lundi 2 mars 2009

Gran Torino - My Review


Ce à quoi ce film ne nous prépare pas quand on découvre les affiches ou encore la bande-annonce, c'est à rire. En effet, le personnage d'Eastwood (Walt Kowalski) est un vieux loup de mer désabusé après tout ce qu'il a pu voir durant la guerre au Vietnam. Il crache, est raciste, grogne sans arrêt et ne supporte pas tous ces asiatiques qui ont pris possession de son quartier. Il n'a d'affection que pour sa chienne et... sa Gran Torino. Pas de quoi tenir bien chaud durant l'hiver. OK, le chien me direz-vous. Oui, mais niveau discussion c'est un peu limite. Tout ça pour dire que quand sa femme meurt, il se retrouve seul et sa famille cherche à le caser par tous les moyens à l'hospice en rivalisant d'attentions mielleuses et de "téléphone grosses touches" (mais si, vous savez ces trucs pour les vieux avec les numéros des secours pré-enregistrés). Lui n'en a que faire. Par contre, faut pas pousser grand mère dans les orties quand des ptit racailles (avec des gros guns quand même) viennent foutre le bordel sur sa propriété. Papi fait de la résistance, et prend sous son aile le jeune voisin Thao (qui a essayé de lui voler la fameuse voiture) en se donnant pour mission de lui apprendre la vie par quelques "menus travaux d'intérêts généraux". Au final, chacun va apprendre de l'autre. Thao va gagner en assurance (ne jamais sous estimer les séances chez le coiffeur), Walt remettre en question ses idées reçues et se découvrir une famille de cœur.


En bref, un film sur la tolérance et le partage. Accepter les différences de l'autre et s'en nourrir pour avancer. Pour ceux qui ont vue Million Dollar Baby et ont voulu se pendre après le visionnage : ne boudez pas votre plaisir devant la dernière réalisation du GRAND Monsieur Eastwood, se serait dommage. Contrairement à MDB, ce film est dure certes mais il est aussi rempli d'espoir. Certains pourront le trouver pleins de bon sentiments. Moi j'ai apprécié de découvrir l'une des dernières légendes du cinéma de notre époque. Parce que mine l'aire de rien, ces mythes en Technicolor toujours vivant, il n'en reste pas beaucoup. Donc force est de reconnaître et d'apprécier ces grands hommes tant qu'ils nous font l'honneur de partager notre monde et leur talent. Merci Mr. Eastwood de faire encore des films. Comme quoi, même à votre âge il vous reste des choses à jouer. Il y a toujours moyen de se réinventer.

Charade, opening credits



Le film
Charade date de 1963 et avait pour héros la magnifique Audrey Hepburn et le toujours classe Carry Grant.
Ce magnifique générique a été conçue par Maurice Binder, notamment connu pour avoir créé quatorze génériques des films de James Bond entre 1962 et 1989.

Kiss Kiss, Bang Bang, opening credits




Une introduction magnifique, à l'image du film sortie en 2005. Le générique est conçu par Danny Yount (qui est déjà à l'origine de celui de la série Six Feet Under) spécialisé dans la conception de opening et ending de films mais aussi créateur de concepts originaux et photographe. Ici, il travailla pour le compte de l'agence Prologue (Accross The Universe, The Painted Veil ou plus récemment les génériques de début et de fin de Sherlock Holmes).
Ce générique de film n'est pas sans rappeler le travail de Saul Bass qui illustra plusieurs films d'Hitchcock (Vertigo) ou encore de Otto Preminger (Anatomy of a Murder, The Man with the Golden Arm).
Cela commence dans une atmosphère rétro, années 60, et représente des lieux évocateurs du Los Angeles dans les années 50. Sans oublier, l'habile composition dans le pure style ’40s film noir.

Boomtown, opening titles



Ce générique fût conçu par l'agence Imaginary Forces, qui est également à l'origine des génériques de Angels in America, Band of Brothers, et plus
récemment de Mad Men (récompensé par l'Emmy Award en 2008) et Chuck.

