vendredi 26 novembre 2010

Harry Potter and the Deathly Hallows, part 1 - My Review : Meilleur que le livre


Synopsis (Première) : La fin de l'aventure approche pour Harry Potter... Accompagné de Hermione Granger et Ron Weasley, le célèbre sorcier doit défendre sa vie et bien plus face à son plus grand ennemi : Lord Voldemort. La première partie commence avec la périlleuse mission menée par Harry, Ron et Hermione pour retrouver et détruire le secret de l’immortalité et du pouvoir destructeur de Voldemort : les Horcruxes. Seuls, sans les conseils de leurs professeurs ni la protection du professeur Dumbledore, les trois amis doivent plus que jamais compter les uns sur les autres. Mais des forces obscures s’immiscent entre eux pour les diviser.

WHOUAH. Décidément je m'estime vraiment chanceuse de tous les films que j'ai pu voir dernièrement au cinéma. Payer sa place pour de véritables merveilles est un pure bonheur. Après le plaisir jouissif ressenti devant The Town, puis l'excitation à tendance nerd la semaine suivante devant The Social Network, voici que j'ai pu découvrir ce mercredi (jour de sa sortie, pour une fois) le début de la fin de la GRANDE saga Potterienne, en VOST lors de mon dernier passage sur la capitale. J'aurais pu voir deux films dans le cinéma près de chez moi pour le prix que j'ai payé à l'UGC Les Halles mais sérieusement c'était le meilleur investissement que je pouvais faire de 10.50€. D'ailleurs je compte bien retourner voir le film, cette fois en VF, dans mon petit ciné habituel. Mais tout d'abord place à la critique, qui promet d'être longue.


Dès le début, on sent qui rien ne sera plus comme avant. Et pour cause, nous ne découvrons pas uniquement Harry vivant ses derniers instants chez les Dursley mais également Ron dans le nouveau Terrier et Hermione qui quitte sa charmante banlieue moldue après avoir pris soin d'effacer la mémoire de ses parents. L'actrice est magnifique, à l'image de sa prestation tout au long du film où elle laisse pleinement éclater son talent. En parallèle nous assistons au discours du Ministre de la Magie en place Rufus Scrimgeour (Bill Nighy). Nous découvrons également le conseil des Mangemorts qui prend place dans le manoir des Malefoy qui sera le théâtre de multiples rebondissements. Toute cette scène pesante, vous glace le sang à mesure que vous suivez la progression de Naguini, le précieux animal de compagnie de Lord Voldemort.


S'en suit une scène très drôle avec la prise de polynectar par plusieurs membres de l'Ordre du Phœnix, tous à l'image d'Harry. Ce qui nous donne le droit à différentes versions de HP, plus ou moins efféminé et à un effeuillage de Daniel Radcliffe à répétition. Puis s'en suit l'escapade à travers le monde des moldus des plus épiques et non sans pertes du côté Team Potter.
C'est cela la magie de ce film, réussir à allier des moments dramatiques avec des moments comiques parfois même en plein milieu du drame. Merci aux Weasley pour ses moments salvateurs et principalement Ron (mon personnage préféré) qui sait détendre l'atmosphère au détour d'une remarque. Ce savant dosage effectué par le scénariste Steve Kloves qui a su garder le meilleur de la première partie du livre, reprenant même certains passages mots pour mots, apporte une dynamique tout le long. Résultat, contrairement à la version papier, on ne s'ennuie pas un seul instant. Les fans pure et dure seront plus que ravis. Normal, ce HP7 part1 est le plus fidèle, privilège de disposer d'une heure trente pour développer les 2/3 du livre. Quand on sait que la deuxième partie n'est qu'une succession d'action et de moments d'émotion à leur paroxysme, je peux d'ores et déjà dire que je me (pardonnez-moi l'expression) ferais très certainement pipi dessus.


Pour en revenir au fil de l'histoire, alors que la famille Weasley est en plein préparatifs pour le mariage de Bill et Fleur, nous avons droit à un charmant moment rempli d'émotion, de tendresse, d'amour en forme d'adieu pour le couple Harry-Ginny. D'ailleurs je profite de ce moment pour dire combien Bonnie Wright, l'interprète de notre Ginny, a bien grandie et combien elle est magnifique. Elle dégage une grâce évanescente et une beauté indéniable. À l'image d'Harry, son entré dans sa robe de soirée m'a éblouie.


S'en suit le mariage aux couleurs mauves et autres teintes bleutés féeriques, à l'image de la robe de la mariée, conçue par la costumière de la saga Jany Temime et qui représente deux phoenix se faisant face et formant un cœur. Mais cette création n'est pas s'en rappeler une robe de de la collection 2008 Alexander McQueen.


Mais les moments de bonheur ne durent jamais bien longtemps dans la vie d'Harry Potter. Le trio prend donc la fuite et se lance à la recherche des Horcruxes. Tout d'abord, un cours passage par la case 12, square Grimmaurd s'impose, le temps de revoir avec plaisir notre elf préféré Dobby (et d'admirer au passage l'évolution des effets spéciaux depuis le deuxième film), mais aussi d'assister à une leçon de piano dispensée par Hermione à Ron.


Un joli moment entre ces deux-là, début d'une longue liste distillée toute au long du film. La fan du couple que je suis était ravie. Les deux acteurs jouent au diapason et c'est adorable à voir, surtout quand il s'agit de personnages que vous suivez depuis presque une décennie.


S'en suit un GRAND Moment, à savoir le trio qui pénètre dans le Ministre de la Magie, alors aux mains de Voldemort, pour trouver Ombrage et surtout le médaillon en sa possession qui s'avère être l'Horcruxe qui coûta la vie à Dumbledore dans le précédent opus. Tout dans ces scènes se déroulant au Ministère sont absolument excellentes : de la réalisation en passant par le jeu des acteurs, et la qualité des dialogues. Les trois acteurs Mafalda Hopkirk (Sophie Thompson), Steffan Rhodri (Reg Cattermole) et David O'Hara (Albert Runcorn) qui jouent respectivement les Hermione, Ron et Harry sous polynectar sont tout simplement excellents. Le trio est rocambolesque au possible. La démarche d'Hopkirk et O'Hara sont monumentales et raisons de moultes fou-rires. Ce passage est un savant mélange (à l'image du film) d'humour et de moments terrifiants.


Puis est arrivé le moment que je redoutais le plus : le départ de Ron. J'adore ce personnage et ce depuis le tout premier film. La prestation de Rupert Grint m'avait alors impressionnée, surtout pour un gamin de 10 ans. À l'image d'Aragorn qui avait marqué mon esprit dans La Communauté de l'anneau. Ici devant le septième film, j'ai de nouveau retrouvé ce plaisir de voir cet acteur s'éclater avec son personnage, et nous par la même occasion. Quand j'ai découvert un extrait de cette fameuse scène où, sous l'emprise de l'Horcruxe à son cou, il dit ses quatre vérités à Harry : autant dire qu'il m'a foutu des frisons ce cher Rupert tellement son jeu était habité. Bon je ne suis peut être pas assez objective parce que j'adore ce personnage, mais également l'acteur (dont je continuerais de suivre la future carrière cinématographique), cependant je considère qu'avec Emma Watson il rayonne dans cet avant dernier film de par son talent et son charisme (sans oublier son humour).



Après son départ, Hermione est inconsolable, généralement en pleurs, restant muette, perdue dans ses pensées en écoutant la radio de Ron. Ce qui nous donne le droit à une jolie scène inventée où Harry essaye de lui changer les idées en dansant, sous fond de O'Children de Nick Cave & The Bad Seeds. Pour l'occasion, David Yates à choisie exceptionnellement une chanson existante. Choix judicieux tellement elle épouse à merveille la scène et les sentiments des personnages. O'Children reste encré en vous, longtemps après le visionnage. Superbe.


C'est donc le duo Harry/Hermione qui part à la découvert du village de Godric's Hollow qui a vue naître, entre autre, le tristement célèbre Potter. Là encore source d'émotion et d'action avec un brin de terreur encore due au diabolique serpent Nagini qui a la fâcheuse habitude de foncer à gueule déployée face caméra, pour le plus grand malheur de nos nerfs. Le face à face entre Harry et Bathilda Bagshot (Hazel Douglas) est tout aussi terrifiant, tout comme la découverte de la maison (et ses secrets) de cette dernière par Hermione. Beurk. La photographie est encore une fois superbe, tout comme l'atmosphère musical.


Après avoir donc réchappé de justesse au serpent et à son maître, voici qu'un Patronus d'une biche guide Harry vers l'épée de Gryffindor laissée par un mystérieux bienfaiteur au fond d'une mare glacée. Cet événement sonne également le retour de notre cher Ronald qui sauve Harry et détruit le premier Horcruxe par la même occasion. Mais le plus dure reste à faire pour lui : retrouver les faveurs d'Hermione, ce qui est pour le moins épique, à l'image de leur couple.


Avec cette nouvelle avancée, Hermione souhaite partir à la rencontre de Monsieur Xenophilius Lovegood (Rhys Ifans, le crazy Spike dans Coup de foudre à Notting Hill, c'est lui) pour en savoir plus sur le symbole qu'il arborait en pendentif au mariage, et qui est inscrit dans le livre des Contes de Beedle the Bard, légué par Dumbledore à la demoiselle. Encore une fois, Ron apporte son brin d'humour habituel, notamment quand il décide de voter à la majorité pour aller chez Mr. Lovegood, en se rangeant évidemment tout de suite du côté d'Hermione (qui le voit venir à trois kilomètres). Durant leur visite, Xenophilius leur parle du Conte des trois frères. Un autre moment comique lorsque Hermione commence à lire l'histoire "There were once three brothers who were travelling along a lonely, winding road attwilight (crépuscule)...", et est interrompue par Ron qui préfère que l'on situe l'histoire à "midnight", comme sa mère avait l'habitude de faire (photo en haut au centre, dans l'encadré ci-dessus). Je n'ai pu m'empêcher de relever la petite pique à cette autre saga, souvent comparée à HP, Twilight (qui fait définitivement pâle figure face à celle du sorcier, encore plus avec ce film). Je pensais alors que c'était une volonté du scénariste, mais après vérification, c'était déjà présent dans le roman. Donc est-ce un jeu de mot volontaire, ou non, de l'auteur ? That is the question. En tous les cas, c'est savoureux.


D'ailleurs tout ce passage de trois minutes est absolument somptueux. Il fut conçue par Ben Hibon, qui le produisit en association avec Framestore. Il crée une sorte de parenthèse, dans la grande histoire, et pendant ces quelques minutes vous êtes transporté dans un autre monde graphiquement superbe.


S'en suit une arrivée fracassante des Mangemorts dont les héros réussissent de nouveaux à en réchapper de justesse, pour finalement se faire prendre par des Snatchers qui les conduisent tout droit vers le Manoir des Malefoy où ils seront séquestrés (aux côtés de Luna et du fabriquant de baguettes Olivander) et Hermione torturée par la diabolique Bellatrix Lestrange. Heureusement Dobby veille au grain. Il est d'ailleurs magistral, lançant des sorts à l'encontre de ses anciens maîtres qui n'ont décidément plus la grandeur d'entant (les Malefoy font vraiment pitié à voir) et on profite de cet instant de gloire d'autant plus car il sera fugace. La chute n'en ai que plus douloureuse et amorce la fin de la première partie.


Surtout quand on découvre, horrifié, que Voldemort entre en possession de l'Elder Wand, la soi-disante plus puisante des trois Deathly Hallows (Reliques de la mort).

THE END... of the first part.

CONCLUSION : Si vous n'avez pas encore vue ce film, courez-y. C'est une merveille. Vous ne verrez pas les 2h30 passer, tant vous serez accrochez à votre siège à vivre avec le trio cette cavale à travers l'Angleterre dans le but de détruire ces fameux Horcruxes. Le fait que l'histoire soit centrée sur ces trois personnages nous permet de les découvrir pleinement, en particulier les deux fidèles seconds de Harry Potter qui sont à l'apogée de leur jeu d'acteur, connaissant leur personnage sur le bout des doigts. Même Daniel Radcliffe joue bien. Les paysages sont aussi gigantesques que magnifiques. Le côté quête n'est pas s'en faire penser à celle du Seigneur des Anneaux. Le réalisateur David Yates a réussi le pari fou de rendre la partie la plus ennuyeuse du 7ème livre absolument passionnante de bout en bout. Certains défauts mineurs subsistes mais les qualités sont telles qu'ils sont vite oubliés.
Tout au long du film, vous êtes partagé entre rire et larmes. La nostalgie vous gagne. Revoir tous ces personnages. En perdre certains, tout en sachant qu'ils ne sont que les premiers d'une longue liste. Enfin, l
a bande originale composée par Alexandre Desplat est somptueuse et sert à merveille l'intrigue en accentuant les émotions des personnages, et du spectateur par la même occasion. L'une des meilleures adaptations de la saga, avec le troisième film, qui reste mon préféré. La seule tragédie de ce film est qu'il faille attendre moins de huit mois pour voir la suite et fin (snif) de cette épique saga. L'attente va être longue.


CRITIQUE DE HARRY POTTER
AND THE DEATHLY HALLOWS, PART 2 ICI.

8 commentaires:

  1. J’avoue être moins enthousiaste que toi. Toujours un plaisir de lire tes critiques avec ce regard de la graphiste très frais au passage. Je dois dire que Yates s’est amélioré, car les 2 précédents films étaient des modèles de non narration et m’avaient davantage fait penser à des téléfilms à gros budget. Ici l’ensemble tient nettement plus la route. J’ai même trouvé les trois premiers quart d’heure excellent, et je partage ton engouement pour la scène dans le ministère de la magie, qui bénéficie d’une pure ambiance de film noir. J’ai eu beaucoup plus de mal avec le reste du film malheureusement. C’est d’ailleurs plus dû à l’histoire en elle-même qu’au film. Contrairement à toi, j’ai trouvé le temps long. Le passage dans la forêt s’étire en longueur. Beaucoup trop pour moi en tout cas, sans que ça n’apporte grand-chose au récit. Ce qui m’amène à un point plus gênant : les maladresses d’écriture/ Le départ de Ron n’apporte rien à l’histoire, même si dans le livre, on voit sa fuite seul, ça n’a aucune réelle incidence sur le récit. S’il était resté, et avait continué d’assister à ce qu’il pense être un rapprochement entre Harry et Hermione, il aurait tout aussi bien pu surgir pour sauver harry dans la nuit et être tenté par l’horcruxe. Voilà déjà un point qui me semble peu pertinent narrativement, en plus d’être prévisible. Prenons le cas Doby à présent. Voilà un personnage qu’on a à peine croisé depuis l’épisode 2, et qui réapparait pour sauver la situation et provoquer une séquence émotion (un peu facile). Pourquoi ne pas avoir plutôt utilisé l’un des nombreux personnages présents dans les premières scènes du film ? J’ai vraiment eu l’impression que le but était de mettre le plus de personnages possibles, pour faire un clin d’œil au fan, sous forme d’un bon gros coup de coude pas très subtil dans les côtes. Je me suis également demandé si Yates avait laissé le soin à un assistant réalisateur de réaliser la poursuite entre le trio et les raffleurs. Cette scène est illisible, alors que les passages d’action précédents étaient bien mieux mis en scène. Bizarre. Finalement, j’ai été déçu par ce film, car les trois premiers quart d’heure m’avaient donné l’impression que j’allais assister à un divertissement d’égale qualité sur 2h30, or le reste m’a paru nettement moins maîtrisé, tant en matière de rythme que d’écriture. J’imagine que ces travers seront moins présents dans le prochain film !

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  2. WHOUAH Léo, quel message. On dirait moi. ;)
    Merci d'être passé par mon site et de toujours me lire. Ça fait toujours autant plaisir, à moi et à mon regard de graphiste. Merci pour la "fraicheur de mes avis", je ne m'en rend pas compte mais j'essaye de faire au mieux et un peut différent de ce que l'on a l'habitude de trouver donc thanks, big time.
    Sinon pour Potter, je me doute que nous ne pouvons avoir tous aimé. C'est impossible com toujours. Par exemple, j'ai adoré le 3e film (com le bouquin), alors que certains ont détesté. D'ailleurs je l'ai revu hier avec bonheur et ai pu réalisé que je l'aimais toujours autant, même après le 7 part1. Je me suis d'ailleurs lancé dans un re-visionnage de tous les films Potter en ma possession. Après avoir vue le dernier au ciné, l'envie de me replonger dans toute cette mythologie à la source fut trop forte. Les deux premiers com toujours étaient en deçà et le jeu de Radcliffe bien plus approximatif. Mais cela m'a permis de mieux apprécier son travail dans les suivants où il s'est réellement amélioré. Certes, cela ne vaut néanmoins pas Rupert Grint (Ron Number One Fan... lol).
    Pour en revenir au 7 part1, je comprends ce qui ne t'a pas plus même si comme tu le dis toi-même c'est plus par rapport au livre. Je m'estime alors d'autant plus heureuse de ne pas avoir ressentie la longueur et, au contraire, de vouloir retourner au plus tôt au cinéma pour vivre 2h30 de Pottermania assidue.

    Enfin, je ne sais pas si tu as eu l'occasion de lire l'issue 1 du BOOK 2 de Kick-Ass. Si oui, j'espère que tu as apprécié. Pour ma part, j'ai passé commande de la 2e issue qui est normalement sortie fin novembre, donc ne devrait plus tarder à débouler dans ma boîte aux lettres. :)

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  3. Et merci d'être venu à bout de mon LONG post/Review sur Potter, parce que je sais que cela peut en rebuter certains. Mais je n'arrive pas à m'arrêter. C'est plus fort que moi. Et pourtant, j'essaye de me limiter. Vraiment. :)

