lundi 30 novembre 2009

Lille by Lisa Hannigan

Décidément, encore une vidéo. J'ai comme l'impression de ressentir un besoin de rattraper un retard d'images parlantes douteux. Enfin bon, cette fois il s'agit d'un clip que j'ai découvert par l'intermédiaire d'une bloggeuse qui donne son avis sur les films qu'elle a vue au cinéma ou des séries qu'elle a dévoré en quelques jours. Allez faire un tour sur leslecturesdecachou (le nom de son chat) vous ne serez pas déçu. En tous les cas moi je suis fan, et je me sentirais moins seule quand j'irais la prochaine fois au ciné avec pour seule compagnie mon livre pour lire durant les pub et autres bandes annonces que j'ai déjà vue ; ou encore de dévorer une série complète en un week-end ou une nuit. Cela fait du bien de se sentir moins bizarre dans ce monde somme toute fort étrange.
Pour en revenir à la vidéo ci-dessous, il s'agit donc de la chanteuse irlandaise Lisa Hannigan qui a collaboré notamment avec Damien Rice. Et c'est ce détail qui a retenue mon attention vue que j'adore le bonhomme depuis l'acquisition de son magnifique album "O" et surtout de la chanson "The Blower's Daughter" qui me met dans tous mes états à chaque fois. Miss Hannigan y pousse d'ailleurs la chansonnette à ses côtés. Via Wikipedia, j'ai également découvert que la demoiselle à également travaillé, entre autres, avec Jason Mraz et Snow Patrol... AAARGH. Est-ce que je peux dire que je l'a déteste ? C'est mal, je sais mais n'empêche.


J'adore son clip qui illustre la chanson "Lille" avec ce système de livre pop-up crée par Jamie Hannigan et Maeve Clancy. C'est magique et cela me rappel un précédent post : l'art du post-it mise en scène, ou encore le générique de la série United State of Tara qui reprend ce procédé.

Les fils de l'homme - My Review


Je viens de redécouvrir ce film sur France 4 ce soir. Et il s'ajoute ainsi aux nombreux films magnifiques qui sont relégués sur la TNT ou la deuxième voir troisième partie de soir sur les chaînes principales (Kiss Kiss, Bang Bang sur France 3 à minuit il y a peu de temps). Et pourtan dieu sait que le film d'Alphonso Cuaron aurait mérité les honneurs d'un prime time comme son Harry Potter, le troisième (la meilleure des adaptations du petit sorcier). Mais hélas, comme toujours, qualité et argent ne font pas bon ménage et les chaînes hertziennes ont malheureusement un peu trop tendance à sous estimé la capacité cérébrale du français moyen qui pourrait être revue à la hausse si tenté qu'on lui en donné la chance.
Donc, ce soir après mon épisode inédit habituel de Cold Case à 20h35 sur France 2, j'ai zappé sur France 4. Je sais, sacrilège de prendre le film en court de route. Tout le passage avec Julianne Moore et l'escapade de la ferme étaient déjà loin. Mais si cela peut me racheter, je possède le film en dvd. J'ai d'ailleurs un souvenir très particulier à propos du visionnage en salle (passé inaperçu en France) pour la simple et bonne raison que j'étais toute seule devant l'écran de l'UGC Ciné Cité Nantais (seule cinéma à diffuser le film dans la ville). J'ai un peu mieux compris ce que ressentais les millionnaires qui faisaient construire une salle de projection pour leur utilisation strictement personnelle. Un peu bizarre quand même et très triste de constater que le public n'était pas au rendez-vous.

C'est un magnifique film traitant de l'apocalypse, ou plutôt de la vie après. Ici aucune force extérieure dirigée par des petits hommes verts, aucun virus bactériologique, aucune météorite from far far away n'est à l'origine de ce chaos. L'homme en ai l'unique responsable par ces agissements et ses choix. L'espèce humaine est en voix d'extinction car plus aucun enfant n'a vue le jour depuis une dizaine d'année et le plus jeune humain vient de mourir. C'est dans ce cadre que commence l'histoire que nous découvrons au travers de Theo, brillamment interprété par Clive Owen que j'avais découvert auparavant dans Sin City.


Le côté apocalyptique du film me fait penser à 2012 que je viens juste de voir hier. Et me fait prendre conscience que Roland Emerich, avec tous ses effets spéciaux, est passé à côté du message contrairement à Cuaron qui nous a fait un chef d'œuvre. Les scènes de combats n'ont rien à envier aux meilleurs films de guerre. Je me vois encore m'agrippant comme je peux aux accoudoirs de mon fauteuil pensant que celui pourrait me protéger de tous ces coups de feux. Saisissant. Cette scène est absolument magique. Encore ce soir, j'en ai eu les larmes aux yeux tant que c'est beau : ces gens qui s'entre-tuent jusqu'au moment où ils prennent conscience de la présence du nouveau né et là MIRACLE les coups de feux cessent, certains se prosternent devant lui, d'autres prient et c'est alors le silence. Une sorte de calme après la tempête temporaire. Une forme d'espoir au milieu de toute cette merde. C'est dingue, même en écrivant ces lignes cela me fout en l'aire. Mais que voulez vous ? Quand on s'approche du divin, que pouvons-nous y faire si ce n'est nous laisser emporter par tant de beauté même dans les moments les plus sombres. Certains diront surtout dans ces moments là.

Pour tous les fans du Dr. Horrible

À l'occasion de la dernière cérémonie des Emmy Awards présentés par Neil Patrick Harris ce petit film parodique fut conçu en clin d'œil à la série du web Dr. Horrible avec justement le présentateur dans le rôle titre du savant fou. Les fans de The Big Bang Theory y reconnaîtrons l'interprète d'Howard.

dimanche 29 novembre 2009

Tu pousses le bouchon un peu TROP loin Maurice !

Voici une petite perle de la publicité française pour les Choco Suisse de la marque Nestlé datant de 2001. Vous pouvez aller un tour sur le site de TIC & BELC, lire l'exposé d'une étudiante en IUT sur le premier spot, ou encore montrer votre soutien auprès du pauvre Maurice en rejoignant le Comité de soutien à Maurice le poisson rouge qui "mangeait" les mousses sur Facebook. T'as dépassé les bornes des limites... non mais.





vendredi 27 novembre 2009

Saturn, 2 jours/semaine pendant 3 semaines


Voici mon nouvel espace de travail pour les trois prochains week-end : le rayon appareils photos numériques du magasin Saturn à Rennes. Pour mon premier jour, je me suis garé au parking place Hoche. Tout d'abord, il faut expliquer que généralement je cherche toujours le moyen de trouver un stationnement gratuit. Il faut dire que j'ai été à bonne école avec mes parents. Mais là, c'était soit ça, soit j'arrivais en retard pour mon premier jour de travail. Je ne vous cache pas mon énervement quand je suis passé par la case paiement. 8H de stationnement = 12€. Youpi ! C'est le prix à payer de la proximité. J'en profite d'ailleurs pour pousser un coup de gueule sur les multiples rues en sens interdit qui m'ont foutues en l'aire mon planning. Parce que quand vous regardez votre petit plan, elles n'apparaissent pas et vous croyez donc naïvement que ce sera simple. Tout ceci pour dire que l'on ne m'y reprendra pas et que je suis quitte pour plusieurs années de paiement de parking.

Qui l'eu cru, une référence au cinéma au milieu de toutes ces voitures.
La voiture dans un lieu de stationnement payant, cela mérite bien d'être immortalisé. Comme de l'exemple de la chose à ne pas refaire.
Bienvenue à SURSOUS. Et à bientôt pour de nouvelles aventures... Ouais, c'est ça !
Résultat des courses, le lendemain j'ai pris le métro en laissant la voiture sur le parking relais. Invention magnifique, enfin quand il n'est pas plein. Ce fut l'occasion le métro Rennais qui est un mix entre le tramway Nantais et le métro Parisien : sous terre, mais pas de tourniquets et un compostage sur des bornes juste avant l'entrée dans le subway.

Quote of the Day aka Citation du Jour_n°005


AH MacGyver... Toute mon enfance ! Si vous aussi vous aimez cette charmante illustration, allez faire un tour sur le site de Snorgtees qui crée des tee-shirts aux messages pas si cons. Ces Amerloques sont remplis de bonnes idées. Si vous aimez vous aussi ce graphisme et son humour, ne vous inquiétez pas, Snorgtees reviendra souvent dans ma rubrique "Citation".

Allez faire un tour sur leur site officiel en cliquant sur le logo.

mardi 24 novembre 2009

Quote of the Day aka Citation du Jour_n°004

Here's to the crazy ones. The misfits.
The rebels.
The troublemakers.
The round pegs in the square holes.
The ones who see things differently.
They're not fond of rules.
And they have no respect for the status quo.
You can quote them, disagree with them, glorify or vilify them.
About the only thing you can't do is ignore them.
Because they change things.
They push the human race forward.
And while some may see them as the crazy ones,
We see genius.
Because the people who are crazy enough to think
they can change the world,
Are the ones who do.

Publicité d'Apple "Think Different". 1997

Virée Parisienne

Comme je le disais dans le précédent post, le 9 novembre dernier je suis monté sur Paris. Après le Conrad Shop, Chappelle et autre parc/jardin potager de quartier, je suis partie à la recherche du fameux Apple Store fraîchement ouvert. Tel une chasse aux trésors, lorsque que vous descendez à l'arrêt de métro "Carrousel du Louvre" vous atterrissez sur cette mosaïque de iPods colorés sur fond noir.

Plus de doute possible, on est sur la bonne route. Ouais c'est ça, à tout de suite Apple chéri... Quoi ?!? Moi : bizarre ? À l'image de Maggie dans les Simpson, comme je l'avais montré ici.
AH ma dévotion à la marque pommesque. C'est comme si j'allais rentré dans un temple pour me recueillir. Tu m'étonnes que les gens considèrent les utilisateurs de Mac pour des tarés. Mais non d'abord. C'est pour nous les misfits, les anticonformistes, les rebelles, les gens différents... C'est Apple qui l'a dit, Think Different, dans une publicité de 1997. Ici vous pouvez voir le spot en VO et VF, mais aussi un reportage sur la campagne et les petites mains qui l'ont crée.

Et un petit tour du côté de la Bastille :

Au détour d'une rue en partant à la recherche d'une boutique de Vinyles :

Avant de partir à la découverte de l'exposition de la Fondation Cartier, pour l'art contemporain : Graffiti : Né dans la rue.

lundi 23 novembre 2009

Quote of the Day aka Citation du Jour_n°003


Le 9 novembre dernier, je suis allé à Paris pour deux jours et j'en ai profité pour me balader un peu dans la ville lumière. J'ai ainsi découvert le magasin The Conrad Shop du designer anglais. C'est là-bas que je suis tombé sur ce livre de photographies de l'américain James Dean dont j'ai pris ci-dessus la dernière de couverture en photo. On retrouve tous les clichés du photographe Dennis Stock et bien d'autres encore. Cet acteur dégageait un réel magnétisme à seulement 24 ans. Certaines photos sont intemporelles. Les canons de la beauté ont peut être évolué mais pas sur lui qui reste encore à ce jour magnifique. Une photo en particulier m'a marqué où il boit un café dans le hall d'un studio. Ajoutez-y le célèbre "What Else?". George Clooney peut aller se rhabiller. Il faut croire que je suis dans ma période James Dean depuis que j'ai fait l'acquisition d'un livre de Dennis Stock qui retrace les derniers mois de sa vie. Découvrir La Fureur de Vivre et Géant fait partie de mes projets.


Pour ce qui est de ma virée dans la capitale, j'y reviendrais pour vous parler de ma visite de l'Apple Store parisien au Carrousel du Louvre et de l'exposition sur l'histoire du graffiti à La Fondation Cartier pour l'art contemporain.

dimanche 22 novembre 2009

Twilight: New Moon, Mary & Max et Very Bad Trip (The Hangover) - My Review

## Aujourd'hui, comme beaucoup de français cette semaine je suis allé au cinéma découvrir Twilight 2 : New Moon (Tentation en français). C'est l'occasion pour moi de donner mes impressions mais aussi de revenir sur les deux derniers films que je suis allé voir au cinéma. Nous avons beau regarder de plus en plus de divx, rien ne remplacera la chaleur d'une salle de projection obscure avec pleins d'inconnus. En plus, pour une fois, j'étais accompagné et il fallait bien ça pour affronter la cohorte de fans de cette saga. Car je gardais en tête ma précédente expérience lors de la projection du premier film Twilight (Fascination) en janvier dernier dans le même cinéma (donc potentiellement le même public). Conclusion : si c'était le même public, il faut croire que les dix mois d'intervalles ont permis à ces jeunes demoiselles de mettre un peu de plomb dans leur tiny cervelle. Car OH MIRACLE, silence silence : que c'est bon. Juste quelques rires, synchros avec les miens, aux moments comiques : BIG UP pour le père de Bella qui gagne un humour pince sans rire salvateur contrairement à sa prestation de rabat-joie en chef dans le premier. Et encore je l'ai vue en VF, je suis sûr que la VO détient quelques autres pépites et surtout allège le côté fleur bleu énervant par moments.


Contrairement à ce que l'affiche laisse présagé Edward n'est pas le centre de l'histoire. Mais que voulez-vous, il faut bien attirer la jeune adolescente incrédule (et son porte-monnaie) dans les salles obscures. Je n'ai vraiment pas aimé cette affiche, car clairement Bella devrait être au premier plan près de Jacob et Mister Cullen au second voir au trois ou quatrième plan car il n'a qu'une présence anecdotique dans ce film au début et à la fin. Bella, interprété par l'excellente Kirsten Stewart (dont je suivais la carrière bien avant tout ce phénomène mondial), est la star du film. Elle et les loups garou. C'est pourquoi j'aime beaucoup la photo ci-dessous qui représente bien la situation. Avec ce Edward, passif qui subit les choses, pathétique, à perpétuellement se reprocher de mettre en danger la belle de son cœur. Et je dois bien avoué que ce côté-là du personnage m'a énervé au possible et que finalement le si peu qu'il apparaît à l'écran, c'est suffisant. Enough is enough. Ce côté "tapez-moi dessus, je n'ai pas d'âme, je suis diabolique, je ne mérite pas de vivre, j'irais en enfer..." blabla... C'est redondant et plus qu'agaçant. Espérons que avec l'acceptation viendra un Edward Nouveau pour le prochain film, Eclipse.


