J'avais découvert cette chanteuse, française pour une fois, dans les clips de M6 ou W9 tard le soir enfin tôt le matin plutôt... C'est parodiquement drôle. J'adore !
dimanche 28 février 2010
The 2009 Hollywood Portfolio by Vanity Fair
Alors que la remise des Césars a eu lieux hier soir et que la 82e cérémonie des Oscars® suivra le 7 mars prochain, j'avais envie de vous présenter un nouveau portfolio Acteurs-Réalisateurs paru dans le numéro de mars 2009 du magazine américain Vanity Fair et mis en images par Annie Leibovitz, quelque peu en manque d'inspiration semble-t-il vue que le portfolio de de 2010 (que je vous avais présenté au début du mois) fut réalisé sur le même principe. Or, quand on connait le travail (le portfolio 2007 hommage aux films noirs ou sa Dream Portrait Series pour Disney) auquel la géniale photographe nous a habitué, on peut paraître quelque peu déçu. Cependant, cela ne gâche en rien notre plaisir.
DANNY BOYLE & DEV PATEL
Un film ensemble : Slumdog Millionaire (2008). *****
Un film ensemble : Slumdog Millionaire (2008). *****
DARREN ARONOFSKY & MICKEY ROURKE
Un film ensemble : The Wrestler (2008).
Un film ensemble : The Wrestler (2008).
SAM MENDES & KATE WINSLET
Un film ensemble : Revolutionary Road (2008).
Un film ensemble : Revolutionary Road (2008).
GUS VAN SANT & SEAN PENN
Un film ensemble : Milk (2008). *****
Un film ensemble : Milk (2008). *****
PENÉLOPE CRUZ & WOODY ALLEN
Un film ensemble : Vicky Cristina Barcelona (2008).
Un film ensemble : Vicky Cristina Barcelona (2008).
RON HOWARD & TOM HANKS.
Quatre films ensemble : Splash (1984), Apollo 13 (1995),
The Da Vinci Code (2006) et Angels & Demons (2009).
Quatre films ensemble : Splash (1984), Apollo 13 (1995),
The Da Vinci Code (2006) et Angels & Demons (2009).
NICOLE KIDMAN & BAZ LUHRMANN.
Deux films ensemble : Moulin Rouge! (2001) et Australia (2008). ***
Deux films ensemble : Moulin Rouge! (2001) et Australia (2008). ***
MERYL STREEP & JOHN PATRICK SHANLEY.
Un film ensemble : Doubt (2008).
Un film ensemble : Doubt (2008).
CHRISTOPHER NOLAN & le regretté HEATH LEDGER
Un film ensemble : The Dark Knight (2008). *****
samedi 27 février 2010
Hôtel Rwanda - My Review
Synopsis (Wikipedia) : Le film retrace l'histoire vraie du Rwandais Paul Rusesabagina, (Don Chealde) un hutu, gérant de l'hôtel cinq étoiles Les Mille Collines à Kigali, qui abrita et sauva un peu plus d'un millier de Rwandais tutsis menacés par le génocide rwandais de 1994.
Ce soir France 3 diffusait à 23h15 pour la première fois en clair ce film au sujet important et trop ignorer par nous chanceux européens qui préférerions ne pas voir les milliers de gens exterminés comme des animaux et qui n'avons rien fait pour arrêter ça.
L'être humain n'apprend il donc jamais de ses erreurs passées, n'est-il dicté que par l'argent et le pouvoir ? Les guerres passées ne nous ont-elles rien appris? Tous ces gens mort dans les camps de concentration n'ont visiblement pas servis de leçon aux générations futures. Encore aujourd'hui avec le conflit opposant la Chine au Tibet mise sous les projecteurs lors des Jeux Olympiques de 2008 ou plus proche de nous le génocide tchétchène toujours d'actualité aux yeux et à la barbe des politiques Européens qui ne font rien. Noir, blanc, jaune : quand cela cessera-t-il d'être un critère de sélection, de priorité, de supériorité ? Je suis blanche et parfois j'ai honte pour mes semblables d'être de cette couleur. Je ne me considère pas blanche mais humaine avant tout (et bretonne avant Française). Mais je n'ai jamais eu à subir de ségrégation du fait de ma couleur de peau, alors que puis-je y comprendre me direz-vous ? Peut être pas grand chose. Mais je crois que chacun de nous à subit une quelconque discrimination, minime soit-elle, une fois dans sa vie. Multipliez cela par mille et nous pourrons ne serait-ce qu'entrevoir ce que ces peuples ont pu endurer.
