Amérique, je crois que nous pouvons construire sur le progrès accompli et continuer à nous battre pour de nouveaux emplois, de nouvelles opportunités et une nouvelle sécurité pour la classe moyenne [...] Cela n'a aucune importance qui on est, d'où l'on vient, à quoi l'on ressemble et qui l'on aime. Cela n'a aucune importance qu'on soit noir, blanc, hispanique, ou asiatique, qu'on soit jeune ou vieux, riche ou pauvre, handicapé ou pas, gay ou hétéro, on peut y arriver en Amérique si on a envie d'essayer.
À occasion spéciale, C'EST LA CENTIÈME, citation spéciale. Et quoi de mieux qu'un extrait du discours de Barack Obama lors de la soirée de Victoire de mardi soir où il a été élu pour un second manda à la tête des États-Unis. Un message d'espoir et surtout d'ouverture d'esprit sur ce qui fait la mixité et la richesse des USA mais aussi, je veux croire, de notre monde en général.
Ce discours fait également écot à une autre information qui circule ces derniers jours. L'histoire d'une petite fille de 10 ans, Sophia Bailey Klugh, qui a écrit à son président, au sujet de ces deux papas et plus particulièrement concernant des camarades d'écoles qui se moquaient et jugeaient sa situation familiale. Dans sa lettre elle demande quelque conseils pour savoir quoi répondre à ces enfants qui ont visiblement été mal éduqués sur justement l'ouverture d'esprit à l'égard de la différence quelle qu'elle soit. Et la fillette a reçu une réponse d'Obama où il lui explique qu'aux Etats-Unis, il n'y a pas une seule famille pareille. Et dans notre pays, peu importe que l'on ait deux papas ou une seule maman, ce qui compte par-dessus tout est l'amour que nous nous donnons. [...] Notre différence nous unit. Toi et moi nous avons de la chance de vivre dans un pays où nous naissons égaux et ceci quelle que soit notre apparence physique, l'endroit où nous sommes nés ou qui sont nos parents. Une bonne règle de conduite est de traiter les autres de la manière dont tu aimerais qu'ils te traitent. Rappelle cette règle à tes camarades d'école, s'ils disent quelque chose qui te blesse.
Cliquez sur ces lettres pour pouvoir les lire plus en détails.
Mais ne croyez pas que le président nouvellement ré-élu répond ainsi à toutes les lettres qu'il reçoit. Sophia a ici reçu un petit coup de pouce de la part de l'un de ses deux papa qui a publié la lettre de sa fille sur son facebook pour que son message ne reste pas sans réponse. Mais je ne crois pas qu'il se serait attendu à en recevoir une si grande. Preuve encore une fois que Obama (et son équipe de petites mains s'occupant de ses réseaux sociaux) est un maître en la matière quand il s'agit de Facebook et autre Twitter, comme je l'ai déjà montré avec mon précédent post ici même.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire