mercredi 28 septembre 2011

DRIVE - My Review toute retournée devant tant de génie


Synopsis : Un cascadeur tranquille et anonyme se métamorphose dès que la nuit tombe : il devient pilote de voitures pour le compte de la mafia. La combine est bien rodée jusqu'au jour où l'un des casses tourne mal et l'entraîne dans une course-poursuite infernale. Il veut se venger de ceux qui l'ont trahi...
Adaptation d'un roman de James Sallis. Le film fût présenté en compétition officielle lors du Festival de Cannes 2011.


J'ai enfin pu voir ce film hier et autant dire QUELLE CLAQUE. Je comprends définitivement le prix qu'a reçu le réalisateur Nicolas Winding Refn au dernier Festival de Cannes et j'espère que les nominations vont pleuvoir pour lui et Ryan Gosling aux prochains Oscars tant ils ont fait ici un travail absolument remarquable. C'est bon d'aimer le cinéma quand on voit de tels bijoux.
La façon de filmer et mettre en valeur la ville de Los Angeles de Refn a de quoi faire rougir Michael Mann, qui est pourtant passé maître en la matière quand il s'agit de portraiter LA.
C'est une pure expérience de cinéma. Tous vos sens sont en éveil : les yeux qui ne peuvent ce décoller de cette image hypnotique, l'ouïe qui baigne dans cette BO de chansons récentes composées dans le plus pure style 80's avec ce synthétiseur qui habite les morceaux et enrichi encore plus ce que l'on voit à l'écran. Vous ressortez de la salle un peu étourdi, la tête dans les nuages au dessus de Los Angeles, avec une seule envie revoir ce film encore et encore. Mais première chose, ce fournir de toute urgence la bande originale du film absolument planante, histoire de se replonger tout de suite dans cette atmosphère qui vous coupe presque le souffle.
C'est bien simple, durant la projection, je n'arrêtais pas de me dire ce film est une œuvre d'art, aussi magnifique dans le fond que la forme. Tout à l'écran n'est que perfection, de l'interprétation, à la réalisation, aux décors, à la lumière, aux cadrages, aux sons et musiques. Alors que vous suivez l'intrigue s'écouler sous vos yeux, votre rythme cardiaque s'accélère, votre respiration également. Vous ne faîte plus que regarder un film, vous le vivez complètement de tous les pores de votre corps. C'est intense. C'est probablement ce que ressente les drogués. L'adrénaline qui vous transporte tel un fixe incroyable. Et vous en ressortez tout étourdi et rêveur.
Une véritable expérience de cinéma à l'état brute. Le genre de chose qui vous fait encore croire en le septième art. Cela vous fait pousser des ailes. Définitivement le meilleur film de 2011. L'année dernière j'avais ressenti ce genre de chose devant The Social Network, cette année ce sera avec Drive, bien que je crois que ce film le surpasse en intensité. Chapeau bas Misters Gosling et Winding Refns dont je vais m'empresser de voir les précédentes réalisations.


Cette fin d'année est définitivement celle de Ryan Gosling. Après la comédie Crazy, Stupid, Love en juillet dernier, maintenant dans DRIVE, et le mois prochain dans le dernier film de George Clooney The Ides of March. C'est l'un de mes acteurs préférés depuis des années. Je l'adorais d'avance. J'en suis dorénavant littéralement amoureuse. Il est ici au sommet de son art, et dégage une palette de sentiments en ne disant rien. Tout ce passe dans le regard. C'est bien simple, il ne dit quasiment rien durant les premières 20 minutes du film, mais sa prestation est tellement impressionnante qu'elle ne nécessite pas de mots. Son meilleur rôle à ce jour. Et pourtant, vue sa filmographie, la barre était déjà mis très haut. S'il n'est pas au minimum nominé aux prochains Oscars (et cette fois ENFIN récompensé), c'est à n'y rien comprendre.
Je le suis depuis 1997 où je l'avais découvert dans la petite série canadienne Classe croisière (Breaker High) qui devait passer dans l'émission Kd2a ou un truc du genre. Que de chemin parcouru et que de rôles plus différentes les uns que les autres. C'est un véritable caméléon qui n'a pas peur de prendre des risques et de perpétuellement nous surprendre. J'attendais beaucoup de sa performance dans Drive et au final il a dépassé toutes mes attentes. J'espère que cela va durer, au contraire de Jake Gyllenhaal et Robert Downey Jr. qui, avec le succès du public, ont vue leur jeux devenir moins grandiose. Heureusement que des mecs comme Gosling, Joseph Gordon-Levitt ou encore Jesse Eisenberg et Andrew Garfield sont là pour assurer la relève.


Mais Gosling est également TRÈS bien entouré dans le film. C'est d'ailleurs l'autre raison qui m'a donné envie de le voir, quelle impressionnante galerie d'acteur, avec premièrement Carey Mulligan avec qui il forme un duo magnifique. Tout se passe dans les regards et les non dits. C'est du grand art. Comme le voir progressivement se mettre à s'ouvrir au contact d'Irène et son fils.