Une autre preuve que ces tristes faits d'actualité n'intéressent pas les masses : l'heure de diffusion de ce film sur la chaîne publique, six ans après sa sortie en salles. Vue l'heure tardive j'ai moi-même hésiter mais je me suis sentie d'une certaine "responsabilité de cinéphile" qui ne vaut pas grand chose en soit si ce n'est de ce coucher moi bête après avoir découvert ce triste pan de l'histoire du Rwanda. Cela me rappel cette citation d'Edmund Burke : La seule chose qui permet au mal de triompher est l’inaction des hommes de bien.
Certains diront que le cinéma a pour unique vocation de divertir (contre rentré pécuniaire bien sûr) et non à des fins politiques. Je nuancerais ce constat en disait qu'il permet d'informer le chalant tout en le divertissant. Et peut être que de cette façon le message sera plus entendu qu'au milieu du marasme visuel que sont les infos télévisuels (entre autre). Le cinéma nous permet néanmoins de découvrir ces hommes et ces femmes qui ont marqué l'histoire du monde en bien ou en mal. Me viennent à l'esprit Harvey Milk interprété par le magnifique Sean Penn dans le film de Gus Van Sant ou encore Anne Guerin interprétée par Cate Blanchett... Ces gens qui ont donné jusqu'à leur vie pour défendre leurs idées et faire ce qu'ils considéraient juste. Une belle leçon d'humanité au milieu de toute cette m****.
Hôtel Rwanda m'a rappelé un autre film traitant d'une autre période noire de l'Afrique : Le dernier roi d'Écosse (qui faisait alors partie de ma "Compil James McAvoy") qui m'avait particulièrement retourné. La cruauté du dictateur de l'Ouganda Idi Amin Dada était rendue palpable par la prestation époustouflante et terrifiante de Forest Whitaker. Cela me fait également penser à un autre film, présent dans une autre de mes compilations (ayant pour sujet principal cette fois l'acteur britannique Hugh Dancy) : Shooting Dogs, qui traite également du conflit rwandais. Le moment est peut être venu de le regarder enfin.
Certains diront que le cinéma a pour unique vocation de divertir (contre rentré pécuniaire bien sûr) et non à des fins politiques. Je nuancerais ce constat en disait qu'il permet d'informer le chalant tout en le divertissant. Et peut être que de cette façon le message sera plus entendu qu'au milieu du marasme visuel que sont les infos télévisuels (entre autre). Le cinéma nous permet néanmoins de découvrir ces hommes et ces femmes qui ont marqué l'histoire du monde en bien ou en mal. Me viennent à l'esprit Harvey Milk interprété par le magnifique Sean Penn dans le film de Gus Van Sant ou encore Anne Guerin interprétée par Cate Blanchett... Ces gens qui ont donné jusqu'à leur vie pour défendre leurs idées et faire ce qu'ils considéraient juste. Une belle leçon d'humanité au milieu de toute cette m****.
Hôtel Rwanda m'a rappelé un autre film traitant d'une autre période noire de l'Afrique : Le dernier roi d'Écosse (qui faisait alors partie de ma "Compil James McAvoy") qui m'avait particulièrement retourné. La cruauté du dictateur de l'Ouganda Idi Amin Dada était rendue palpable par la prestation époustouflante et terrifiante de Forest Whitaker. Cela me fait également penser à un autre film, présent dans une autre de mes compilations (ayant pour sujet principal cette fois l'acteur britannique Hugh Dancy) : Shooting Dogs, qui traite également du conflit rwandais. Le moment est peut être venu de le regarder enfin.
vendredi 26 février 2010
Quote of the Day aka Citation du Jour_n°027
Pour vous mettre dans l'ambiance, appuyez sur Play :
Blood, sweat, and tears, it all stays right here on this field right now!
This is our dirt.
This is our mud.
This is ours, baby.
Clear eyes, full hearts, can't lose!
VF:
Sang, sueur, et larmes, tous se retrouvent sur ce terrain, à cet instant !
C'est notre terre.
Notre boue.
Ça nous appartient.
Des yeux clairs, des cœurs débordant, ne peuvent pas perdre !
Friday Night Lights, épisode 1.20.
Coach Taylor (Kyle Chandler).
Blood, sweat, and tears, it all stays right here on this field right now!
This is our dirt.
This is our mud.
This is ours, baby.
Clear eyes, full hearts, can't lose!
VF:
Sang, sueur, et larmes, tous se retrouvent sur ce terrain, à cet instant !
C'est notre terre.
Notre boue.
Ça nous appartient.
Des yeux clairs, des cœurs débordant, ne peuvent pas perdre !
Friday Night Lights, épisode 1.20.
Coach Taylor (Kyle Chandler).
Cela fait longtemps que je veux vous parler de cette INCROYABLE série dont la quatrième saison vient de s'achever aux USA. Je l'ai découverte mi-janvier, et je suis à deux épisodes d'achever la première saison. Je savais que je n'aurais jamais dû commencer car maintenant impossible de m'arrêter. Cela raconte le quotidien de l'équipe de football américain du lycée de la ville imaginaire de Dillon au Texas : tout un tas de facteurs qui auraient du me faire détester ce show. Et pourtant.... La résumer juste au foot ou à une série pour ados serait réducteur, car elle est tellement plus que cela. C'est comme 40 minutes de cinéma, semaine après semaine : qualité irréprochable des acteurs d'une justesse, profondeur des personnages, qualité de l'image-de la réalisation (caméra à l'épaule façon documentaire)-du cadrage, puissance de la musique en quelques notes. Cette série vous mène dans des directions toujours différentes de ce à quoi vous avez été habitué. FNL m'a appris à aimer le football, à vivre et respecter ce sport et ses joueurs. Je viens d'achever le 1.20 Mud Bowl hurlant/sautant sur ma chaise comme si je me trouvais sur le terrain des Panthers, supportant l'équipe et bordel ce que c'est BON ! Clear eyes, full hearts can't lose!
mercredi 24 février 2010
One of the BEST opening title ever : Watchmen
Après vous avoir parlé récemment de Kick-Ass (ici, ici ou encore là), je continue ma plongée dans le monde des comics avec le film Watchmen, sortie l'année dernière, que je suis en train de découvrir. D'ailleurs il me rappel quelque peu le premier car il relate également l'histoire de héros (à une exception) sans supers pouvoirs. Je n'en suis qu'au générique et je suis pour le moment sous le charme : mélange de séquences, allant des 40's aux 80's) en low-motion présentant les différents personnages avec la chanson de Bob Dylan Times They Are A-Changin' en fond sonore : Superbe. L'intégration des credits fut conçu par l'agence Californienne Yu+Co (déjà "responsable" du générique de Desperate Housewives et de nombreux autres pour le cinéma tel que 300, Il était une fois, Fast and Furious 3, Brokeback Mountain, Mémoires d'une Geisha...). Hélas il n'est plus accessible sur leur site officiel suite à une réclamation du studio. Ce à qui fit d'ailleurs réagir Lauren Indovina sur le site motiongrapher.com : "This title sequence was removed at the request of Warner Bros. I will never understand Hollywood’s approach to free publicity" (Ce générique a été retiré à la demande de la Warner Bros. Je ne comprendrai jamais l’attitude de Hollywood à l’égard de la publicité gratuite). Moi non plus, je ne comprendrai jamais leur façon de "protéger" leurs œuvres en supprimant les vidéos postées (par exemple sur YouTube) par les fans, alors que tout ceci participe à la promotion, sans aucun coûts supplémentaires pour le studio. Attention je ne parle pas de ceux qui postent des films entiers mais juste d'extraits et autres trailers/spots promotionnels...
Mais revenons-en à Watchmen : c'est une adaptation du comics (les puristes préféreront le terme roman graphique aka graphic novel en anglais) du même nom crée par Alan Moore (V pour Vendetta, La ligue des gentlemen extraordinaires...) et composé de 12 numéros publiés par DC Comics (Superman, Batman...) de septembre 1986 à octobre 1987, et considéré par beaucoup comme un chef-d'œuvre inadaptable.
Bon, le visionnage de la version Ultimate Cut risque de me prendre un certain temps vue sa durée exceptionnelle de 3h25min... Rien a voir avec la version ciné de 2h43 (et 2h35 en France) ou la Director's Cut (avec des scènes supplémentaires ou étendues) de 3h06. L'Ultimate est composée de la Director's Cut auquel on été ajouté les plans dessinés des Contes du Vaisseau noir (vendu séparément en France). Car, hélas, ces deux versions étendues ne sont pas disponibles en France (à cause d'une guerre des droits entre les studios. Cela me rappel les péripéties liées à la sortie française de la Director's Cut de Zodiac) bien que la version américaine de 3h06 soit proposée en langue et sous-titres français.
Pour la critique du film, see you soon. En attendant voici le générique :
Synopsis (Wikipedia) : L'action se déroule en 1985 dans une Amérique alternative (uchronie), dans laquelle des héros costumés et un surhomme, le Dr Manhattan, ont modifié l'histoire. Les États-Unis ont gagné la guerre du Viêt Nam et Richard Nixon en est à son cinquième mandat, mais les héros costumés sont à présent illégaux. Ils ont tous rangé les masques sauf deux : le brutal et cynique Comédien (Jeffrey Dean Morgan aka Denny Duquette dans Grey's Anatomy), qui travaille à présent pour le gouvernement, et le paranoïaque et incontrôlable Rorschach qui est recherché par la police. Lorsque Blake, alias le Comédien, est défenestré après un violent combat dans son appartement, Rorschach (Jackie Earle Haley) mène l'enquête pour découvrir qui l'a tué. Tandis que le monde se dirige vers une confrontation nucléaire, les Watchmen sont menacés par un certain « tueur de masques ».
BONUS :
Le site 6minutestomidnight.com repousse les limites de la communication virale d'un film et vous permet d'expérimenter 10 minutes de la bande annonce, "6 minutes avant minuit", de façon totalement interactive en commençant tout d'abord par entrer votre prénom puis vous n'avez plus qu'à vous laisser guider par le narrateur (Rorschach). Si vous êtes sur le sol ricain, vous pouvez même rentrer votre numéro de téléphone et ainsi augmenter l'interactivité, comme si vous y étiez.
Quelque mois plus tard, Avatar a également choisi ce moyen de communication viral. Sauf que cette fois vous n'allez plus sur un site mais téléchargez une petite application Avatar Desktop App puis vous reviviez la bande annonce entrecoupée d'interviews et de mini-making-of dans une présentation très épurée, à l'image des outils informatiques du film.
C'est bien connu, tout grand phénomène a le droit à sa parodie dans le dessin animés des Simpsons.
Mais revenons-en à Watchmen : c'est une adaptation du comics (les puristes préféreront le terme roman graphique aka graphic novel en anglais) du même nom crée par Alan Moore (V pour Vendetta, La ligue des gentlemen extraordinaires...) et composé de 12 numéros publiés par DC Comics (Superman, Batman...) de septembre 1986 à octobre 1987, et considéré par beaucoup comme un chef-d'œuvre inadaptable.
Bon, le visionnage de la version Ultimate Cut risque de me prendre un certain temps vue sa durée exceptionnelle de 3h25min... Rien a voir avec la version ciné de 2h43 (et 2h35 en France) ou la Director's Cut (avec des scènes supplémentaires ou étendues) de 3h06. L'Ultimate est composée de la Director's Cut auquel on été ajouté les plans dessinés des Contes du Vaisseau noir (vendu séparément en France). Car, hélas, ces deux versions étendues ne sont pas disponibles en France (à cause d'une guerre des droits entre les studios. Cela me rappel les péripéties liées à la sortie française de la Director's Cut de Zodiac) bien que la version américaine de 3h06 soit proposée en langue et sous-titres français.
Pour la critique du film, see you soon. En attendant voici le générique :
Synopsis (Wikipedia) : L'action se déroule en 1985 dans une Amérique alternative (uchronie), dans laquelle des héros costumés et un surhomme, le Dr Manhattan, ont modifié l'histoire. Les États-Unis ont gagné la guerre du Viêt Nam et Richard Nixon en est à son cinquième mandat, mais les héros costumés sont à présent illégaux. Ils ont tous rangé les masques sauf deux : le brutal et cynique Comédien (Jeffrey Dean Morgan aka Denny Duquette dans Grey's Anatomy), qui travaille à présent pour le gouvernement, et le paranoïaque et incontrôlable Rorschach qui est recherché par la police. Lorsque Blake, alias le Comédien, est défenestré après un violent combat dans son appartement, Rorschach (Jackie Earle Haley) mène l'enquête pour découvrir qui l'a tué. Tandis que le monde se dirige vers une confrontation nucléaire, les Watchmen sont menacés par un certain « tueur de masques ».
