. Il est plus facile de faire rire que de faire pleurer. En voici encore un parfait exemple. Et puis le faux suspense de qui va y passer... Sérieusement. Dès les premières secondes du film, on a la réponse à cette question. Et ne parlons pas de la scène d'adieux sur le lit de mort où cette dernière à le temps de dire tout avant son dernier souffle. On se croirait dans un mauvais western ou un film de guerre patriotique. Donc, vous l'aurez compris, une grosse déception. Ce n'est pas avec ce film que le cinéma français va remonter dans mon estime. Heureusement qu'il y a La Délicatesse, Intouchables, Polisse ou récemment De Rouille et d'Os pour remonter un peu le niveau.


La phrase de la réalisatrice Marie-Castille Mention-Schaar : "C’est une histoire qui m’est proche puisqu’elle raconte beaucoup de choses de ma première histoire d’amour – ma grande histoire d’amour. Je suis une absolue romantique..." Et bien moi aussi je suis une éternelle romantique à tendance ULTRA fleur bleue, mais comme dirait ma mère faut pas pousser mémé dans les orties. Il y a une limite à la décence. Il faut croire que je n'ai pas été touché par la grâce de l'amour pour comprendre à sa juste valeur ce fameux film. À vous de juger.

mardi 3 mai 2011

La Sci-Fi Convention, les 16-17 avril à PARIS


J'en avais parlé précédemment, le week-end du 16 et 17 avril dernier j'ai eu l'opportunité par le biais du site SeriesAddict pour lequel je fais chaque semaine les critiques de The Vampire Diaries et Friday Night Lights (durant sa cinquième et ultime saison), et ponctuellement poste certaines news et mini-chroniques. Mais c'est en ma qualité de fan de FRINGE Charlotte et Amélie, les maîtres suprême du site, ont pensé à moi. C'est ainsi qu'avec trois autres chroniqueurs, JB, Anne-Sophie et Fabien (le chroniqueur officiel de Fringe) nous avons vécu deux jours hors du temps où croiser John Noble et Jasika Nicole était tout à fait normal.
Étaient invités à cette Convention, hormis les interprètes de Walter Bishop et Astrid Farnsworth, Michael Shanks (Daniel Jackson de la franchise Stargate) et Jordan Hinson de la série Eureka, que j'ai d'ailleurs découvert à l'occasion d'une projection du pilot après le premier panel le samedi. En notre qualité de "journalistes" nous avions droit à un superbe badge press. Mon premier, donc c'est émouvant, et je dois dire que c'est très agréable à porter. On se sent important, et surtout on a accès au saint graal, franchissant des barrières interdites au fan lambda. En bref un pied intégral.


J'ai eu la chance de pouvoir interviewer Jasika et de l'avoir tout à moi pour un quart d'heure de pure bonheur, à tenter de poser le maximum des questions que j'avais préparé. Durant l'interview, je lui ai même demander si elle pouvait dessiner un petit quelque chose (résultat ci-dessous) pour les lecteurs de SeriesAddict car au cours de mes recherches pour préparer l'entrevue j'ai découvert que c'était également une artiste qui créait des comics basées sur sa vie, durant ses temps libre. Je vous conseille d'ailleurs d'aller faire un tour sur son site officielqui est charmant au possible, à l'image de la demoiselle. Pour lire l'interview ainsi celles des autres invités, je vous conseille d'aller jeter un œil sur notre dossier que nous avons préparer avec amour, photos et vidéos à la clef.

samedi 30 avril 2011

Une touriste à Paris

Du 26 au 28 avril j'ai profité d'une petite expédition parisienne pour découvrir un peu plus les beautés de cette charmante capitale.
Première chose au programme, l'exposition PARIS au temps des impressionnistes, qui regroupe certaines pièces issues du Musée d'Orsay, à l'Hôtel de Ville. Une très bonne occasion de découvrir des œuvres de maîtres gratuitement. Il faut juste s'armer de patience avant de pouvoir rentrer dans le sacro-saint lieu.


Le Musée Carnavalet.

La Place des Vosges.

Deuxième jour, deuxième lot de visites, avec tout d'abord les Arènes de Lutèce. Elles datent de la fin du Ier siècle après JC, à l'époque où la capitale se nommait Lutèce.


Le Panthéon et l'église St Etienne du Mont.

Cette église a vraiment une très belle architecture à l'intérieur. L'orgue est impressionnant et les escaliers sont magnifiques. En plus ils mènent à un second niveau, ce que j'ai toujours rêvé de voir dans une église pour pouvoir admirer au plus près les plafonds et avoir du même coup une vue imprenable sur l'ensemble.