Ensuite, le grand, le magnifique, le talentueux, le brillant, le génial mais tout aussi modeste Bryan Cranston dans le rôle de Shannon, le mécanicien qui a prit Driver sous sont aile. Cela fait vraiment plaisir de le voir jouer autre chose au cinéma qu'un militaire quelconque comme c'est hélas trop souvent le cas. À croire que tous ces producteurs n'ont pas vue les séries Malcolmoù il laissait éclater son génie comique et surtout Breaking Bad où il irradie la pellicule de son charisme.


Vient s'ajouter Ron Perlman qui sera pour moi toujours Clay, le chef du clan de motards des Sons of Anarchy dans la BRILLANTE série éponyme. Dans le film son rôle apporte un peu de légèreté dans le climat oppressant en ponctuant chacune de ses phrases d'un nombre incommensurable d'obscénités tel que "That is one mother funckin fine ass pussymobile, motha fucka!".


Mais aussi Oscar Isaac (vue dans Sucker Punch), Christina Hendricks (plantureuse rouquine de la série Mad Men) et surtout Albert Brooks dans le rôle du terrifiant Bernie Rose, qui maîtrise comme personne (ou presque) le rasoir. Un adversaire de choix pour le Driver.

CONCLUSION : Ce film est un bijou, une véritable œuvre d'art aussi belle dans le fond que la forme. Une véritable expérience de cinéma qui vous habite littéralement bien après la séance. Magnifique. L'image du réalisateur Nicolas Winding Refn et du directeur de la photo Newton Thomas Sigel est somptueuse. Le film allie la douceur et le calme (en apparence) de la ville et surtout du héros qui nous réserve des scènes d'une extrème violence. Car il faut se méfier du calme olympien de ce dernier, telle l'eau qui dort, il peu être inversement proportionnel très énervé quand on touche aux gens qu'il aime. Ce que vous voyez dans la bande annonce n'est rien. Certaines scènes virent au TRÈS sanglant. Vous détournez le regard à quelque reprises. Mais certains moment viennent allégés la tension comme de voir le héros arboré son fameux blouson avec le scorpion, de plus en plus couvert de sang (au fur et à mesure qu'il règle ses comptes) comme si de rien n'était au beau milieu de la ville, ou quand il arrive dans un club armé d'un marteau et demande son chemin à une demoiselle en tenue légère et que cette dernière ne remarque rien trop occupé à faire joujou tactile avec son joli iPhone.
La bande originale vous transporte complètement et reste coincé dans votre tête bien après tant et si bien qu'il vous faudra vous la fournir au plus vite, en particulier les titres aux sonorités très 80's Nighcall de Kavinsky & Lovefoxxx, Under Your Spell de Desire, A Real Hero de College, et Rick of the Clock de The Chromatics. Sans oublier la musique composé par Cliff Martinez pour l'occasion.
Il se passe près de 20 minutes au début du film avant que le taciturne héros daigne parler plus que par de simple réponses fermés. Et pourtant cela ne nous a en rien manqué car c'est tout par le regard que Gosling nous communique chaque bribe d'émotions de son personnage. Et OMG que vous en avez le souffle coupé. Il n'a jamais été aussi magnifique, charismatique, beau, talentueux que dans ce film. Cela fait plus d'une décennie que je le suis et l'ai vue grandir autant physiquement que dans sa qualité d'interprétation chaque fois plus surprenante. Il est de plus en plus incroyable et ce malgré le succès qui frappe de plus en plus à sa porte. Souhaitons lui que cela ne s'arrête pas de si tôt. Il en va de notre bonheur de cinéphile.

source de la plupart des photos : LePublicSystemeCinema.fr

Florilège de bande annonces prometteuses

## Prenium Rush, avec Joseph Gordon-Levitt.
Le film a un petit je ne sais quoi de Phone Booth et Cellular, pour le côté compte à rebours et huit-clôt. Et puis une course contre la montre en vélo dans NYC, HELL YES!!!! Il sortira le 13 janvier 2012 aux USA. J'ai pu voir cette bande annonce de nouveau, cette fois en salle avant la projection de DRIVE, et cela fonctionne plus que bien.




## Man on a Ledge
Avec Sam Worthington (mon big crush de Avatar), Elizabeth Banks et Jamie Bell (qui a bien grandi depuis Billy Elliot).
Sortie également le 13 janvier 2012.




## The Girl with the Dragon Tattoo, le nouveau film de David Fincher, avec Daniel Craig.
Il s'agit de l'adaptation du roman Les Hommes qui n'aimaient pas les femmes, le premier tome de la trilogie suédoise Millenium, qui a été déjà adapté en 2009. Le film sortira le 21 décembre prochain aux USA et l'année prochaine en France
Je ne suis pas particulièrement intéressé par cette histoire pas plus que je ne l'étais à l'époque de tout le phénomène autour du livre et de ses adaptations. Mais ici, il s'agit de Fincher alors cela change quelque peu la donne. Cette bande annonce est tellement longue que l'on pourrait dire que c'est un cour-métrage. Au risque probablement d'en dire trop.


