Synopsis (AlloCiné) : Alors qu’il s’apprête à être père, David Wosniak, éternel adolescent de 42 ans, découvre être le géniteur anonyme de 533 enfants déterminés à le retrouver.
Double piqure de rappel québécoise avec tout d'abord les retrouvailles avec une connaissance avec qui nous avons en commun cette expérience québécoise en ayant vécu un an dans la merveilleuse ville de Montréal. L'occasion de partager notre vécu, nos coups de cœur, ce qui nous manque cruellement, le choc culturel avec la France, sans parler de la déprime qui nous habite depuis notre retour.
Puis deuxième round, en propageant la bonne parole québécoise auprès de ma mère en l'emmenant au cinema pour cette petite parenthèse montréalaise, histoire de lui rappeler des souvenirs de son propre voyage. Certes, on en voit peu de la ville mais néanmoins ce fut l'occasion pour elle d'entendre de nouveau cet accent chantant, ainsi que ces expressions.
C'est ainsi que, nostalgique, j'ai un peu retrouvé de ma province de cœur, en allant au cinéma voir Starbuck, le succès de l'année dernière au Québec. Comme quoi, il faut vraiment être patient pour le découvrir de l'autre côté de l'Atlantique. Et vis-versa pour les films français là-bas. C'est marrant parce que ce film n'avait pas retenu mon attention quand j'étais là-bas, présenté comme le truc populaire de base, bien loin de mes films indies de prédilection. Mais de retour en France il faut trouver le moyen de remplir ce vide laissé par le départ et en quelque sorte le déracinement occasionné. Et ce fut une agréable surprise bin bin drôle. C'était vraiment l'fun de retrouver tout ça : l'atmosphère, les gens, l'humour.
L'occasion également de découvrir un autre film avec Patrick Huard (l'un des rares acteurs québécois que je connais et dont je retiens le nom, avec Marc-André Grondin) qui m'a fait de nouveau beaucoup rire, après Bon cop, Bad cop.
Enfin ici, c'est plus celui qui joue son meilleur ami, interprété par Antoine Bertrand, qui vous déride pas mal grâce à sa face et ses répliques des plus corrosives.
Le sujet du film (le don de spermes... à outrance) est des plus atypiques. C'est donc avec beaucoup de candeur et fraîcheur, à l'image du héros, qu'il est abordé. Comme le dit si bien le père de Starbuck, il faut l'aimer avec ses qualités ET ses défauts. Parce que oui, il y a des moments difficiles et saugrenus. Mais dire non à ça, se serait dire non aussi aux moments d'intense fou rires. Alors ce serait dommage de s'en priver.
De plus les français sont vraiment incultes sur leurs cousins d'outre Atlantique. Alors que ces derniers connaissent tout de nous, ou presque. Il serait alors un peu temps de renverser la tendance chers compatriotes. Cocorico, on se réveille là-dedans. Et puis pendant que l'on y est, on s'informe également sur l'actualité actuelle du Québec, et notamment le conflit qui oppose les étudiants (ainsi qu'un peu toutes les classes sociales maintenant) au Gouvernement Charest depuis maintenant plus de 4 mois. Conflit étudiant qui fait rage un peu partout dans le monde, sans que nos médias semblent intéressés de le reporter. Trop occupés à montrer en long, en large, et en travers des élections présidentielles, des dictateurs et autre promotion de bacheliers 2012.
CONCLUSION : Si vous aimé le Québec, Montréal, Patrick Huard, une bonne comédie avec de la bonne musique, des jokes en criss et autres langage fleuri de la belle province ; si vous êtes comme moi un peu orphelin de votre patrie de cœur, alors ce film et pour vous. D'ailleurs même si vous y connaissez rien au Québec et n'êtes pas fan de l'accent mais avez envie de rire bin gros, alors ce film est tout autant pour vous. Au final, faire des bébés et rigoler c'est universel, alors ne boudez pas votre plaisir.
Puis deuxième round, en propageant la bonne parole québécoise auprès de ma mère en l'emmenant au cinema pour cette petite parenthèse montréalaise, histoire de lui rappeler des souvenirs de son propre voyage. Certes, on en voit peu de la ville mais néanmoins ce fut l'occasion pour elle d'entendre de nouveau cet accent chantant, ainsi que ces expressions.
C'est ainsi que, nostalgique, j'ai un peu retrouvé de ma province de cœur, en allant au cinéma voir Starbuck, le succès de l'année dernière au Québec. Comme quoi, il faut vraiment être patient pour le découvrir de l'autre côté de l'Atlantique. Et vis-versa pour les films français là-bas. C'est marrant parce que ce film n'avait pas retenu mon attention quand j'étais là-bas, présenté comme le truc populaire de base, bien loin de mes films indies de prédilection. Mais de retour en France il faut trouver le moyen de remplir ce vide laissé par le départ et en quelque sorte le déracinement occasionné. Et ce fut une agréable surprise bin bin drôle. C'était vraiment l'fun de retrouver tout ça : l'atmosphère, les gens, l'humour.
L'occasion également de découvrir un autre film avec Patrick Huard (l'un des rares acteurs québécois que je connais et dont je retiens le nom, avec Marc-André Grondin) qui m'a fait de nouveau beaucoup rire, après Bon cop, Bad cop.
Enfin ici, c'est plus celui qui joue son meilleur ami, interprété par Antoine Bertrand, qui vous déride pas mal grâce à sa face et ses répliques des plus corrosives.
Le sujet du film (le don de spermes... à outrance) est des plus atypiques. C'est donc avec beaucoup de candeur et fraîcheur, à l'image du héros, qu'il est abordé. Comme le dit si bien le père de Starbuck, il faut l'aimer avec ses qualités ET ses défauts. Parce que oui, il y a des moments difficiles et saugrenus. Mais dire non à ça, se serait dire non aussi aux moments d'intense fou rires. Alors ce serait dommage de s'en priver.
De plus les français sont vraiment incultes sur leurs cousins d'outre Atlantique. Alors que ces derniers connaissent tout de nous, ou presque. Il serait alors un peu temps de renverser la tendance chers compatriotes. Cocorico, on se réveille là-dedans. Et puis pendant que l'on y est, on s'informe également sur l'actualité actuelle du Québec, et notamment le conflit qui oppose les étudiants (ainsi qu'un peu toutes les classes sociales maintenant) au Gouvernement Charest depuis maintenant plus de 4 mois. Conflit étudiant qui fait rage un peu partout dans le monde, sans que nos médias semblent intéressés de le reporter. Trop occupés à montrer en long, en large, et en travers des élections présidentielles, des dictateurs et autre promotion de bacheliers 2012.
CONCLUSION : Si vous aimé le Québec, Montréal, Patrick Huard, une bonne comédie avec de la bonne musique, des jokes en criss et autres langage fleuri de la belle province ; si vous êtes comme moi un peu orphelin de votre patrie de cœur, alors ce film et pour vous. D'ailleurs même si vous y connaissez rien au Québec et n'êtes pas fan de l'accent mais avez envie de rire bin gros, alors ce film est tout autant pour vous. Au final, faire des bébés et rigoler c'est universel, alors ne boudez pas votre plaisir.
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