BONUS :
Le site 6minutestomidnight.com repousse les limites de la communication virale d'un film et vous permet d'expérimenter 10 minutes de la bande annonce, "6 minutes avant minuit", de façon totalement interactive en commençant tout d'abord par entrer votre prénom puis vous n'avez plus qu'à vous laisser guider par le narrateur (Rorschach). Si vous êtes sur le sol ricain, vous pouvez même rentrer votre numéro de téléphone et ainsi augmenter l'interactivité, comme si vous y étiez.
Plus que 6 minutes avant minuit...
Telle une séance chez le psy, essayez d'analyser ces tâches d'encres
et y détecter le symbole de chacun de chacun des Watchmen.
et y détecter le symbole de chacun de chacun des Watchmen.
Si (comme moi) vous n'arrivez pas à retrouver tous les symboles,
vous trouverez les solutions sur le site Yahoo Answers grâce à M Shu.
Elle vous propose même des exemples de mauvaises réponses
pour voir les réactions de Rorschach.
vous trouverez les solutions sur le site Yahoo Answers grâce à M Shu.
Elle vous propose même des exemples de mauvaises réponses
pour voir les réactions de Rorschach.
Quelque mois plus tard, Avatar a également choisi ce moyen de communication viral. Sauf que cette fois vous n'allez plus sur un site mais téléchargez une petite application Avatar Desktop App puis vous reviviez la bande annonce entrecoupée d'interviews et de mini-making-of dans une présentation très épurée, à l'image des outils informatiques du film.
C'est bien connu, tout grand phénomène a le droit à sa parodie dans le dessin animés des Simpsons.
Avec un petit clin d'œil également à V pour Vendetta, ci-dessous.
Ou encore une création de Dean, du blog springfieldpunx, où il a l'habitude de parodier tous les grands phénomènes de notre culture qui ne l'ont pas encore été par les créateurs de la série.
mardi 23 février 2010
L'île aux fleurs aka Ilha das flores
Après avoir ressortie des placards hier l'extrait d'un discours d'une jeune canadienne de 12 ans, lors du Sommet de la terre en 1992 sur l'importance de protéger notre planète, voici cette fois un mini-documentaire brésilien que ma sœur m'avait fait découvrir l'année dernière : Ilha das flores.
Réalisé par Jorge Furtado, il dure une d'une dizaine de minutes et date de 1989. Ce court film retrace la vie d'une tomate. C'est édifiant, d'autant quand l'on pense que 21 ans plus tard, c'est encore pire. Le montage est vraiment brillant, sans temps mort, et sert pleinement le sujet abordé.
Réalisé par Jorge Furtado, il dure une d'une dizaine de minutes et date de 1989. Ce court film retrace la vie d'une tomate. C'est édifiant, d'autant quand l'on pense que 21 ans plus tard, c'est encore pire. Le montage est vraiment brillant, sans temps mort, et sert pleinement le sujet abordé.
Ile aux fleurs
envoyé par painteau. - Découvrez plus de vidéos créatives.
Je profite également de ce poste pour remercier mes lecteurs fidèles et nouveaux membres de mon blog. Car je viens de réaliser que le nombre longtemps resté à 2 (Laure et Carole), est passé à 3 (merci à la mexicaine lore-nota23) depuis le 21 février, puis à 4 aujourd'hui (merci Emilie). Alors merci à vous, honorables membres !
lundi 22 février 2010
Le Prestige by Christopher Nolan - My Review
Je viens de découvrir ce soir sur France 4 le film réalisé par Christopher Nolan entre les deux Batman, avec justement l'interprète de ce dernier le génialissime Christian Bale (Alfred Borden aka Professeur) et face à lui Hugh Jackman (Robert Angier aka Le Grand Danton) dans les rôles de deux magiciens qui se voueront une rivalité sans bornes, rivalité qui débute à la suite de l'accident mortel de la femme d'Angier, et qui se manifeste principalement autour d'un tour de magie nommé «l'homme transporté» que les deux hommes se disputent. L'histoire prends place dans l'Angleterre de la fin du XIXe siècle.
Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'à l'image d'un tour de magie ce film et ses interprètes vous mènent en bourrique durant toute l'histoire et vous adorez ça. Comme il nous est expliqué au terme de l'histoire un tour de magie se compose de trois étapes :
Le prestige a donc bien fait son effet, magique, sur ma petite personne. Christian Bale était superbe comme à son accoutumé. Mais je ne peux être totalement objective vue que je l'adore. Hugh Jackman m'a surpris par son jeu, très intéressant et... surprenant. Il donne bien le change à Bale. Scarlett Johansson m'était presque tolérable et enfin Michael Caine irrésistible, comme toujours.