Mais personnellement, c'est la première qui m'avait beaucoup surprise de par son montage clipesque sous fond de Immigrant Song par Trent Reznor & Karen O, avec le martèlement du titre et des crédits à la fin. Tout simplement brillant et superbe. Ceux qui ont fait ces bande annonces devraient recevoir un prix pour leur travail remarquable. Et si ceci n'est qu'un aperçu du film de Fincher, et bien cela promet encore du très bon de la part du grand maître.



## We Bought a Zoo
De Cameron Crowe (Jerry Maguire), avec Matt Damon, Scarlett Johansson, Elle Fanning (Super 8).
Basé sur une histoire vraie. Un parfait de film de fin d'année (contrairement au précédent) vue qu'il sort deux jours avant Noël. La merveilleuse chanson de Sigur Ros Hoppipolla! me touche au cœur à chaque fois. Une merveille.



## J. Edgar
Le nouveau film de Clint Eastwood, avec Leonardo DiCaprio, Naomi Watts et Judi Dench, mais aussi Armie Hammer (les jumeaux dans The Social Network), Josh Lucas (Sweet Home Alabama), Dermot Mulroney (Le mariage de mon meilleur ami), Ed Westwick (Chuck Bass dans la série Gossip Girl), Lea Thompson (Retour vers le futur II et III), Jeffrey Donovan (héros de la série Burn Notice), Kevin Rankin (vue dans les séries Friday Night Lights, Trauma et à la rentrée dans Unforgettable) et Amanda Schull (le rôle de Katie Ryan/Sara Evans dans les saisons 7 et 8 de la série One Tree Hill).

Le film J. Edgar sortira également le 9 novembre prochain.
Il explore la vie publique et privée de l’une des figures les plus puissantes, les plus controversées et les plus énigmatiques du 20e siècle, J. Edgar Hoover, qui fût le directeur du FBI du 10 mai 1924 à sa mort en 1972.

samedi 24 septembre 2011

Door of Swatches, maison de Armin Blasbichler


Voici des photos d'une porte de la maison où vit l'architecte/designer Armin Blasbichler avec sa femme et ses deux enfants, en Italie. La porte est constitué de diapositives de couleurs faisaient référence aux couleurs de la nature environnantes. D'ailleurs chacun arbore une écriture manuscrite indiquant l'origine de cette dernière. Que ce soit une fleur, un arbre, etc...
Les photographies sont de Ingrid Heiss pour le site Design*Sponge.
C'est une découverte que j'ai faite via le Tumblr d'une jeune colombienne de 20 ans, EEUU(W)GH!. Découverte qu'elle a elle-même faite via le très intéressant site Plenty of Colour (inspiration devoted to color), que j'ai déjà ajouté dans mes favoris.

Des acteurs de diverses séries dans The Office

À l'occasion de la 63ème cérémonie des Emmy Awards diffusés dimanche dernier aux USA, fut diffusé cette courte vidéo parodique ou différents acteurs de séries de tous bords sont passé par les bureaux de The Office : Breaking Bad, NY Unité Spéciale, Park and Recreation, 30 Rock, Castle, The Big Bang Theory, Ashton Kutcher qui remplace Charlie Sheen dans Two and a Half Men, etc... Excellent pour tout fan de séries qui se respecte. Merci au site SériesAddict pour la découverte.

vendredi 23 septembre 2011

l'iOS de Apple vs. l'Android de Google

Au gré de recherches d'images faite durant mon stage je suis tombé sur ce site et cette superbe illustration de la gue-guerre opposant ici les patrons d'Apple (le vénérable Steve Jobs) et de Google (Eric Schmidt) avec leurs créations respectives en main. J'adore l'illustration mais pour moi il n'y a évidemment pas de guerre car c'est et ce sera toujours, bien sûr, la marque à la pomme qui aura la première place dans mon cœur de Geek.

jeudi 22 septembre 2011

Harry Potter, the Complete 8 Film Collection trailer

Alors que le dvd du dernier film sortira en novembre prochain, voici un LONG trailer retraçant la complète saga. J'y peu rien, ça me prends aux tripes à chaque fois. C'est une part de la fin de mon enfance tout ça.

mercredi 21 septembre 2011

Parodie d'une publicité pour le futur iPhone 6

Parce que j'aime Apple et tous les produits que la marque à la pomme peut produire, et parce que j'aime rire aussi et que en plus c'est une parodie faite par des québécois. Merci au journal gratuit Métro pour la découverte.

lundi 19 septembre 2011

Un 11e membre !