C'est là où le développement du personnage de Jacob dans la vie de Bella est salvateur et apporte du sang neuf et un nouveau souffle dans sa vie dépourvue de vampires anymore. D'ailleurs au passage, je suis très contente du rendu visuel des loups garou. Pour une fois, il ne nous ont pas fait un mix mi-homme/mi-bête tel que dans Harry Potter and the Prisonner of Azkaban que j'avais trouvé particulièrement foireux (et pourtant j'adore ce troisième tome et tout autant l'adaptation cinématographique qui reste à ce jour ma préférée). Ici, nous avons affaire à de vrai loups, juste plus ÉNORMES que la moyenne mondiale. Toutes les scènes avec eux sont magnifiques et on voit clairement qu'avec de l'argent cela n'a rien à voir (dixit les scènes de combats à chier mal chorégraphiés du premier et je ne parle même pas des vampires qui courent... drôlissime.). Ici les courses poursuites vampire/loups garous, à grands renfort de ralentis, sont vraiment très agréables à regarder. C'est d'ailleurs pour moi le point fort de ce film : son réalisateur, le rendu de l'image, et la façon de filmer notamment dans les scènes d'actions ou encore celle de montrer la dépression puis le retour progressif à la vie de l'héroïne. Rien à voir avec certains balancements de caméra incompréhensibles dans le précédent, notamment pour la scène où Bella révèle à Edward qu'elle connaît son secret. À ceux qui se plaignent du manque d'action dans ce film, (Et oui, tout se trouve dans la bande annonce.) lisez le livre. Dans New Moon, il ne se passe pas grand chose. Edward aime Bella. Bella aime Edward. Mais pour la protéger il la quitte et disparaît. Elle sombre dans la dépression. Puis aux côtés de Jacob, elle tente de vivre sans lui pendant les trois quarts du bouquin. Et enfin grandes retrouvailles italiennes. Pendant tout le bouquin, tout comme Bella, on attend-on espère son retour. Et quand un membre Cullen faire irruption dans la vie de Miss Swan, on respire de nouveau. Mais en soit, est-ce suffisant pour en faire quelque chose de cinématographique. Là est la question. En tous les cas, je trouve que cette adaptation est bien meilleure et plus fidèle au livre. À part le twist final qui laisse l'héroïne sans voix. Cela laisse perplexe pour la suite, vue que normalement le triangle amoureux atteint son paroxysme dans Eclipse avec une Bella qui ne sait plus trop qui choisir du vampire ou du loup garou. Let's wait and see.

## Le dimanche 4 octobre je suis allé dans mon petit cinéma de quartier habituel. Sauf que comme je vis à la campagne, je devrais plutôt parler de cinéma... de campagne, mais c'est moins vendeur. Il s'agit d'une petite salle associative qui propose néanmoins une sélection hétéroclite, comme par exemple Very Bad Trip (The Hangover) parfait exemple du titre français anglicisé, ou le prochain film dont je parlerais Mary & Max, film australien proposé en VOST.


Mais commençons tout d'abord par le films de mecs qui décident d'enterrer la vie de garçon de leur pote à Las Vegas BABY. Et évidemment rien ne va ce passer comme prévue. Succès surprise aux USA cet été. Je fus heureuse de découvrir que le Resteria l'avait ajouté à son programme (seul bémol en VF). D'ailleurs vous pouvez aller sur le cite d'Allociné pour participer à un concours afin de gagner une soirée en compagnie de l'équipe du film à Las Vegas pour la sortie en DVD. Ils arrosent beaucoup trop cette soirée et ne se souviennent de rien à leur réveil. Pour couronner le tout, le futur marié est porté disparu alors que le mariage a lieu dans deux jours... Pour connaître tous les détails de cette nuit de folie, il vous faudra attendre le générique de fin, riche en clichés... comment dire... très TRÈS compromettants. Bon moi je n'ai pas adoré toutes les blagues de mecs potaches mais je dois dire que toutes leurs péripéties sont drôlissimes. On veut tous savoir comment une poule et un tigre ont fini dans leur suite d'hôtel, où peu bien être le groom, comment l'un d'eux s'est retrouvé avec une dent en moins mais une femme en plus (AH Vegas...), et n'oublions pas le bébé mystère...


## Le lundi 16 novembre, retour au cinoche pour découvrir cette fois le petit film d'animations en pâte à modeler made in Australia : Mary & Max. Film sorti en quatimini sur notre territoire sadly mais qui vaut largement son pesant d'€uros cacahuettes. Franchement, je n'en avais pas du tout entendue parlé, c'est grâce à mon meilleur ami. Thanks No!


Ce que j'adore ce sont ces petites touches de rouges sur les personnages ou les éléments du décor qui les entoures. J'adore cette couleur. Cela me rappel Sin City. Son impact est d'autant plus fort que tout le film du point de vue de Max est en N&B et celui de Mary dans les tons sépia. Ce ton rougeoyant/flamboyant apporte de la lumière par petite touche dans les vies sombres et monotones de la jeune australienne Mary et du vieux New Yorkais désabusé Max. Voilà un film qui mérite, contrairement à d'autres, sa place parmi la sélection du dernier Festival de Sundance (qui devient avec le temps beaucoup trop commercial).