Cela faisait longtemps que j'avais planifié de voir ce film qui faisait partie de la longue liste à voir de ma dvdtèque en générale et de la compil Christian Bale en particulier. Ce qui me rappel qu'il faut également que je revois American Psycho et découvre The Machinist et I'm Not There, tout un programme. Par certains aspects, Le prestige m'a rappelé 3.10 to Yuma (GÉNIAL) où Bale fait face à Russel Crowe au milieu du Fare West.
Grâce à France 4, je peux enfin en rayer un de ma liste et finalement je regrette de ne pas l'avoir découvert plus tôt. Car je ne m'attendais pas à ça. J'ai été surprise et j'ai adoré ça. Je me suis prise de passion pour les personnages et l'intrigue. Cherchant comme les deux héros à comprendre le truc du tour de l'autre. Sans succès jusqu'au final rempli de surprises que l'on n'avait, pour la plupart, pas vue venir. Merci Mister Nolan pour m'avoir donné encore un grand moment de cinéma. En même temps, je reconnais bien là le génie qui a écrit (comme toujours en duo avec Jonathan, son frère) et réalisé The Dark Knight. Cela promet pour son prochain film avec, entre autre, Leonardo DiCaprio : Inception... En tous les cas, moi j'achète.
Cela faisait longtemps qu'une histoire ne m'avait pas autant captivée et surprise à la fois. Vous connaissez ce sentiment quand vous allez voir un film sans rien en attendre de particulier ou au contraire s'attendre à quelque chose de spécifique... et que c'est alors une toute autre histoire/façon de raconter qui se déroule sous vos yeux. Et bien ici, c'était cela. Et alors que le final est sensé nous révéler tous les trucs, il ne faut pas oublier que si le film est un grand tour de magie de plus de deux heures, alors rien de tout ceci n'est vrai car après tout there is no such things as magic! Certains ont tenté d'aborder l'ensemble d'un point de vue plus cartésien sur le Wikipedia du film. C'est intéressant et cela apporte une nouvelle perspective à la fin de l'histoire.
Au gré de mes recherches sur la toile, j'ai découvert ces trois superbes affiches qui sont, à l'image du film, vraiment déroutantes. Une fois agrandie, les visages sont plus difficiles à discerner.
Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'à l'image d'un tour de magie ce film et ses interprètes vous mènent en bourrique durant toute l'histoire et vous adorez ça. Comme il nous est expliqué au terme de l'histoire un tour de magie se compose de trois étapes :
- La première, se nomme la «promesse». Le magicien montre au public quelque chose qui semble ordinaire, mais ne l'est pas.
- La seconde consiste en l'exécution, le «tour», où le magicien rend l'acte ordinaire extraordinaire.
- Le «prestige» est l'étape finale de l'illusion. C'est la partie du tour de magie où l'imprévu se produit.
entourés des éléments clés formant leur tour.
Le prestige a donc bien fait son effet, magique, sur ma petite personne. Christian Bale était superbe comme à son accoutumé. Mais je ne peux être totalement objective vue que je l'adore. Hugh Jackman m'a surpris par son jeu, très intéressant et... surprenant. Il donne bien le change à Bale. Scarlett Johansson m'était presque tolérable et enfin Michael Caine irrésistible, comme toujours.
Cela faisait longtemps que j'avais planifié de voir ce film qui faisait partie de la longue liste à voir de ma dvdtèque en générale et de la compil Christian Bale en particulier. Ce qui me rappel qu'il faut également que je revois American Psycho et découvre The Machinist et I'm Not There, tout un programme. Par certains aspects, Le prestige m'a rappelé 3.10 to Yuma (GÉNIAL) où Bale fait face à Russel Crowe au milieu du Fare West.
Grâce à France 4, je peux enfin en rayer un de ma liste et finalement je regrette de ne pas l'avoir découvert plus tôt. Car je ne m'attendais pas à ça. J'ai été surprise et j'ai adoré ça. Je me suis prise de passion pour les personnages et l'intrigue. Cherchant comme les deux héros à comprendre le truc du tour de l'autre. Sans succès jusqu'au final rempli de surprises que l'on n'avait, pour la plupart, pas vue venir. Merci Mister Nolan pour m'avoir donné encore un grand moment de cinéma. En même temps, je reconnais bien là le génie qui a écrit (comme toujours en duo avec Jonathan, son frère) et réalisé The Dark Knight. Cela promet pour son prochain film avec, entre autre, Leonardo DiCaprio : Inception... En tous les cas, moi j'achète.