Bienvenue à Ella Coquine qui est visiblement membre de beaucoup de blogs anglosaxons. Le mien fait donc office d'ovni parmi le lot. Je ne l'a remercie donc que d'autant plus. Je ne sais pas ce qui l'a attiré sur mon site, mais j'espère qu'elle y trouvera encore son bonheur à l'avenir. Merci en tous les cas Ella Coquine d'avoir trouvé mon blog suffisamment digne d'intérêt pour souhaiter en devenir membre et à bientôt peut être au travers des commentaires.
Et je tiens à en profiter pour remercier également les autres membres qui le sont depuis plus ou moins longtemps et ce encore aujourd'hui. Certains ont abandonnés le navire en cour de route, c'est pour cela que je remercie d'autant plus ceux qui restent fidèles.
Merci à vous.

samedi 17 septembre 2011

FRINGE, saison 4 : une première longue promo ÉNORME

Dans le monde impitoyable d'Hollywood, des petits miracles parfois se réalisent. Comme le fait que des séries comme Chuck ou Fringe qui, malgré des audiences misérables, reviennent dans quelques jours à la tv américaine pour une quatrième saison en se réinventant complètement au point, peut être, de perdre le si peu de téléspectateurs qui leur reste.
Je vous ai présenté dernièrement diverses affiches et photos promotionnelles de la saison 4 deFringe qui jouaient totalement sur le fait que tout ce que nous avions connu jusqu'à maintenant allait être chamboulé. Un bon moyen de dire, si vous voulez rejoindre le navire, il n'est jamais trop tard. Vous ne serez pas perdu en cours de route. Et ce que j'adore encore et toujours, c'est le soucis apporté par Ari Margolis et le reste de l'équipe en charge de la promotion de la série pour perpétuellement nous surprendre. Là où beaucoup de shows nous pondent des teasers absolument insipides, Ari & Co. conçoivent des bijoux rivalisant avec ceux du 7e art.
Leur dernière création en date : les webisodes Past, Present & Future narrés par John Noble himself, dont le but est de résumer les points majeurs de la mythologie de la série, avant d'attaquer la nouvelle saison. Je vous avais d'ailleurs présenté les deux premiers ici début septembre. Et voici ci-dessous les deux derniers Part 11: The Future Is Now et Part 12: A Different Choice, dont le dernier nous donne le droit à un cours extrait inédit impliquant deux Observers et Olivia. C'est rapide et intense et nous fait réaliser combien "Much has changed.". Vous pouvez retrouver l'ensemble de ces webisodes sur la chaîne YouTube de la chaîne FOX.





Autre BONUS promotionnel, les fameuses vidéos Where is Peter Bishop?, dont je vous avait déjà parlé précédemment ici. Pareil, vous pouvez retrouver l'ensemble de ces vidéos sur lachaîne YouTube de la la FOX.


Alors que les premières vidéos étaient très courtes, puis graduellement de plus en plus longues : 10 secondes pour la première, 20 pour la deuxième et ainsi de suite. Elles mettent toutes en scène des moments clé impliquant Peter et montrant combien il a marqué la vie de certaines personnes. Personnes qui sentiront son manque dans cette quatrième saison, sans pouvoir ce l'expliquer vue qu'il n'a "supposément" jamais existé. Au milieu de ces rapides images qui défilent sous nos yeux, ce sont glissés soit une image ou un extrait vocal inédit. Il faut prendre le temps de plus ou moins décortiquer ces vidéos pour les repérer. Dans le quatrième extrait nous avons le droit à un passage un peu plus conséquent mettant en avant Olivia qui se confie justement sur cette solitude, sur ce manque qu'elle a toujours ressenti tout au long de sa vie.
C'est alors que la cinquième vidéo fait son apparition sous forme de cadeau de Noël avant l'heure. Car nous avons ici droit à 1m45 d'extraits 100% inédits entrecoupés de rapides flash-backs de Peter. C'est également l'occasion de voir les images qui correspondaient à certains extraits sonores entendus dans les précédentes vidéos. Nous découvrons ainsi, avec le Lincoln geeky de notre côté, la Fringe Division telle qu'elle est maintenant. Charmant clin d'œil que le message promotionnel à la fin qui joue sur le côté "SERIES/SEASON PREMIERE" de cette saison 4 qui nous est présenté comme étant une relecture complète de la série depuis son commencement.
Et quand on croit cela est finit, voilà que les deux Observers Septembre et Décembre apparaissent à l'écran, et que ce dernier dit à l'autre : “They can never know, the boy lived to be a man.” Vivement le 23 septembre pour un début de réponse.



ACTUALISATION (18 août) : Une nouvelle photo avec un membre du casting qui n'est autre que Joshua Jackon alias le supposé Peter Bishop que l'on désespère de revoir. L'acteur a repris depuis peu le tournage avec l'équipe à Vancouver. YESSSSS!!! Par contre, notez l'anneau à la main gauche. Notre chère Olivia va avoir de la concurrence et du fil à retord pour (re)conquérir le cœur de son bien aimé.