Ghost Whisperer, opening titles



Ce générique a été conçu par l'agence américaine de graphisme publicitaire
Digital Kitchen, de Seattle, qui est également à l'origine de celui de : Six Feet Under (récompensé par un Emmy Award, ce générique a ouvert la voie en 2001) Dexter, Nip/Tuck, House et plus récemment True Blood. En gros, à part Ghost Whisperer qui est diffusé sur l'une des chaînes principales américaines, à savoir CBS, ou encore House sur Fox ; les autres clients de l'agence sont en majorité des chaînes câblées (la légendaire HBO, Showtime, FX, TNT). C'est toujours le câble qui prends le plus de risque et qui peut donner sa chance à des séries qui ont une faible audience. Normal, à partir du moment qu'ils ont leurs abonnés. Je ne peux m'empêcher de penser que si Pushing Daisies aurait été sur le câble, elle serait toujours diffusé. Le problème avec les majors, c'est qu'ils produisent des séries peut être de trop bonne qualité (je sais, c'est pas très logique tout ça), trop complexes pour le spectateur lambda qui ne veut pas se prendre la tête et qui préfère regarder une énième série policière ou médicale où l'affaire est conclu dans l'épisode et basta. Je suis encore étonné (et super soulagé) qu'une série tel que Lost soit toujours à l'antenne, alors que sérieux, question prise de tête... et pourtant je suis depuis le début.

dimanche 1 mars 2009

American Beauty - My Review



The American Way of Life, la vie de couple, les enfants dans la jolie maison de banlieu avec la clôture blanche... Le rêve de beaucoup de gens, mais pas celui du héros Lester Burnam. À vrai dire, il y longtemps qu'il ne rêve plus, jusqu'au jour où... Ce film est culte, magnifique et les acteurs sont magistrales. Quand j'ai découvert ce film, Sam Mendès est devenu mon nouveau Dieu. OK peut être un peu exagéré... bon alors disons mon nouveau gourou ciné/spirituel !!! Richard Gere a trouvé Boudha, moi c'est les feux de la dépravation et du parjure cinématographique. Chacun son truc !!!



Pour en revenir à American Beauty, ne me dîtes pas que vous regardez les sacs plastiques voler au vent la larmichette à l'oeil. Si si, je vous ai vue. Bon nous ne devrions pas dire ça, non mais et la planète, faudrait peut être y penser non. Honte à vous. N'empêche.... Oh aller encore une fois pour le plaisir !!!

Tout ce blabla pour dire que Spacey est génial et que j'adore son monologue du début et de fin de film. En fait, j'adore quand un film commence avec une voix off. Donc c'est sûr que celui-ci a tout de suite débuté avec un avantage. Trêve de plaisanterie. Je voulais partager ceci avec vous. Parce que, moi, je ne me lasse pas de le revoir. Ci-dessus voici la scène finale. BANG... Quoi de mauvais goût ?!?!...

Chuck, opening titles


Chuck Bartowski, geek de son état qui travaille à Buy More, a une vie que l'on pourrait qualifié de banale : voiture (et oui, l'histoire se passe à L.A)-boulot-dodo. Enfin ça, c'était avant qu'il se retrouve avec tous les secrets défense du pays dans la tête. À partir de là, tout va partir en cacahuètes et il va se retrouvé affublé de deux agents (Sarah de la CIA et Casey de la NSA) responsables de sa protection. Difficile pour lui de concilier son travail au Buy More, sa famille, ses amis avec les courses poursuites, désamorçages de bombes et autres prises d'ot
age qui font dorénavant partie de son quotidien.


Le style du générique est excellent et drôle, à l'image de la série. Constituer uniquement à base d'images vectorielles animés, la représentation des personnages me touche personnellement car elle est assez similaire à celle que j'utilise pour illustrer mon book et mes cartes de visites. Donc encore plus logique que j'adore ce générique. C'est le groupe Cake qui interprète la chanson "Short Skirt, Long Jacket".
C'est l'agence Imaginary Forces qui l'a conçu. Ils sont également à l'origine du splendide générique de la série Mad Men. Pour la petite info, les deux ont été nominés en 2008 pour l'Emmy Award du meilleur générique TV (remporté par Mad Men).


Mad Men, opening titles


En temps qu'enfant de la balle, je me suis tout de suite intéressée à cette série. L'affiche, minimaliste noire & blanche avec une pointe de rouge. Tout ce que j'aime. Ensuite le contexte de l'histoire : New York, les années 50, avec de tout ce que cela implique au niveau des décors-costumes-états d'esprits. Tout simplement passionnant de découvrir une toute autre époque. La série met l'accent sur l'usage du tabac et de l'alcool, le sexisme (jamais le qualificatif "Soit belle et tais-toi !" n'a été aussi vrai) et les préjugés raciaux.