Citation de Ethel Mumford, issue du générique de fin :

On a tous une famille mais heureusement on peut choisir ses amis.


Voici la bande annonce de ce petit chef-d'œuvre sous fond musical de Perpetuum mobile interprété par Penguin Cafe Orchestra, enjoy.

You Found Me by The Fray

C'est avec joie que j'ai reçu un nouveau vinyle 180-GRAMS (33t) qui va s'ajouter à ma collection grandissante. Merci Amazon UK encore une fois. L'ironie est que j'ai du passer par l'Angleterre pour recevoir un produit qui vient au final d'Allemagne... Ce qui explique l'attente mais cela en valait la peine. D'abord l'article "Brand New" l'était réellement, car toujours dans son emballage d'origine (fait qui mérite d'être précisé car rare). Ensuite, j'ai eu l'agréable surprise de découvrir un flyer (photo ci-dessous : sur la platine) avec un code me donnant accès un téléchargement de l'album en version mp3 gratuit. Ce qui est vraiment très intelligent de la part du label parce que c'est bien l'inconvénient de la galette noire, à transporter en ballade...


Contrairement à mes dernières acquisitions, les chansons du dernier album de The Fray (nommé simplement... The Fray) tient sur un disque mais cela ne gâche en rien la qualité d'écoute et puis voyons le côté pratique : cela laisse plus de temps entre deux tournages de face (autre et dernier inconvénient majeur du vinyle).


Voici un petit extrait de ma platine en pleine action. Bien sûr, ne jugez pas la qualité sonore du vinyle là-dessus.

jeudi 19 novembre 2009

Quote of the Day aka Citation du Jour_n°001

Everything you want to change about yourself.
All the parts of yourself that you keep secret.
It's your power.
It's who you are.

Tout ce que tu aimerais changer en toi.
Toutes ces facettes que tu caches.
C'est ta force.
Ta personnalité.



Extrait de la bande annonce du remake de FAME, version 2009.
Le film a l'aire pourri mais ce passage m'a parlé. À méditer.

mercredi 18 novembre 2009

Disney Dream Portrait Series by Annie Leibovitz, le retour

Where True Love Can Be Celebrated

Une nouvelle fois Annie Leibovitz a frappé pour le compte de Disney, à l'occasion de D23 : La première communauté officielle de fans de Disney (voir site officiel). Le "D" faisant référence à l'initial de l'entreprise et "23" à l'année de création par Mister Walt Disney et son frère en 1923.
Le but est de permettre aux fans du monde entier d'être connectés et d'avoir accès (moyennant un abonnement annuel de 74,99$) à la revue trimestrielle Disney Twenty-Three, une carte de membre et certificat, réductions pour l'expo D23, l'accès à des événements et du merchandising "exclusif" et une souscription à la e-newsletter bi-hebdomadaire D23 FanFare.
C'est à l'occasion de la parution du premier numéro de la revue
Disney Twenty-Three que fût réalisé cette ré-interprétation de La Belle au bois dormant par Leibovitz
avec Zac Efron en Prince Phillipe et Vanessa Hudgens en Princesse Aurore, dans la continuité de ses précédents clichés de la série Disney Dream Portrait (que j'avais déjà abordé ici) avec interviews des deux stars d'High School Musical à la clef (que l'on peut retrouver sur le site de D23).


Dans ce premier numéro de printemps 2009 était également proposé une interview de Tim Burton à l'occasion de la sortie prochaine d'
Alice au pays des merveilles (voir mon précédent post présentant les dernières affiches du film et la bande annonce) produit par les studios Disney, mais aussi sur les animations Pixar et plus particulièrement le fim UP (Là-Haut).