Ceci s'accompagne d'une vrai/fausse lettre de Peter que la chaîne FOX a envoyé vendredi aux journalistes, dont voici la traduction ci-dessous :
Pour citer Mark Twain, un de mes auteurs préférés : « On a grandement exagéré l’annonce de ma mort. »
Où je me trouve actuellement, je ne pourrais pas vraiment le dire… Ce n’est pas que je veux vous le dire mais c’est simplement que je ne vois rien et que je n’entends rien non plus. Je ne sais pas pourquoi.
Les scénaristes et les producteurs m’ont promis que je finirai par revenir à Boston un jour, et jusqu’à présent, ils ne m’ont donné aucune raison de douter de leur parole. Sur ce, j’ai le plaisir de vous annoncer qu’il vous est dès à présent possible de regarder les deux premiers épisodes de la saison 4 de Fringe qui reprendra le 23 septembre 2011…
Mystère, suspense, science et les habituelles folies seront bien sûr au rendez-vous, même si d’un point de vue strictement égoïste j’aurais aimé faire partie de la fête. J’espère qu’ils vous plairont.
Sincèrement vôtre,
Peter Bishop

The Walking Dead saison 2, le poster


Dans la même veine que le superbe poster de la première saison, centré sur le personnage principal perdu au milieu des éléments. Celui ci-dessus est même encore plus minimaliste. Le paysage de ville déserté a laissé place à celui de la campagne avec pour seul preuve de "vie" une maison au bout du chemin. Vraiment très beau. Cela me donnerait presque envie de regarder le dernier épisode de la première saison, pour être fin prête pour la deuxième fourné. Mais en même temps, les voir fuir encore et toujours les zombies, sans aucun espoir de jamais retrouver une vie normale... Cela risque de devenir lassant à la longue.
Sans parler du fait que Frank Darabont, le créateur de la série, a abandonné le navire au cour de la saison deux. Ce qui est dommage car en sa qualité de réalisateur de l'un de mes films préférés (Les Évadés), il était la raison première pour laquelle je m'étais intéressé au show à la base.

vendredi 16 septembre 2011

A Love Story… In Milk

Vidéo toute mignonne découverte grâce à un ami sur Facebook. Vous ne regarderez plus votre brique/bouteille de lait de la même façon. Et c'est bien le but recherché.

Conçu par Catsnake, une société de production
basé dans les Ealing Film Studios, à Londres.
Mandaté par Friends of the Earth.
Écrit et produit par Stephen Follows.
Réalisé par ​monté par Danann Breathnach.
Musique composée par Michael Csanyi Wills.

mardi 13 septembre 2011

Crazy, Stupid, Love - My Review


Synopsis (Cinoche) : Cal vient d'apprendre que sa femme Emily veut divorcer. Même s'il l'aime encore, le père de famille accepte sa décision sans rechigner et décide de quitter la maison. Il passe ses soirées dans un bar, à maugréer sur ce qui lui arrive. C'est là que débarque Jacob, un séducteur invétéré qui a toujours le mot juste pour faire craquer la gent féminine. Grâce à ses conseils, Cal devient un homme nouveau, et il arrive même à se rapprocher de son épouse. De son côté, Jacob fait la rencontre de la pétillante Hannah qui lui donne du fil à retord.


C'est une comédie que j'ai vue à sa sortie, ici au Canada, mais sans jamais trouver le temps d'en faire la critique. Alors que le film sort demain en France, je me dis qu'il est plus que temps de remédier à cela.
Les principales raisons qui m'ont poussé à aller le voir, hormis les trailers qui m'ont beaucoup amusés, est le casting composé d'acteurs cinq étoiles plus habitués au drame qu'à la comédie. Ce qui est plutôt rare car généralement ils sont enfermé dans un moule bien distincte. Certains s'évertuent à faire rire pendant que d'autres savent vous faire pleurer comme personne.
Ici nous avons Steve Carell, un acteur habitué, pour le coup, à faire rire (entre The Office et l'année dernière au cinéma dans Date Night avec Tina Fey que j'ai ADORÉ. la plus folle course poursuite dans NYC que j'ai pu voir), mais qui sait également vous émouvoir que ce soit dans la série The Office ou dans le film Dan In Real Life (que j'ai ADORÉ bis).


Julianne Moore et surtout Ryan Gosling (l'un des heureux chanceux de mon TOP5 des meilleurs acteurs actuels) qui sont bien plus habitué au registre dramatique. D'ailleurs contrairement à son personnage dans le film, ici c'est lui qui a perdu sa virginité comique. Et d'ailleurs il devrait réitéré car Gosling est vraiment très drôle. Je ne l'aime que encore plus.


Et enfin, mais non des moindres : la douce, la merveilleuse, la drôlissime, la sexy, l'anticonformiste, naturelle, pas prise de tête, talentueuse, big balls Emma Stone (un court caméo au début de Friends With Benefits, The Help, et l'année prochaine dans le reboot de Spider-Man). C'est toujours un bonheur de la retrouver, et ce depuis Easy A ou elle était charismatique. Elle fait partie de ces actrices (avec le casting de la série The Good Wife) pour lesquelles je développe une vénération quasi-amoureuse. En même temps, ces femmes sont tellement talentueuses que comment ne pas les aimer ?!?