Par contre, la femme n'était que la secrétaire aux "multiples facettes", où l'épouse aimante qui veille sur la maison et élève les enfants pendant que son cher et tendre se "tue à la tâche" entre son travail et sa maîtresse. Ça fait mal pour notre égaux. Vue que je compte faire un petit bout de chemin dans ce métier, je me rends compte du chemin parcourus en l'espace de 40 ans. De la chance que nous avons maintenant, de pouvoir faire des études et d'avoir une voix prise en compte. Et pourtant malgré tout le chemin parcourus, j'ai l'impression parfois que nous ne sommes ne somme pas si différentes que nos ancêtres. Nous devons faire perpétuellement nos preuves. Néanmoins, cet asservissement du sexe fort nous a appris à nous servir de notre corps, à savoir jouer avec la partie adverse.

Le titre est un jeu de mots avec Ad men, les hommes de la pub, mais c'est aussi et surtout une expression de l'époque qui fait référence au fait que ces publicitaires travaillaient sur Madison Avenue à New York.

Ci-dessous, je vous présente le générique de la série, tout simplement magnifique. Il est conçu par l'agence américaine Imaginary Forces. Cette agence a également crée celui de la série Chuck. Il faut savoir que les deux séries ont été nominés aux Emmy Awards 2008, dans la catégorie Meilleur Générique TV, et que Mad Men remporta le prix. Normal, vue la qualité !!!! La partie graphique a été conçu par Jeremy Cox et la partition musicale est signé RJD2 avec le titre A Beautiful Mind (tiré de l’album Magnificent City Instrumentals).


vendredi 27 février 2009

Standoff, opening titles



Je n'ai pas vraiment accroché sur cette série (une énième série policière), tout comme les spectateurs américains visiblement car elle fût rapidement annulée. Mais son bon point était son générique.
J'adore le Noir & Blanc donc obligé que je l'apprécie. Il me rappel par certains côtés celui du film
Kiss Kiss, Bang Bang, dans l'enchaînement des plans.

United States of Tara by SHOWTIME

La chaîne câblée Showtime m'intéresse de plus en plus. Après y avoir déjà découvert Dirt, Dexter, Californication, Weeds j'attendais de voir. Car force est de constater que ces séries mettent l'accent (trop ?) sur le sexe à outrance. OK l'Amérique puritaine a parfois besoin de se soulager, au sens propre comme au figuré. Mais il y a quand même des limites : je n'ai pas pu aller au delà de la saison 1 de Dirt et Weeds à cause de ça. Bien que j'adore Californication qui est un peu, pour moi, une sorte de Sex & the City au masculin et le blood-blood-blood de Dexter ne me pose pas de soucie. C'est peut être pour cela que j'adore True Blood (diffusé sur HBO) qui est un condensé de sex and blood and sex and blood and... Bon OK, un peu excessif parfois mais ce que c'est bon comparé au trop clean Twilight.


C'est donc avec un certain intérêt que j'ai voulu découvrir la nouvelle fournée concoctée par la boulangerie Showtime. Toni Collette au générique, Diablo Cody (la brillante scénariste du film Juno) à l'origine du projet et du scénario du pilote... Et produit, entre autres, par un réalisateur promit à un grand avenir : un certain Spielberg quelque chose... Tout ça me semblait plus qu'alléchant.


L'histoire : une mère de famille, Tara, tente de contrôler sa vie entre son boulot de décoratrice, son mari, c'est deux enfants et... ses trois autres personnalités... Ahhhh, satanés dédoublements de la personnalités. Nous, pauvres gens normaux ne sommes pas conscient de la chance que nous avons de n'avoir à nous occupé que d'une seule personnalité de dingue (enfin là, je parle pour moi, quoique...).
En effet, depuis que Tara a décidé d'arrêter ses médicaments (qui l'abrutissaient) pour pouvoir s'occuper de ses enfants, avoir une vie de couple et une activité professionnelle "normale", les "autres personnalités" ont
refait leur apparition. Contrairement à ce que l'on aurait pu penser toute la petite famille vit plutôt bien cette situation, à part Charmaine la soeur de Tara qui ne sait comment réagir face à tout ceci. Voici différents extraits du génériques de la série qui plante le décor.

