Je viens de découvrir cette série il y a quelques jours, et de terminer hier soir la première saison. Cela faisait déjà quelque temps que mon meilleur pote m'en parlait. Il m'avait fait découvrir certains des spots promotionnels. Je dois dire que le côté sexe-drugs and Rock'n Roll était ce qui me rebutait à chaque fois de regarder cette série. Le côté auto-destructeur des personnages ajouté au côté trash. Mais comme je suis de ces personnes qui se disent "donnons lui une chance de faire ses preuves avant de critiquer"... Parce que je ne supporte pas les personnes qui critiquent selon ouï dire sans même avoir vue. Cela m'horripile au possible. Donc voilà, je me retrouve "obliger " de regarder ce premier épisode.
Je suis donc dans le TGV Paris-Rennes à mater l'épisode 101 Tony sur mon macbook. Je trouvais d'ailleurs la situation assez coquace avec ces nibards qui se baladent à l'écran. Me demandant si quelqu'un derrière moi regardait le même écran... Soyons réalistes, généralement, il y a toujours un morceau de drap ou une plante verte pour planquer les diverses parties de notre anatomie quand elles apparaissent devant la caméra. Là que néni. Vive les nibards, pénis et autres "lovely" paires de fesses masculines, et tout ceci sans complexe. Spéciale dédicace au perso de Chris déambulant sans soucis en tenu d'Adan dans les rues de Bristol (dans l'épisode 104). C'est rafraîchissant de voir quelqu'un qui n'est pas complexé d'être à poil, comparer à toutes ces séries américaines où les personnages sont outrés à la vue du moindre morceau de peau.
Le premier plan de la série : Tony au réveil dans son lit m'a rappelé une scène du film américain Garden State où l'on découvre de dessus le héros se réveillant dans son lit immaculé (à l'image de la chambre) tiré à quatre épingles. Ici, petite touche Skinesque : le dessus de lit de Tony arbore un homme et une femme de face, complètement nue. Vive les anglais !!!
Le premier plan de la série : Tony au réveil dans son lit m'a rappelé une scène du film américain Garden State où l'on découvre de dessus le héros se réveillant dans son lit immaculé (à l'image de la chambre) tiré à quatre épingles. Ici, petite touche Skinesque : le dessus de lit de Tony arbore un homme et une femme de face, complètement nue. Vive les anglais !!!
Au terme du visionnage de ce premier épisode, je ne savais trop que penser de cette série. Certes le scénario est bon, les répliques font mouche, les acteurs (dont c'est pour la plupart la première expérience) sont tous justes et le mode de narration (chaque épisode centré sur un personnage en particulier) est intelligent. Néanmoins, il me manquait un petit je ne sais quoi. Ce quelque chose, je l'ai s'en doute trouvé lors du visionnage du deuxième épisode centré sur Cassie, la jeune anorexique complètement lunaire que l'on dirait tout droit sortie du film Virgin Suicides. Ce personnage est passionnant et très apprécié, à juste titre. Cet épisode apporte une autre dimension à la série. La rendant à son tour quelque peu irréelle.
Voici la dernière scène de la Saison 1.
Une reprise de la chanson de Cat Stevens : "Wild World", chanté
1 commentaire:
Yes (y)
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