Cela faisait longtemps qu'une histoire ne m'avait pas autant captivée et surprise à la fois. Vous connaissez ce sentiment quand vous allez voir un film sans rien en attendre de particulier ou au contraire s'attendre à quelque chose de spécifique... et que c'est alors une toute autre histoire/façon de raconter qui se déroule sous vos yeux. Et bien ici, c'était cela. Et alors que le final est sensé nous révéler tous les trucs, il ne faut pas oublier que si le film est un grand tour de magie de plus de deux heures, alors rien de tout ceci n'est vrai car après tout there is no such things as magic! Certains ont tenté d'aborder l'ensemble d'un point de vue plus cartésien sur le Wikipedia du film. C'est intéressant et cela apporte une nouvelle perspective à la fin de l'histoire.
Au gré de mes recherches sur la toile, j'ai découvert ces trois superbes affiches qui sont, à l'image du film, vraiment déroutantes. Une fois agrandie, les visages sont plus difficiles à discerner.
Quote of the Day aka Citation du Jour_n°026
Discours donné par Severn Suzuki, une jeune canadienne alors âgée de 12 ans, lors du Sommet de la terre (United Nations Conference on Environment and Development) de Rio De Janeiro qui eu lieu du 3 au 14 juin 1992. Elle y fit un discours en temps que porte parole d'E.C.O. (Environmental Childrens Organization/Organisation des enfants pour la défense de l'Environnement) lors d'une session plénière.
Elle fût chaudement acclamée par le public de politiques présents
même si on peu lire sur leurs visages : "t'es mignonne petite mais ton joli discours
ne changera rien". Et c'est vrai, 18 ans plus tard, c'est pire.
même si on peu lire sur leurs visages : "t'es mignonne petite mais ton joli discours
ne changera rien". Et c'est vrai, 18 ans plus tard, c'est pire.
J'ai découvert un extrait de ce discours en regardant l'émission Infrarouge sur France 2, diffusé le 10 décembre 2009. Le sujet traité était : Écologie, ces catastrophes qui changèrent le monde.
Voici la retranscription de l'extrait diffusé dans Infrarouge :
...
Je suis là devant vous parce que je me bas pour mon avenir. Avoir son avenir détruit, ne n'est pas comme perdre une élection ou quelques points à la bourse. Je suis là pour parler au nom des générations à venir.
... Sommes-nous même toujours sur votre liste de priorités ? Mon père répète : "Tu es ce que tu fais, non pas ce que tu dis." Et bien, ce que vous faîtes me fait pleurer la nuit. Vous venez nous dire que vous nous aimez mais je vous défis de mettre vos actions en conformité avec vos paroles. Merci.
Hélas, force est de constater que peu de choses ont changées depuis 1992. Certaines ont même empirées. Il faut croire que le personnes présentes lors de ce sommet arrivent à dormir avec leur conscience. Moi, je n'ai pu m'empêcher de ressentir de la gêne et du dégoût pour nos choix "citoyens", et une envie de faire bouger/changer les choses. Comme dit son père, c'est par nos actes que nous sommes jugés et non par nos vaines paroles.
Et pour voir l'intégralité de ce discours, check this out :
Voici la retranscription de l'extrait diffusé dans Infrarouge :
...
Je suis là devant vous parce que je me bas pour mon avenir. Avoir son avenir détruit, ne n'est pas comme perdre une élection ou quelques points à la bourse. Je suis là pour parler au nom des générations à venir.
... Sommes-nous même toujours sur votre liste de priorités ? Mon père répète : "Tu es ce que tu fais, non pas ce que tu dis." Et bien, ce que vous faîtes me fait pleurer la nuit. Vous venez nous dire que vous nous aimez mais je vous défis de mettre vos actions en conformité avec vos paroles. Merci.
Hélas, force est de constater que peu de choses ont changées depuis 1992. Certaines ont même empirées. Il faut croire que le personnes présentes lors de ce sommet arrivent à dormir avec leur conscience. Moi, je n'ai pu m'empêcher de ressentir de la gêne et du dégoût pour nos choix "citoyens", et une envie de faire bouger/changer les choses. Comme dit son père, c'est par nos actes que nous sommes jugés et non par nos vaines paroles.