Buck, vétéran du Vietnam, fan de bière-motos et armes à feux
La femme au foyer so 50's, Alice
T, l'adolescente obsédée

Toni Colette est excellente dans son rôle, comme toujours. Les fans de Sex & the City retrouveront avec plaisir l'interprète de Aidan (John Corbett, qui n'a pas prit une ride). Les deux acteurs inconnus qui interprètent les enfants ne resteront pas inconnus bien longtemps. Ils n'ont rien à envier à leurs aînés car ils sont tous les deux brillants et justes. Mention spécial au jeune garçon dans son look rétro-intello, et je ne parle même pas de celui de sa meilleure amie (je veux les mêmes lunettes!!!).
Maintenant, il faudra juger la série au fil de la saison et voir comment Tara, ses doubles et le reste de la famille évoluent.

Et l'autre point fort de cette série, c'est son générique. Au premier abord, il m'a rappelé celui de Desperate Housewives, notamment au niveau de l'enchaînement des différents tableaux. Le tout sur un morceau du groupe The Polyphonic Spree. Cette animation de dessins cartonné prenant vie est tout simplement superbe.



Pour vous donnez un avant goût du show voici une bande annonce qui présente assez bien les différents personnages sans oublier les multi-personnalités de Tara.


jeudi 26 février 2009

La TV du futur en 1969



Cette petite vidéo nous montre que certaines personnes avaient déjà tout compris sur la TV de demain !!!!!

mardi 24 février 2009

He's Not That Into You (Ce que pensent les hommes) - My Review


Hier je suis allé voir ce film, parfaite image de la comédie romantique Hollywoodienne avec ses têtes d'affiches abonnées, bon gré mal gré, aux films à l'eau de rose (Jennifer Aniston en tête). Au vue du casting "extra large", on aurait également pu craindre un effet tristement célèbre :
Astérix & Obélix 3, où une palette de stars tentent de masquer le fait que le scénario tient sur une feuille de PQ. Néanmoins, se serait fort injuste de limiter ce film juste à ça.


Le point de vue de cette comédie est originale dans le sens où elle se moque des clichés (voir vidéo en bas du message) habituels et qu'elle nous montre les points de vue des deux parties. C'est sympa de voir que les femmes vont interpréter les "signes" d'une certaine manière là où l'homme ne voulait absolument faire passer aucun message !!!


Le personnage de Drew Barrymore est bien ancré dans notre société actuelle : le mec lui laisse un message au boulot-elle le rappel chez lui-il lui envois un mail sur son Backberry-elle lui envois un texto-ça se termine par des échanges via son Myspace... Quand on ne communique pas également via MSN, Facebook, Skype et autre... blog (tiens donc... strange). Comme son personnage nous le rappel, ce
sont autant de moyens de se faire larguer dans les grandes largeurs. Elle est loin l'époque du papier + stylo et blanco ou du téléphone hideux au combiné super lourd qui nous faisait raccrocher plus par fatigue que par choix.

En fait nous sommes des victimes. Comme nous l'explique le personnage de Ginnifer Godwin au début du film : les mères, pour éviter de nous faire souffrir avant l'heure, nous font croire que les morveux de sexe masculin du bac à sable sont méchants avec nous parce qu'ils sont FOUS de nous. Off course (ton perplexe... ). Avec cette idée de départ erronée (merci 'man pour les séances de psychanalyse futures à essayer de comprendre le pourquoi du comment du truc) plus les contes de fées qui nous bourrent le crâne du "vécurent heureux" et eurent un max de relations sexuelles (d'où le "beaucoup d'enfants", à moins que ce ne sois l'immaculé conception) on ne peut que merder sur toute la ligne ! Croire que THE prince charmant va pointer son nez un jour, et que de préférence, il nous rappellera le lendemain après avoir cueilli notre "petite fleur". But he never call... I'm crying on the inside...
Dans ce film, les gens mariés ne sont pas vraiment heureux. Les célibataires s'éclatent pour certains, désespèrent de trouver "the one" pour d'autres, il y en a d'autres encore qui sont en couples mais qui ne sont pas marié pour autant.