Autant le dire tout de suite, le couple Gosling-Stone constituait la principale raison pour laquelle je voulais voir le film. Ils sont adorables tous les deux, et leur alchimie fonctionne à merveille. Par contre, dommage qu'il n'y ai pas plus de scènes d'eux ensemble pour la simple et bonne raison que le film en ai déjà à plus de la moitié avant qu'ils ne soient réunis. Certes ils se rencontrent quasiment au début quand Jacob la drague et se prend une claque monumentale. Probablement la seule qu'il est jamais reçu vue le succès qu'il rencontre. Et c'est pour cela que leurs retrouvailles sont aussi intenses puis mignonnes alors qu'ils apprennent à se connaître.


Mais après avoir visionné le film, je pourrais ajouter également trois jeunes membres du casting qui ne manque pas de charisme, même face aux grands acteurs qu'ils accompagnent. Il y a tout d'abord Analeigh Tipton, alias la baby-sitter des enfants de Emily et Cal, qui est amoureuse de ce dernier. Elle est très drôle et touchante. Et pas forcément sexy, toute brindille godiche qu'elle est dans le film. Mais en fait, après recherches sur la toile, il s'avère qu'elle a participé à Top Model machin chose sur la petite chaîne adulescente américaine CW en 2008 et depuis elle a fait moulte apparitions dans diverses séries et films, sans parler de vidéos de grands n'importe quoi qu'elle poste sur YouTube. Un vrai talent de comédienne à suivre.


Ensuite, il y a Jonah Bobo, alias Robbie l'un des enfants qui est amoureux de la dite baby-sitter. Ce qui donne droit à de multiples scènes cocasses durant le film. L'acteur, pour son jeune âge, fait preuve de beaucoup de charisme et n'a pas froid aux yeux face à Steve Carrell.
Excellente réplique qui lui vaudra une exclusion : "Okay, The Scarlet Letter. To me, the A stands for asshole. Both Hester and Dimmesdale fall in love. Love is for asshole. So they are assholes being chased by assholes because they are assholes. ".
Enfin je citerais Liza Lapira, qui joue l'amie du personnage d'Emma Stone. Dommage qu'on la voit si peu dans le film car chacune de ses répliques font mouche, que ce soit face à Emma Stone (You're life is so PG-13.), Ryan Gosling ou Josh Groban (alias le pseudo-petit ami d'Hannah). Je trouve cette fille très drôle et rafraîchissante. Dommage qu'on ne la vois que trop peu au cinéma (à part dans les films 21 et Cloverfield et divers petits rôles dans des séries TV).


Ce film est bourré de répliques brillantes (Emily: When I told you when I had to work late? I really went to go see the new Twilight movie by myself, and it was so bad.) et dieu sait que je ne les ai pas toutes comprises vue que les films sont projetés à Montréal sans sous-titres. Mais je re-verrais le film à sa sortie en dvd avec bonheur et ce sera presque comme une redécouverte. Après visionnage, le nom de David Lindhagen (pauvre Kevin Bacon qui vieillit très mal) n'a plus de secret pour vous, tellement que le héros Cal le site en long en large et en travers. Au point que quand Jacob le rencontre pour la première fois on ne peut qu'exploser de rire et applaudir à sa réaction musclé. À vrai dire tout cet avant final, sous forme d'énorme cafouillage est hilarant et aura beaucoup fait rire le public et moi-même, au fur et à mesure que tous les invités impromptus se présente à la fête. L'arrivé notamment du personnage de Gosling et le regard qu'il jette à Carrel sont tordants.


Et même si le film succombe au clichés de l'âme sœur, il le traite mieux que ses autres contemporains et arrive à nous surprendre à quelques reprises, chose rare pour une comédie romantique. Contrairement Friends With Benefits, la salle ne sait pas mise à rire dès le début du film et ce tout du long. Cela dépend vraiment du public, mais cela m'a un peu bloqué durant le visionnage. Mais je crois que le public contenait son rire et nous avons tout lâché au moment où Carl revient dans le bar après avoir réussi à conclure avec sa première conquête, le lançant ainsi sur la pente de l'homme à femme que Jacob a cherché à lui enseigner depuis leur rencontre. À ce moment le public a littéralement explosé d'enthousiasme et applaudi pour féliciter le succès du héros. C'était vraiment un grand moment. Avant, bien sûr, le grand déballage familial dont je vous ai parlé plus haut où je n'ai pas arrêté de rire.