Et pour voir l'intégralité de ce discours, check this out :
dimanche 21 février 2010
Quote of the Day aka Citation du Jour_n°025
Le dernier post où j'aborde les raisons du pourquoi du comment de la peinture qui ornait le haut de la page de mon blog durant sa première année d'existence m'a rappelé deux citations.
Le temps panse les plaies, les cicatrices les font perdurer...
Je l'ai récupéré aux détours d'un forum sur le net, signé SYRIA : SYstème Robotisé Invisible©... Bizarre, vous avez dit bizarre... Cela me semble quelque peu inspiré de l'écrit de l'auteur américaine Rose Kennedy.
On dit que le temps guérit les blessures.
Je ne suis pas d'accord.
Les blessures restent.
Avec le temps, l'esprit, pour se préserver,
les recouvre de cicatrices et la douleur diminue,
mais elles ne partent jamais.
Nouvel aspect visuel du Blog
Si vous êtes un lecteur fidèle de mon blog, vous avez alors constaté que quelque "minuscules" changements ce sont opérés depuis hier. En effet la couleur noire du fond a fait place à un blanc d'une luminosité immaculée qui fatigue moins les yeux et améliore la lisibilité des messages. J'ai également changé la couleur du texte (titres, messages) et modifié le bouton share à la fin de chacun des posts. Quant à ma peinture qui apparaissait en en-tête de mon blog a fait place à une de mes créations graphiques (made in Illustrator) qui s'inspire de l'univers graphique de ma carte de visite et de mon book. Je pense que je vais le retouché encore ces prochains jours, alors ne vous étonnez pas s'il évolue "mystérieusement"...
C'est l'occasion de parler un peu de la peinture qui fût l'illustration de mon blog pendant un an. Certains pourront la trouver quelques peu dramatique au vue de ses couleurs sombres et des différents mots que j'ai apposé. En effet, je l'ai réalisé durant une période de ma vie difficile où je n'étais plus maître de mon corps. Suite à une méchante fracture au tibia, je me suis retrouvé en fauteuil roulant et en centre de ré-éducation pendant plusieurs mois. J'ai ressenti alors le besoin de sortir tout ça sur une toile : toute cette colère, cette douleur (l'arrière plan est composé d'emballages de médicaments), cet abandon, cette souffrance et cette insupportable sensation de ne plus rien contrôler pas même son propre corps qui conduit à une perte de dignité dans certaines situations. Il faut l'avoir vécu pour comprendre. Cependant, il y a la lumière au bout du tunnel : l'espoir. C'est ce que j'ai voulu représenté avec les hope et Faith sur la toile.
Je ne suis pas une "artiste" illustratif (à part pour représenter ma personne ou mes proches ou un mix de tout ça). J'adore la typographie, l'art de la lettre/de la mise en page. J'ai passé pour ce travail pas mal de temps à choisir les mots puis les différentes typos sur mon fidèle Suitcase (logiciel de gestion de typos) et enfin à les retranscrire sur la toile. Ce fût thérapeutique. Cela me rappel que je ne peins pas assez. Jeter vos états d'âme sur la toile au moyen de peinture, vernis et autres matières premières fait un bien fou. Tout comme le travail fait à l'ordinateur comme le nouvel en-tête de site.
Impressions ? Commentaires sur ce nouveau look ? N'hésitez pas à me faire partager votre opinion sur mon blog 2.0.
samedi 20 février 2010
GET READY to KICK ASS: l'Angleterre se met à l'heure du film de bottage de culs
Hier était dévoilé de nouvelles affiches, pour le marché anglais, concernant le film de non super-héros Kick Ass dont une que je vous avais déjà présenté justement dans mon dernier article à ce sujet. En effet les petits veinards de british auront la possibilité de le découvrir avant tout le monde le 26 mars prochain.
Et ce qui semblera être l'affiche principale avec (comme pour la version 4x3 de mon article précédent) la note donnée par le magazine EMPIRE : ***** Brillant. Thrilling. Deliriously Entertaining, qui donne encore plus envie de le voir !
D'ailleurs le magazine adore tellement le film qu'il contribue à sa promotion en sortant l'édition de mars aux couleurs de Kick-Ass sous forme de triptyque dé-pliable.
Et même une version spéciale pour les abonnés, 100% Asses Kick, sans aucun texte secondaire. Ça a un petit côté du Joker de The Dark Knight. I LOVE IT!
Ils dévoilent également sur leur site officiel un envers du décors (sans bips sur les gros mots, j'adore les anglais) lors du tournage. Fucking awesome!