dimanche 1 novembre 2009

AVATAR by James Cameron


Enfin une vrai bande annonce à se mettre sous la dent pour satisfaire ma curiosité à propos de la dernière création du réalisateur de Titanic et Terminator. Tout comme pour ce dernier, il a complètement inventé toute une mythologie et à la vue des premières images. That sounds SO FUCKING GOOD! Bon OK, on sent le grand panflait écologique à force de visuels magnifiques, lieux idylliques que l'homme vient détruire avec ses grosses boots, toujours persuadé que tout lui appartient. On sent la grosse métaphore de ce que nous sommes en train de faire avec notre propre planète. Mais bon, wait and see.
La première raison qui m'a poussé vers ce film est un acteur. C'est comme dans la vie, qu'est-ce qu'ils ne nous font pas faire ces hommes ? Le mec à suivre, jeune acteur australien de plus en plus demandé par Hollywood : Sam Worthington. Retenez bien ce nom, car ce gars-là est promis à une grande carrière. Enfin, s'il ne merde pas trop par la suite. Prenons l'exemple de Clive Owen, acteur anglais propulsé entre autre par Sin City (et splendide dans Les fils de l'homme, passé hélas inaperçue) et qui ne participe depuis qu'à des films ricains d'espionnage aux scénarios plus identiques les uns que les autres.
Espérons donc que Worthington n'en fera pas de même. Avec son rôle de mi-homme mi-machine dans Terminator Salvation il a su nous émouvoir et même nous faire verser une petite larme pour cet anti-héros qui a complètement éclipsé John Connor (supposé héros de la saga) alias Christian Bale qui n'a pourtant plus à prouver son talent. Comme quoi, il faut perpétuellement se remettre en question et ne jamais considérer tout comme acquis.
Si l'interprétation de l'australien est aussi bonne dans Avatar, cela promet un bon moment en perspective et un acteur de plus sur qui compter dans le futur étoilé du cinéma.
Allez faire un tour sur le site officiel, il est vraiment différent de ce que l'on peut trouver en général pour ce genre de film grand spectacle/grand budget. Un côté très "écologique" avec ses grandes photos de paysages made in ordinateur en plein écran.

Et un making-of pour mieux comprendre tout ça (merci au site excessif.com) :

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