CONCLUSION : c'est une comédie très réussie qui vous fera beaucoup rire, sans vous niaiser. Les acteurs donnent le meilleur d'eux même. Ils sont tous plus charmants les uns que les autres, ce qui ne gâche en rien pour le plaisir des yeux. Merci la magie d'Hollywood.
Seule reproche à la réalisation de Glenn Ficarra et John Requa (I Love You Phillip Morris), certains ralentis superflus, notamment lors du départ de Carl de la maison familiale vers la fin, avec abus de plans de grue. Toute comédie vous servira toujours sur un plateau le fameux plan sous fond musical où vous voyez les héros apprendre à se connaître et à partager de "jolis moments d'intimité et étroite connaissance de l'autre" en accéléré. Et hélas, ici nous ne dérogeons pas à la règle avec notamment le plan dans le lit ou Jacob et Hannah.
Heureusement on retiendra surtout les excellents moments de quiproquos qui font légion dans le film. Entre la baby-sitter surprenant Robbie dans sa chambre découvrant les joies de la masturbation, Carl et son ex-femme à la réunion de parents d'élèves qui se retrouvent face à une ancienne connaissance de ce dernier, l'énorme cafouillage de la surprise de Carl pour son ex, les photos coquine de Jessica découvertes par ses parents et tout ce qui s'en suit, le premier succès de séduction de Carl, la "rupture" de Bernie avec Carl, le relooking et ce fichu porte feuille à scratch, etc...

The Rum Diary, l'affiche teaser

Un peu de provocation, de justice, de rhum, mélangez bien.

Voici une affiche que j'ai découvert par le biais du Tumblr Flicksation.com. J'avais déjà vue la bande annonce qui avait l'aire d'être déjà d'un grand n'importe quoi (dans le bon sens). Cela me rappel Las Vegas Parano (Fear and Loathing in Las Vegas), et pour cause vue que c'est du même auteur : Hunter S. Thompson. On retrouve de nouveau Johnny Depp. Mais le casting qui l'entoure est aussi très intéressant, à commencer par Aaron Eckhart, puis Richard Jenkins (toujours aussi impeccable) et Michael Rispoli qui forme un duo très drôle avec Depp. Try to act normal...

lundi 12 septembre 2011

Hell on Wheels, premier trailer


Créée par Joe et Tony Gayton, ce drama suivra les pas de Cullen Bohannon (interprété par Anson Mount), un ancien soldat confédéré qui cherche à se venger des soldats des troupes de l'Union qui ont tué sa famille. Ses recherches l'amènent alors jusque dans le Nebraska, au moment de la construction du premier chemin de fer transcontinental par l'Union Pacific devant relier Sacramento à Omaha... L'histoire prends place en 1865, après la fin de la Guerre de Sécession.
La petite chaîne du câble américain AMC (Breaking Bad, Mad Men, The Walking Dead) n'en finis décidément plus de réaliser des projets ambitieux bien en marge des productions stéréotypés ou sans risques des networks. Fans des westerns, Hell on Wheels est pour vous. Il faut dire que ce teaser, digne des meilleures productions cinématographiques, met l'eau à la bouche.

samedi 10 septembre 2011

The Vampire Diaries, photos promo de la saison 3


Voici quelques photos promotionnelles de la troisième saison d'une sérié en apparence pour ados qui a su grandir avec le temps et nous servir des intrigues de qualités. Après une fin de première saison de haut niveau, la deuxième a suivie sur sa lancé et n'a cessé de nous surprendre. Ce fût un plaisir d'en faire la critique tout au long de l'année pour le site SériesAddict d'où sont d'ailleurs extraites ces superbes photos pour la saison 3, de retour jeudi prochain. Elles m'ont tout de suite fait penser à la promotion faîte pour une autre série de vampires, bien plus trash, True Blood. Au début la photo de Katherine m'a surprise. Tout ce sang, accentué par le choix du fruit que j'ai pris pour un morceau humain. Donc c'est très convainquant. Damon et le fruit défendu, la pomme évidemment. Par contre je ne vois pas trop l'explication de la poire du mystérieux Klaus. Quant à Stefan, je ne sais quel fruit il tient, mais contrairement aux autres personnages, il le garde bien pour lui, tout nouvellement dévoué au côté obscure de la force qu'il est.


Et en bonus, un petit recap de la saison 2, histoire de vous préparer à ce qui vous attends le 15 septembre prochain, avec en plus une mini-scène inédite réunissant Elena et Damon. Niveau promo vidéos, TVD n'est vraiment pas doué. Aux antipodes de celles de qualité de FRINGE. L'accent est toujours trop mis sur Damon au détriment des autres personnages et les promos retranscrivent souvent mal le véritable intérêt de l'épisode. Espérons qu'ils s'améliorerons cette année. En tous les cas, la deuxième vidéo ci-dessous fait bien plus envie avec des images de la nouvelle saison disséminées tout au long. L'avant-dernière est totalement dévoué au season premiere. Et enfin nous avons un recap des moments clés de la fin de la saison dernière présentés par la productrice exécutive Julie Plec.






vendredi 9 septembre 2011

52 Types Deck of playing cards, by Adam (BeaverCreative) Bauer


Voici une jolie découverte que j'ai fait aujourd'hui via le génial site de packagings TheDieLine.com. Il s'agit d'une création de Adam Bauer aka BeaverCreative. C'est un tout jeune diplômé (juin 2011) de l'école The Art Institute of California de San Diego. Et déjà des publications et des prix... Le talent de la jeunesse.