Et enfin, à proximité de l'église se trouve un charmant PUB qui m'a rappelé de bons souvenirs à Londres. Vive l'Angleterre et Vive les anglais. Autant je ne suis pas fan des bars et autre cafés en France, autant j'adore les pub. Il y a une atmosphère particulière, sans oublier les britishs bien sûr.


La librairie Shakespeare and Company, sur les bords de la Seine, non loin de Notre Dame, 37, rue de la Bûcherie. Elle est ouverte tous les jours de 10h à 23h, exceptés les samedis et dimanche, ouverture à 11h.
J'ai découvert sur la toile qu'elle est référencé dans de nombreux guides de la capitale et l'objet de nombreux tournages. Ce qui explique la quantité de touristes venant flâner à l'intérieur, tout comme moi. C'est comme une sorte de parenthèse car les vendeurs parlent en anglais pour guider justement tous ces étrangers dans leur recherches, tant et si bien que l'on ne se croit plus totalement en France. Tous les livres disponibles, qu'ils soient neufs ou d'occasion, sont dans la langue de Shakespeare (d'où le nom de la boutique). Certains visiteurs, inspirés par tout cet atmosphère, se lançaient dans des séries de clichés. Même votre fidèle servante ici présente n'a pas dérogé à la règle. C'est tellement chaleureux et la quantité de livres et de sièges incitent à la lecture. Sans parler de ces petits coins couverts de messages de gens de passages et autres photos. Une machine à écrire n'est jamais loin pour inciter encore une fois le voyageur a laisser son empreinte. Pour en revenir aux livres, la fan de Jane Austen et Charlotte Brontë que je suis y a passé beaucoup de temps avec plaisir. Et j'y retournerais avec bonheur. Si vous avez l'intention de visiter Paris et que vous aimez les livres et la littérature anglaise en particulier, je vous conseille grandement cette adresse.


Voici un graffiti d'un chat monochrome noir, sous un parapluie aussi rouge que la canne à pêche qui se trouve à l'entrée de la Rue du Chat qui pêche, bien sûr. C'est une rue non loin de la librairie, toujours sur les bords de Seine.


Enfin le dernier jour, je suis partie à la découverte des Invalides, et je suis loin d'en avoir fait le tour. En tous les cas c'est passionnant et cela donne un autre éclairage sur l'histoire de notre pays. Voir la tombe de Napoléon fait aussi son petit effet et la bâtisse en elle-même est tout simplement superbe. On se sent vraiment tout petit. Même si j'aime beaucoup mon téléphone portable et sa fonction appareil photos, j'ai vraiment regretté de ne pas avoir apporté mon appareil photos pour avoir des photos de meilleures qualités. La coupole de l'égilse du Dôme qui domnine le tombeau de Napoléon Ier est particulièrement magnifique.

lundi 20 décembre 2010

Snowboard in Montmartre by Riders-Match

Preuve que ce genre de situation métrologique n'est pas que source d'ennuis pour les automobilistes mais peut aussi être source de bonheur cosmique pour les amateurs de glisse. Ou comment rendre une balade dans Montmartre atypique par un beau jour de 8 décembre 2010. Surtout quand le quartier est pratiquement déserté par les touristes.
Mention spéciale pour la montée en téléphérique... pardon Funiculaire. On a la classe, ou on l'a pas !

lundi 13 septembre 2010

Walls Are Dancing, le clip officiel by Le Groupuscule

Fin août je vous ai déjà parlé de ce fameux projet mis en place dans trois villes de France (Paris, Marseille et Lyon), le Let's Colour Project avec Walls Are Dancing, avec trois fresques crées pour l'occasion par l'artiste Américain MWM. Voici donc le fameux clip officiel réalisé par Le Groupuscule sur une musique du DJ Electro Monsieur Monsieur.



Suivie du making-of qui explique toute la démarche en amont et le processus qui en découle :

vendredi 27 août 2010

Walls Are Dancing by MWM à Paris


Matt W. Moore, alias MWM expose ses oeuvres dans les galeries du monde entier. Il est l’inventeur du style Vectorfunk (fresques murales abstraites, formes géométriques aux couleurs vives). Comme souvent, j'ai découvert ce performer sur la toile et notamment son travail en collaboration avec, entre autre, la marque de peinture Dulux Valentine : Let's Color Project qui a déjà été réalisé dans différents pays (Brésil, Inde, Royaume Uni et début juillet en Turquie). Ce projet à l'échelle mondiale a débuté en mars 2010 et a pour but d'apporter de la couleur dans le monde, en partenariat avec les communautés locales, en repeignant des écoles, des rues, des maisons, des places. Certes cela peut sembler utopique mais qui n'a pas besoin d'un peu de lumière dans sa vie. C'est déjà un bon départ et visiblement les retours sont très positifs.



