jeudi 27 janvier 2011

Les Évadés (The Shawshank Redemption) - My Review


Synopsis (AlloCiné) : En 1947, Andy Dufresne, un jeune banquier, est condamné à la prison à vie pour le meurtre de sa femme et de son amant. Ayant beau clamer son innocence, il est emprisonné à Shawshank, le pénitencier le plus sévère de l'Etat du Maine. Il y fait la rencontre de Red, un Noir désabusé, détenu depuis vingt ans. Commence alors une grande histoire d'amitié entre les deux hommes...
C'est l'adaptation cinématographique d'une nouvelle de Stephen King intitulée Rita Hayworth et la rédemption de Shawshank parut en 1982 dans le recueil Différentes saisons.


À chaque rediffusion de ce film (généralement sur M6), je suis toujours au rendez-vous. Je ne m'en lasse jamais. Là encore, en revoyant les premières images, j'ai la larme à l'œil. Cette histoire magnifique et ses personnages, me prennent aux tripes à chaque fois. Et pourtant, il date déjà de 1994 mais c'est comme les bons vins, cela se bonifie en vieillissant.
Le duo d'acteur Tim Robbins et Morgan Freeman est au diapason, d'une justesse folle du début à la fin. Un magnifique plaidoyer sur l'importance de l'amitié.
Pour moi c'est l'un des meilleurs films carcérales qui m'est été donné de voir, avec la première saison de Prison Break, mais la magie et la poésie en plus.
Vous ne regarderez plus jamais un poster de Rita Hayworth de la même façon.


Au début du film, on ne donne pas cher d'Andy Dufresne, à l'image de ceux qui deviendront au fil des années ses amis. Et au file de l'histoire, il sait nous surprendre, justement parce qu'il n'a rien de commun avec les autres. Il sait utiliser ses qualités à bon escient pour tirer partie du système, pour lui et ses collègues d'infortune. Allant jusqu'à retourner tout le système sans dessus dessous avec en prime, un passage par la case sortie de prison tout simplement magistral. Car surtout, le héros veille à ne jamais, JAMAIS perdre espoir. Une belle leçon de vie que l'on ne croirait pas possible en regardant un film prenant place dans une prison. Et pourtant, c'était sans compter sur le brillant réalisateur Frank Darabont, qui depuis est à l'origine de la toute nouvelle série The Walking Dead. C'est d'ailleurs la principale raison pour laquelle je me suis intéressé à cette série.

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