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  4. Je pense que la saga harry potter avait un potentiel fou, et qu'au final, il n'aura pas été pleinement atteint, et c'est dommage. Mais il y a aussi beaucoup d'éléments très réussis tant dans les livres que dans les films.
    Pour kick ass, j'ai lu l'épisode 1 du colume effectivement. Je pense qu'il est encore un peu tôt pour se prononcer. Il me semble que je t'avais donné mon avis d'ailleurs sur le post dédié à ce sujet. Quand j'ai lu le volume 1, je n'ai pas été très enthousiaste. J'ai adoré le côté ultra sanglant, le second degré également. Mais j'ai eu du mal à m'attacher à dave, notamment à cause du dessin de romita jr, dessinateur que j'adore pourtant. Puis j'ai vu le film, et j'ai trouvé que l'ensemble fonctionnait beaucoup mieux sous ce format, et l'absence de gore ne m'a finalement pas dérangé. Les personnages sont plus attachants, et la fin fonctionne beaucoup mieux, avec cette scène folle du jetpack, plus en phase avec le ton du récit. J'ai par contre préféré les origines de big daddy dans le comic, bien plus mordantes. Du coup, j'ai relu l'intégralité du volume 1 que j'ai bcp plus apprécié avec le recul.
    Pour le volume 2, je pars peu enthousiaste, à cause d'une narration qui, me semble-t-il, peine à instaurer une vraie dramatisation. Et j'ai trouvé les dialogues assez mauvais (alors que c'est habituellement un des points forts de millar pour moi), avec des fuck tous les 2 mots... C'est marrant au début, mais c'est vite limité. ça ne m'empêchera pas de lire la suite, en espérant être agréablement surpris! J'ai d'ailleurs commandé ches disposableheroescomics, comme tu me l'avais suggéré (ils ont également un site internet où les prix sont moins élevés que sur ebay) et j'en suis très content!

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  5. eh bé y a déjà du contenu donc moi je vais être synthétique soeurette. Voilà on est aller voir HP mardi soir enfin! et on a pas été déçu par rapport aux épisodes précédents, celui-ci était plus profond pour le film, bien traité et c'est passé super vite. A la fin du film, j'ai vraiment dit "Déjà!!!".
    Ca promet pour le dernier, vivement vivement.
    Il nous a tenu en haleine, intense, ouai les musiques rajoutaient de l'intensité. Sombre mais c'est l'histoire, véritablement pas un film pour enfants, plus du tout!! avec à la fois des moments drôles, bien tourné, bien joué.

    Résultat très positif.

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  6. Merci sœurette, contente que tu es pu enfin le voir et encore plus que vous l'ayez tous les deux aimé (même Aurélien). :)
    J'espère que tu as lu tout mon post, pour une fois. Il est long mais moins que pour d'autres films. C'est surtout beaucoup de photos et encore j'ai fais pas mal de montages (merci totoshop !!!). J'ai mis du temps à récupérer et monter tout ça. Surtout concernant Ron et Hermione, que j'adore. :D
    On était pareil à la fin du film. Moi j'avais envie d'enchaîner avec la suite. 8 mois, c'est trop long. GRRRRR.
    Pour le "bien joué", tu parles plutôt des acteurs qui jouent Ron et Hermione ??? Parce que pour ma part, il manque tjrs un petit qq chose avc Daniel Radcliffe. Même s'il s'est énormément amélioré en 7 films.
    VIVE RONALD WEASLEY !!!!!

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  7. Je ne dirais pas que le film est meilleur que le livre, car par exemple le chap. 7 "The fallen warrior" est intense et extrêmement émouvant, or cela est perdu à l'écran quand on nous annonce "simplement" que Mad Eye est mort. Mais je l'ai trouvé très bon, comme tu le sais puisque tu as lu ma critique ^^
    Je comprends ceux qui trouvent les scènes dans la forêt longues, mais il faut que ces personnes comprennent que c'est volontaire et nécessaire. Harry et Hermione passe des semaines seuls avant que Ron ne reviennent pas exemple, par juste quelques jours!! Il faut que le spectateur ressente la lenteur, la lourdeur de la situation, le sentiment des personnages de ne pas avancer, de piétiner... Il FAUT obligatoirement une certaine lenteur dans le film, ce n'est pas un défaut (mais je conçois que tout le monde ne peut pas apprécier). Certains avaient fait les mêmes reproches au livre.

    Sinon, moi aussi j'adore le 3ème film!! :))

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  8. J'ai tout à fait compris le parti-pris, je trouve juste que c'est inutile et qu'on reste dans une psychoogie simpliste. Il n'est pas nécessaire de faire long pour faire dense et profond, que ce soit en cinéma ou en littérature.

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