Pour le travail en France, nommé Walls Are Dancing (les murs dansent), l'artiste américain a peint, du 11 au 14 juin dernier, ce mur au 85-87 Quai de Valmy dans le 10ème arrondissement de Paris. Il s'agissait de la dernière partie d'un triptyque commencé à Marseille et continué à Lyon en mai et juin. Je vous les présenterais dans un autre post prochainement. Il faut savoir que ces trois événements ont été filmés et photographiés et donneront lieux à un clip qui sera visible sur le site officiel courant septembre.


J'ai profité d'un passage sur la capitale mi-juillet pour prendre tous ces clichés moi-même du lieu. C'est vraiment impressionnant de découvrir cela de prêt. C'est comme faire un tour dans un musée... à ciel ouvert. Le propos du Let's Colors Project de mettre de la couleur dans nos vies est pour ma part pleinement rempli.


Voici une sorte de bande annonce présentant le projet et les personnes liés à Walls Are Dancing : MWM pour la partie graphique, Monsieur Monsieur DJ Electro pour la composition musicale et Le Groupuscule à la réalisation. Attendons septembre pour voir le résultat.




Mais ce n'est pas pour ça que j'en oubliais de partir à la recherche des graffitis plus "conventionnels" fait par des artistes au budget plus moindre. C'est ainsi que juste aux pieds de la création géante de MWM j'ai découvert une peinture, une création à base de morceaux de miroirs (photographe photographié), et même des créations particulières à base de poils représentants des chiens/loups en pleine course. Atypiques mais originaux. Vive la créativité parisienne.


Un peu plus loin, au gré de l'eau et des bateaux du Canal Saint Martin, côté Quai de Jemmapes, j'ai découvert une ré-interprétation du Radeau de la méduse et une sorte de nuancier (tous deux au pied d'un des nombreux ponts piétons), des graffitis (à proximité de l'Hôtel du Nord) et autres créations papiers collées sur les murs.

lundi 14 juin 2010

Graphs parisiens et Garfield


Après le téléphone en forme de burger dans Juno, voici celui en forme du chat Garfield ! En tant que fan inconditionnelle du fainéant canin, j'ADORE ce combiné téléphonique et je voudrais trop avoir le même. J'ai découvert cette petite merveille dans le magasin de photos Lomo, place Frantz Litz, à côté de l'église Saint Vincent de Paul dans le 10e arrondissement. Hélas il n'étais pas du tout à vendre, c'était le téléphone des gérants du magasin qui, au passage, vend des appareils photos excellents. A shop for a life less binary.



C'est mon meilleur pote qui m'a fait découvrir cette marque d'appareils fonctionnant avec pellicules et qui vous donnent des résultats atypiques qui vous redonnent envie de faire de photo, ou du moins de le faire différemment. Il a d'ailleurs fait l'acquisition de l'un de ces petits bijoux de plastiques ce jour-là. Petit bijou qu'une certaine personne, dont j'ai préféré masqué le visage pour préserver son anonymat, s'est empressé de jouer avec... Sorry sis'.


J'ai pris ce graph en photo sur la route pour aller au concert des Snow Patrol avec ma sœur. Enfin plutôt ce mélange de graph et de collages.

mardi 1 juin 2010

Snow Patrol à l'Olympia, le 30 mai 2010 : Fucking AWESOME!!! ♪ ♫


Dimanche soir, moi et ma sœur faisions partie des chanceux possesseurs d'un billet de concert nous ouvrant les portes de l'Olympia pour assister au concert unique du groupe irlando-écossais Snow Patrol. Bon pour moi ce n'était pas une nouveauté, j'avais déjà eu la chance de les voir et les apprécier en live l'année dernière à l'Élysée Montmartre et de tomber encore plus sous le charme de ce groupe et plus particulièrement de l'un de ses guitaristes Nathan Connolly. Mais je vous reparlerais plus tard de ce charmant monsieur et de ma frustration de n'avoir pu le voir au terme du concert. Pour ma sœur, ce fut cependant une découverte et je dois bien avouer que nous fûmes vraiment gâtés, la salle étant plus importante que celle de l'Élysée Montmartre, le show n'en fut que plus énorme et magique, ou comment redécouvrir un groupe et ses chansons de la plus belle façon qu'il soit entouré de centaines de personnes qui pensent la même chose. Cela n'a plus rien à voir avec le plaisir solitaire que nous avons habituellement, à écouter nos morceaux préférés dans l'intimité calfeutré de nos écouteurs.