J'apprécie d'ailleurs le point de vue du personnage de Ben Affleck qui explique à sa douce et tendre qui cela ne minimise pas l'amour qu'il lui porte mais juste qu'il ne croit pas en cette institution créée de toute pièce par notre société. Je vous vois venir, mais non il est tout à fait sérieux et aime sa "femme" bien plus en comparaison avec celui marié qui aime la sienne car il se sent obligé par les voeux qu'il a formulé. OK, je suis célibataire et quelque peu aigri sur les bords, néanmoins je trouve ce point de vue sensé. Des fois, j'ai l'impression que l'on se marie/fait des enfants/achète une maison, non pas par choix mais pour suivre un effet de masse pousser par la famille (quand est-ce que tu me donne un petit fils?!?!?), les amis, les voisins et la sociétés contemporaine en général. Si vous ne rentrez pas dans le moule, vous êtes tout de suite catalogué comme le paria sans foi ni loi. Très héros de comics sur les bords. Sauf qu'au lieu de comprendre le Bouffon Vert, Terminator, Joker ou autre Dark Vador, on se retrouve juste à combattre un préjugé. Qui aurait cru qu'une comédie romantique m'aurais fait autant psychoter ? Oueh, c'est peut être pour ça que je suis seule, je me pose trop de questions...

En tous les cas, pour finir sur une touche d'humour, voici un petit bêtisier qui m'a fait beaucoup rire!!! Ces trois acteurs sont craquant et mention spéciale au génial Justin Long qui joue trop bien, quelque soit les personnages. Bah oui, si je suis allé voir ce film c'était quand même pour mater du mâle !

mercredi 11 février 2009

Who Wants to be a Slumdog Millionaire ? - My Review


Il y a des films dont la réputation les précède. Des petits films dont tout le monde parle (De façon modéré néanmoins. Rien à voir avec le buzz suite à la pluie de récompenses aux Golden Golden puis aux Oscars) et un coup de coeur en découvrant la bande annonce. Alors on y va, on y court. Et quel choc, quel bonheur de retrouver Danny Boyle, après Transpotting et Sunshine. Dès les premières minutes du film, on ne peut que se prendre d'affection pour le personnage de Jamal interprété brillamment par le jeune acteur britannique Dev Patel (et très charmant en plus de ça...).


Certains personnes pourrait reprocher au film son approche façon clip des bidonvilles de Bombay. Je ne suis pas du tout d'accord. Je trouve que, au contraire, tout ceci participe à la magie de ces lieux, de ces personnages haut en couleurs, de ces gueules cassés qui commencent la partie avec de mauvaises cartes mais arrivent à transformer l'essai au delà du possible. La force de ce film, c'est le pouvoir de l'espoir, la conviction pour Jamal que quoi qu'il arrive il retrouvera Lathika, en allant jusqu'à participer au Qui Veut Gagner des Millions local parce qu'il sait qu'elle adore cette émission.


Tout le long du film, on vibre d'émotions avec le héros, tel une pile électrique sur notre siège, tentant de contenir nos nerfs. Ah cette fameuse scène vous pouvez appeler un ami... Ce téléphone qui sonne encore et encore dans le vide... Décrochera-t-elle à temps ?
Et pour combler le tout, cette musique indou entraînante magnifique qui nous accompagne tout le long et nous habite longtemps après être sortie de la salle. Un grand MERCI au compositeur A.R Rahman !!!!

BIENVENUE À VOUS, HONORABLES VISITEURS

Et voilà, je fais mon entré sur la toile. Enfin pour être exacte ma deuxième entrée puisque l'année dernière j'avais déjà ouvert un blog auquel je dois dire je n'ai pas été très fidèle. Facebook a fait son apparition dans ma vie et a su m'apporter, sans trop de contraintes, ce dont j'avais besoin.

Mais bon, je me suis fait violence et ai décidé que tous ces journaux intimes commencés dans mon adolescence mais jamais terminés n'étaient pas un signe. Non vraiment, je peux le faire, je peux tenir un blog et le mettre à jour. Pas quotidiennement non plus. Faut pas pousser grand-mère dans les orties... Néanmoins, je décide, en ce jour solennel d'essayer de vous parler de mon univers, mes coups de coeurs, mes envies du moment (un chocolat chaud avec un max de chantilly dessus... yumi) ; mais aussi pourquoi pas, de mes coups de gueules (et oui ça m'arrive parfois).

En tous les cas, je vais essayer de mettre à profit ce trop plein de temps libre forcé qui m'ai alloué pour remplir ce site à fond-de la mort qui tue-qui déchire sa race-etc...