Pleins de bon sens ce cher regretté Bob Marley. Il est vrai que parfois tu n'as pas le choix, tu dois te dépasser et trouver de la force où tu n'aurais jamais imaginé. Parce que nous sommes bien plus fort et courageux que nous le pensons.
mercredi 27 juin 2012
mardi 26 juin 2012
Blogueur du jour de Paperblog, le 26 juin 2012
Aujourd'hui j'ai eu le plaisir de recevoir un mail d'une certaine Audrey de Paperblog qui me félicitait pour "la qualité de mes articles" et m'informa que j'ai été choisi par l'équipe du site pour être le blogueur de cette journée du 26 juin 2012.
Je me retrouve donc en première page du site, dans la rubrique Les Communautés. Ce qui nous amène ensuite sur ma page AndersonMother (sans le "s" au milieu apparemment) où son regroupés mes différents posts. Les lecteurs peuvent ainsi les voir et lire sur le site de Paperblog et après (j'espère) décidés de poursuivre l'expérience en allant cette fois sur mon blog à proprement parler.
Pour ceux qui ne connaissent pas, Paperblog c'est un moyen de gagner en visibilité pour votre site. En effet, chaque article que vous publierez sur votre blog est ensuite analysé, classifié puis publié sur Paperblog. Ainsi, vous pouvez être découvert et lu par des personnes qui n'auraient jamais atterri sur votre site sinon.
Ils ont également mis en avant mon blog sur la page Facebook, ainsi que sur leur compte Twitter, présentant l'un de mes derniers posts concernant le travail de l'artiste Annie Vought.
Merci Paperblog pour cette mise en avant inattendue de mon cher blog. Je suis toujours agréablement surprise de savoir qu'il plaît et contente de savoir que les gens prennent plaisir à me lire.
lundi 25 juin 2012
Paper Butterfly Art, by Rebecca J. Coles
Encore une autre découverte via Fubiz.net, cette fois d'une artiste anglaise : Rebecca J. Coles. Le moins que l'on puisse dire c'est qu'elle fait preuve d'une patience incroyable, découpant ces mini papillon en quantité industrielle que ce soit dans des timbres, des papiers de couleurs ou aux motifs divers et variés, mais aussi du texte. Je vous conseille grandement d'aller faire un tour sur son site officiel qui regorge de quantité de photos de ses créations. D'ailleurs excellent travail du webmaster (la petite agence digitale Ghost) responsable de la conception du site. La façon que les différentes photos sont agencées en patchwork est simple mais efficace et très agréable à l'œil.
Mais Rebecca J. Coles n'est pas la seule à avoir la folie des butterflies. En effet, on pourrait également citer le travail de son compatriote le provocateur Damien Hirst qui créait à ses début de charmantes fresques colorés à bases de papillons. Rien à voir avec les "oeuvres" subversives qu'il s'entête à produire actuellement. Un rapide googleage de son nom vous donnera une idée.
On peut également citer le travail de l'américain Paul Villinski qui représentent le papillon à base d'une quantité pharaonique de ses petits semblables, mais aussi pour créer quelque chose de totalement différent comme un mot. Il varie les matériaux : papier, plastique, vinyl, etc... Il part également d'un objet tel une platine vinyl, une guitare, un violoncelle d'où s'échappent tous ces papillons.
dimanche 24 juin 2012
Ma Première Fois - My Review
Synopsis (AlloCiné) : Zachary a 20 ans. Sombre et indépendant, il collectionne les conquêtes amoureuses et les échecs scolaires. Sarah a 18 ans. Première de la classe, fragile, elle comble ses manques affectifs grâce à une maîtrise parfaite de sa vie. Rien ne devrait les rapprocher et pourtant, l’année du bac, durant six mois, ils vont vivre un amour contre lequel on ne peut rien, le vrai, le grand, celui qui marque une vie pour toujours.
Attention à la présence de SPOILERS sur l'intrigue. Si vous lisez la suite sans avoir vu le film, c'est à vos risques et périls. Je vous aurais prévenu.
Parce que des jolis gens dans un joli décor de fucking hipsters, avec des mouvements de grue de malade qui coûtent la moitié du budget ça ne fait pas pour autant un bon film. Sans parler des dialogues cousus de fil blanc. Les acteurs sonnent faux à chacune de leur tirade. Bon pour corser un peu les choses, on ajoute une meilleure amie suicidaire. Mais elle se loupe, alors c'est pas si pire. En même temps avec un titre comme ça on pouvait s'attendre à du cucul la praline mais la bande annonce n'avait rien laissé présagé. L'abus de bougies en trop de circonstances. La putain de scène de kiss sous la pluie. Le gentil beau-papa à lunettes (super hip) super compréhensif (Vincent Perez) versus la méchante maman/Mouloud publicitaire (Judith El Zein). La perte de virginité florale de la demoiselle, parfaitement orchestrée par son chéri d'amour. La fille studieuse qui tombe amoureuse du méchant garçon dont l'amour, le vrai, va le changer à jamais.