Contrairement à l'année dernière, je n'étais donc pas seule pour leur concert sachant que ma chère et tendre petite sœur m'accompagnait. Et oui, la première fois j'étais allé toute seule, mais que voulez-vous personne n'avait envie de m'accompagner. C'est la dure réalité quand vos goûts musicaux diverges de ceux de vos amis, cela conduit à un grand moment de solitude.
Mais ce soir là, que neni. C'est donc vers 19h30 que nous sommes arrivé dans la mythique salle. Après avoir récupéré nos précieux sésames à la billetterie que j'avais commandé par téléphone depuis le mois de mars et où ils avaient trouvé le moyen d'écorcher mon nom. Et oui, dorénavant, je m'appellerais "Sandrine Lamaître".


À notre arrivée dans la mezzanine, guidées par une charmant hôtesse, la fosse aux lions était déjà bien remplie. Normal vue l'heure tardive. Pour nous, le confort de sièges. Enfin presque parfait : un siège pour ma sœur et à moi le splendide strapontin surélevé, qui s'avéra au final être un avantage pour me permettre un meilleur point de vue sur la scène et ainsi atténuer l'angle mort de la partie gauche où se trouvera notamment le bassiste du groupe Paul Wilson.


20h, entrée en scène de Foals qui avaient la lourde tâche de nous divertir en première partie. avec notamment leurs titres "Miami" et "Blue Blood". C'est un groupe Anglais crée en 2005. Petite anecdote : ils ont participé à la Skins Secret Party, épisode inédit de la saison 1. Le titre "Hummer" fut joué. Pour ma part, j'ai plus apprécié leur style musical et leurs chansons que ceux de la première partie de 2009. Par certains côtés, ils se rapprochent des sonorités de Snow Patrol. Edwin Congreave (au clavier) m'a beaucoup amusé en jouant pieds nus : la nonchalance anglaise à son paroxysme. Ils seront de nouveaux en France
le 2 juillet aux Eurockeennes de Belfort, le 13 août au Pantiero Festival à Cannes, La Route du Rock à Saint Malo le 14 août et enfin Rock en Seine le 27.


Mais trêve de bavardages futiles. 21h, le groupe star fait ENFIN son entrée sous un tonnerre de cris et d'applaudissements alors que les premières notes de "Open Your Eyes" retentissent. On retrouve alors Paul Wilson à gauche ci-dessous, suivi du big boss Gary Lightbody au centre et à droite ce cher Nathan Connolly. Au second plan, Jonny Quinn à la batterie et Tom Simpson au clavier. Je n'ai pas retenu le nom du batteur en second que l'on retrouve au second plan à gauche.


Voici ci-dessous "Open Your Eyes", en deux parties, que j'ai filmé avec l'appareil photos numérique de ma sœur qui n'ai définitivement pas fait pour la vidéo car le son arrive à saturation donc on ne peut réellement profiter du morceau mais cela donne une idée de l'ambiance qui régnait dans la salle. Un conseil néanmoins, baissez le son de votre ordinateur avant de les regarder.





Plus tard dans la soirée, nous avons eu le droit à un moment très beau et poétique alors que le chanteur, Gary, a demandé l'extinction complète de toutes les lumières de la salle et que nous, honorable public, éclairions uniquement au moyen de nos téléphones portables, briquets du XIXe siècle. Un comble quand on se souvient du message vocal de début de soirée qui interdisait l'utilisation de tout téléphones ou appareils photos durant le concert... Encore un bel exemple du paradoxe entre les attentes de l'entité commerciale et le souhait des artistes. Un peu comme les musées qui interdisent aux visiteurs de toucher des œuvres qui ont été parfois conçu par l'artiste dans le but justement d'être apprécié avec le sens du touché


Et c'est ainsi que tout au long du morceau, les lumières se sont progressivement rallumées, tout d'abord derrière le groupe.


Pour finir dans une explosion de lumières, ou comment faire de la magie avec quelque effets simples d'éclairages.


Après une heure de concert, SP s'en ai allé en coulisses histoire de se faire désirer quelque peu pour nous revenir pour une dernière demi-heure de show dans une atmosphère aux couleurs de leurs albums A Hundred Million Suns (photos ci-dessous) puis Eyes Open. Durant ce dernier tiers, le public s'est alors quelque peu apaisé, se laissant bercé par les mélodies enivrantes du groupe.