Ce jeu de cartes fut créé comme un outil de référence rapide pour les concepteurs avec lequel on peut jouer, à l'occasion.
Chaque carte valet-dame-roi met en avant une typographie différente et ses diverses déclinaisons (Regular, Italic, Bold, etc). Alors que les numéros de 2 à 10 fonctionnent sous forme d'un cercle qui présente la police au moyen de deux alphabets : l'un en bas-de-casse, l'autre en capitales.
Petit clin d'oeil sympa du créateur, le fait d'avoir utilisé les polices Comic Sans et Papyrus pour les cartes Joker, car c'est vraiment en DERNIER RECOURS (si c'est l'apocalypse) que l'on peut les utiliser...


Ce projet a été accompagné d'une affiche (ci-dessous) montrant le jeu complet. Fin mars de cette année, il a été récompensé par un Golden Addy, dans la catégorie "Mixed Media".

jeudi 8 septembre 2011

Quote of the Day aka Citation du Jour_n°089


Ceux qui savent faire font.
Ceux qui ne savent pas faire enseignent.
Ceux qui ne savent pas enseigner enseignent aux enseignants.

Muriel Barbery.
Néé le 28 mai 1969, à Casablanca, Maroc.
Extrait du livre L'élégance du hérisson (2006).
Ancienne élève de l'école normale supérieure, Muriel Barbery est professeur agrégée de philosophie et a enseigné à l'Institut universitaire de formation des maîtres (IUFM) de Saint-Malo. Elle vit maintenant à Kyoto, au Japon.

C'est une citation, ou tout du moins une partie, que j'ai entendu récemment dans le film One Day (par le personnage de Dexter, à Emma), et aujourd'hui sur le tee-shirt d'un client au Metro. Alors je me suis dit qu'il était temps que je l'a partage ici.

lundi 5 septembre 2011

Quote of the Day aka Citation du Jour_n°088


I had always heard your entire life flashes in front of your eyes the second before you die. First of all, that one second isn’t a second at all, it stretches on forever, like an ocean of time. For me, it was lying on my back at Boy Scout camp watching falling stars…and yellow leaves, from the maple trees, that lined our street…or my grandmother’s hands, and the way her skin seemed like paper…and the first time I saw my cousin Tony’s brand new Firebird…and Janie…and Janie…and…Carolyn. I guess I could be pretty pissed off about what happened to me…but it’s hard to stay mad, when there’s so much beauty in the world. Sometimes I feel like I’m seeing it all at once, and it’s too much, my heart fills up like a balloon that’s about to burst. And then I remember to relax, and stop trying to hold on to it, and then it flows through me like rain and I can’t feel anything but gratitude for every single moment of my stupid little life. You have no idea what I’m talking about, I’m sure. But don’t worry…you will someday.

Fin du film American Beauty, 1999.
Monologue du héros Lester Burnam, joué par Kevin Spacey.

Je vous avais déjà parlé d'ailleurs de ce superbe film et notamment de son début et sa fin, sans oublier la scène du sac plastique, culte. Pour retrouver tous ces extraits en vidéo, allez ici.

dimanche 4 septembre 2011

FRINGE, saison 4 : behind the scenes by Ari Margolis


Aris Margolis fait partie des petites mains qui créent les superbes promos de la série dont certaines que je vous avais déjà présenté ici (le 2.20 Brown Betty, le 3.08 Entrada, le season 3 finale) qui sont montées comme des trailers de films. Via son Twitter il partage beaucoup avec les fans avec toujours ce BIG 4 et la grande question Where is Peter Bishop?. Et voilà que récemment il implique même les acteurs avec le dernier cliché qui met en scène la charmante Jasika Nicole qui aura d'ailleurs un plein épisode consacré à Astrid cette saison. Mieux vaut tard que jamais. Et le troisième cliché ci-dessous nous conforte encore et toujours dans l'idée que tout à changé et que ce soit le passé, le présent ou le future, nous ne sommes pas au bout de nos surprises. Réponse dans 18 jours.


ACTUALISATION (8 septembre) : Une photo cette fois du grand John Noble qui inaugure un ensemble de vidéos intitulées Passé+Présent+Futur (dont je vous ai parlé plus haut) et narrées par ce dernier. Elles auront pour but de remettre en mémoire les différents événements qui se sont produits depuis le début de la série. Un moyen, clairement, pour tenter de rassembler les spectateurs de la première heure qui auraient pu lâcher en court de route, à ceux comme moi qui suivent toujours, de ne pas abandonner et enfin pour conquérir de nouveaux spectateurs potentiels en leur montrant que mythologie ou pas, c'est encore possible de prendre le bateau au début de cette 4e saison. Réponse le 23 septembre pour voir si cela aura porté ses fruits. Fingers crossed.