mardi 17 novembre 2009

The Vampire Diaries - My Review


Ce qui n'était au départ qu'un
guily pleasure en attendant le retour de True Blood l'été prochain ou plus proche de nous la sortie cinéma de Twilight 2, devient semaine après semaine un show à part entière. Au fil des épisodes, la série étophe sa mythologie et ses personnages. Mention très spéciale à Damon, interprété BRILLAMMENT par Ian Somerhalder que l'on a pu déjà découvrir dans LOST (c'est le premier à mourir : l'ennuyeux Boone). Son jeux d'acteur a sauvé plusieurs épisodes de l'ennui au départ.
Mais bon, je vous raconte tout ça et vous ne savez probablement rien de ce nouveau show de la chaîne américaine pour teenagers
CW, à qui l'on doit déjà O
ne Tree Hill, Gossip Girl, Supernatural, Smallville... Adapté d'une série de bouquins du même nom par Kevin Williamson à qui l'on doit notamment Scream ou encore Dawson's Creek.


Synopsis : Il s'agit de l'histoire d'Elena orpheline à la suite d'un accident de voiture dont elle fut la seule survivante. Dès lors, elle tente de retrouver une place dans ce monde nouveau aux côtés de son jeune frère sous la coupelle de leur tante dont on a souvent plus l'impression que les rôles sont quelque peu inversé. Il faut dire que le personnage de la tata est absolument ennuyeux au possible le si peu qu'elle apparaît à l'écran. Elena a pour meilleure amie Bonnie (mon personnage préféré), ancêtre directe des sorcières de Salem. La découverte de ses pouvoirs nous donne droit à de belles scènes enflammées et plumeuses...
En parallèle, Stefan, vampire de son état, revient à Mystic Falls sa ville natale et place centrale de l'histoire pour connaître l'héroïne qui ressemble étrangement à son grand amour passé Katherine. Malgré lui, il ramène dans son sillage son frère Damon qui n'aspire qu'a se venger de cette ville et ses occupants tout en laissant libre cours à ses besoins d'hémoglobine (contrairement à Stefan qui se nourri de lapins et autres bestioles... pas très
bad ass le suceur de sang) au risque de mettre en péril la couverture des frères Salvatore.


Cette série gagne en relief quand les scénaristes s'attardent moins au côté adulescents des personnages (interprétés comme toujours par des acteurs d'une vingtaine d'année en moyenne, sauf les deux vampires qui flirtent avec la trentaine) au profit du côté fantastique noir propre au sujet des suceurs de sang Un seul regret, le manque d'hémoglobine (un paradoxe...). Une jugulaire sectionnée n'a rien d'effrayant ici. Il faut dire que je suis bien plus habitué aux bains de sang de True Blood, beaucoup plus réaliste car diffusé sur le câble. TVD subit l'interdiction aux moins de 14 ans. Et oui, il ne faut pas perdre le public cible. Mais je dois dois dire que c'est dommage. Je ne demande pas l'impossible, juste un peu plus que trois gouttes. Par exemple dans l'épisode de la semaine dernière (109 History Repeating), Stefan se mord le poignet pour donner son sang à miss x pour lui sauver la vie. Or rien ne coule du dit poignet et je ne parle même pas de la bouche de la demoiselle, impeccable à part un filet de sang esthétisant sur le rebord de la lèvre. Or j'ai très clairement en mémoire une scène à peu près identique de True Blood : le héros s'arrache très nettement la peau au niveau du poignet, un léger filet de sang s'en échappe que l'héroïne refuse de prime abord avant de le boire avidement. Quant au contour de sa bouche c'est comme si, tel un enfant, elle avait dévoré une tarte aux fruits rouges. Mais cela ne rends pas la scène plus terrifiante. Bien au contraire, cela lui apporte juste le niveau de "réalisme" nécessaire pour que l'on rentre de pleins pieds dans le monde des vampires.


Mais laissons une chance à The Vampire Diaries de faire ses preuves car ce show n'est pas si girly que j'aurais pu le penser au prime abord et quand même moins casse c******* que Twilight. De plus, il trouve toujours le moyen de me faire bondir de ma chaise lors de son cliffhanger final. Mention spéciale à celui du 109. J'ai hâte de voir la suite cette semaine.