Et pour vous dégoûter un peu plus voici quelques vidéos du concert, tout d'abord un total phénomène en concert la chanson "Run", puis un nouveau titre issu de leur dernier album compilation (Up To Now) "Just Say Yes", et enfin inénarrable "Chasing Cars". Ces vidéos, filmées cette fois avec mon appareil photos personnel en option HD, sont moins saturées au niveau du son et la qualité vidéo est meilleure. Enjoy!








Mais alors que le concert est fini, notre bonheur de fan ne s'arrête pas là. Nous nous sommes lancé à la poursuite des membres du groupe, direction la sortie des artistes dont je m'étais assurée de l'adresse exacte auprès de la guichetière. Après être passées par la case toilettes et avoir enfin réussi à s'extraire de l'Olympia nous sommes donc partie en direction des fameuses portes rouge magiques. C'est donc vers 23h15 que trois membres du groupe (Gary Lightbody, Jonny Quinn et Tom Simpson) sont venu à la rencontre des quelque récalcitrants que nous étions. Un quatrième membre fera son apparition un peu plus tard, Paul Wilson. Tous ont été absolument adorables et ont pris le temps de signé un autographe à toutes les personnes présentes. Gary fut évidement l'objet de beaucoup plus d'attention que ses partenaires du fait de sa double casquette chanteur/compositeur. Mais justement vue qu'ils étaient moins entourés de crazy fans, ils prenaient un peu plus le temps, notamment Tom qui a pris le temps de demander mon prénom même s'il a du avoir certaines difficulté à décrypter mon anglais vue qu'il l'a signé pour "Sangrine". Décidément c'est la soirée. Mais pour lui, je pardonne car j'ai trouvé adorable qu'il prenne, au milieu de ce marasme de fans surexcités, le temps de personnaliser un minimum mes vinyles que j'avais spécialement ramenés pour l'occasion. Signer sur les billets de concerts ou les micro pochettes de CD c'est tellement surfait de nos jours. En tous les cas, ils n'ont rien de l'image de rockeurs inaccessibles, mais sont bien en accord avec leur réputation : ultra accessibles et adorables avec leurs fans. Je ne les aime que plus maintenant. Comme je le disais au début, mon seul regret aura été que Nathan ne soit pas sortie les rejoindre. Vue que je suis un peu tendance groopie pour ce monsieur depuis que je l'ai vue jouer de la guitare la première fois. À ce niveau là, j'ai été tout aussi gâtée par sa prestation ce dimanche mais force est de constaté que avoir une photo avec lui aurait été la cerise sur le gâteau. Mais je ne perds pas espoir, la prochaine fois je serais là avec mes vinyles pour obtenir cette signature qui me manque. Nathan, tu ne m'échapperas pas. Une chose est sûre, après deux concerts parisiens, j'ai vraiment envie de découvrir un live chez eux en Irlande ou en Angleterre car aux vues des vidéos que j'ai pu voir sur internet c'est l'Olympia puissance 10. Sans parler des morceaux qu'ils n'ont pas interprétés ici, notamment "Set The Fire To The Third Bar "que j'adore et que le public d'Amsterdam à eu la chance d'écouter le lendemain soir. Lucky them!

♪ Gary Lightbody (co-créateur du groupe, compositeur des chansons,
chanteur et guitariste) et ♪ Jonny Quinn (batteur).
♪ Jonny Quinn (batteur) et ♪ Tom Simpson (clavier).
Tom Simpson (clavier).
♪ Jonny Quinn (batteur) et me (the lucky one).
♪ Gary Lightbody et me (the BIG lucky one).
♪ Paul Wilson (bassiste, chanteur).
♪ Paul Wilson et moi (trop lucky).

Et en bonus, une autre photo de Gary, par Miss Yvanna cette fois qui était là aussi lors de cette soirée magique. Comme moi, elle a souhaité partager son expérience avec le monde et j'ai eu la surprise de voir que j'apparaissais sur l'un de ses clichés. Cherchez mon haut à rayures bleu et mes lunettes rose dans la foule, fixant le cher chanteur. Je la remercie pour m'avoir permis de lui emprunté ce cliché pour le mettre sur mon site. Vous pouvez en découvrir d'autres en allant sur son blog ici, ou encore où elle présente l'album de l'autre groupe qu'à fondé Lightbody : Tired Pony.


Ce qui donne un magnifique résultat, mes deux albums vinyle recouverts d'autographes de quasiment tous les membres du groupe. Nathan...
Le premier concert m'avait donner envie d'acheter ces deux albums. Ce nouveau live sera probablement le petit coup de pousse pour que j'acquière leur album/compilation Up To Now et pense sérieusement à les voir de nouveau en concert, mais cette fois en territoire british. ♪♪ ♫ ♫