En écrivant ces lignes je réalise combien tout ceci a un GROS air de A Walk To Remember. Jusqu'à sa fin tragique. Ce n'est pas parce que vous tuez l'un des deux amoureux que cela fera un bon film. C'est vu et revu. Entre le film précédemment cité, Titanic, Brokeback Mountain, The Constant Gardener, Moulin Rouge, Romeo + Juliet, Love Story, Ghost, Se Souvenir des belles choses, Le Voile des illusions, Liaisons dangereuses, Philadelphia, P.S I Love You, Neverland, Atonement (pour ne citer qu'eux) sont déjà passés par là, en faisant un bien meilleur travail. Finir par le drame n'en fait pas un chef d'œuvre. Il est plus facile de faire rire que de faire pleurer. En voici encore un parfait exemple. Et puis le faux suspense de qui va y passer... Sérieusement. Dès les premières secondes du film, on a la réponse à cette question. Et ne parlons pas de la scène d'adieux sur le lit de mort où cette dernière à le temps de dire tout avant son dernier souffle. On se croirait dans un mauvais western ou un film de guerre patriotique. Donc, vous l'aurez compris, une grosse déception. Ce n'est pas avec ce film que le cinéma français va remonter dans mon estime. Heureusement qu'il y a La Délicatesse, Intouchables, Polisse ou récemment De Rouille et d'Os pour remonter un peu le niveau.
En écrivant ces lignes je réalise combien tout ceci a un GROS air de A Walk To Remember. Jusqu'à sa fin tragique. Ce n'est pas parce que vous tuez l'un des deux amoureux que cela fera un bon film. C'est vu et revu. Entre le film précédemment cité, Titanic, Brokeback Mountain, The Constant Gardener, Moulin Rouge, Romeo + Juliet, Love Story, Ghost, Se Souvenir des belles choses, Le Voile des illusions, Liaisons dangereuses, Philadelphia, P.S I Love You, Neverland, Atonement (pour ne citer qu'eux) sont déjà passés par là, en faisant un bien meilleur travail. Finir par le drame n'en fait pas un chef d'œuvre. Il est plus facile de faire rire que de faire pleurer. En voici encore un parfait exemple. Et puis le faux suspense de qui va y passer... Sérieusement. Dès les premières secondes du film, on a la réponse à cette question. Et ne parlons pas de la scène d'adieux sur le lit de mort où cette dernière à le temps de dire tout avant son dernier souffle. On se croirait dans un mauvais western ou un film de guerre patriotique. Donc, vous l'aurez compris, une grosse déception. Ce n'est pas avec ce film que le cinéma français va remonter dans mon estime. Heureusement qu'il y a La Délicatesse, Intouchables, Polisse ou récemment De Rouille et d'Os pour remonter un peu le niveau.
La phrase de la réalisatrice Marie-Castille Mention-Schaar : "C’est une histoire qui m’est proche puisqu’elle raconte beaucoup de choses de ma première histoire d’amour – ma grande histoire d’amour. Je suis une absolue romantique..." Et bien moi aussi je suis une éternelle romantique à tendance ULTRA fleur bleue, mais comme dirait ma mère faut pas pousser mémé dans les orties. Il y a une limite à la décence. Il faut croire que je n'ai pas été touché par la grâce de l'amour pour comprendre à sa juste valeur ce fameux film. À vous de juger.
samedi 23 juin 2012
Handcut Paper, by Annie Vought
Voici une nouvelle découverte artistique à base de typographie faite grâce au site Fubiz.net. Si vous fréquentez un tant soit peu ce site, vous savez que ce n'est pas la première fois que je partage avec vous une de mes trouvaille by Fubiz.
Ici donc il s'agit de travaux réalisés par la californienne Annie Vought. Aujourd'hui nous ne communiquons plus que par des moyens qui impliquent une réponse des plus instantané que ce soit par e-mail, SMS, messagerie instantanée, Facebook et autre Twitter. Cela nous permet de répondre en temps réel à un être cher, qu'il soit à côté de nous ou à l'autre bout du monde. Mais nous avons en contre partie perdu le contact du papier, tangible et la force de notre propre écriture. La calligraphie, le choix des mots et l'orthographe révèlent à travers eux l'auteur, malgré lui.
C'est ainsi qu'elle est partie de sa propre correspondance, qu'elle a taillé durant les quatre dernières années, à partir de lettres trouvés, écrites ou reçues. Elle a élargi des documents sur un nouveau morceau de papier et retiré les espaces négatifs à l'aide d'un cuter Exact-o. L'écriture et les lignes de soutiennent la structure du papier découpé, en le gardant fort et sculpturale, en dépit de son apparente fragilité. Elle s'est ainsi concentré sur le texte, la structure, et l'émotion de la lettre. La calligraphie, le choix des mots et l'orthographe tout cela contribue à identifier qui est cette personne. En recréant ces lettres est une sorte d'extension sur la vie des gens et la façon dont ils expriment leurs pensées à travers l'écriture.
Propos recueillis sur le site de l'artiste.
vendredi 22 juin 2012
De rouille et d'os - My Review
C'est intense. C'est brute. C'est particulier. C'est de Audiard. Le goût de la rouille comme celui du sang dans la bouche. Et l'os brisé, sectionné. Comme ceux que se fracasse Matthias dans les combats, ou les jambes que Marie perd. Deux âmes brisées, au sens propre comme au figuré, qui se trouvent, apprennent à s'apprivoiser, puis s'aimer.
Très beau travail de réalisation et de photographie notamment au niveau de l'utilisation des ralentis et du traitement de la lumière. Le chef opérateur à bien fait sa job. Chapeau également pour le travail d'intégration, ou plutôt de disparition, des jambes dont tout le monde parle.
Quant à Marion Cotillard, après La Môme elle prouve encore une fois combien elle peut donner à un personnage au point que l'on en oublie l'actrice. Ici elle est loin d'être présentée à son avantage. Pas autant par l'absence de jambes mais plutôt de maquillage et autre brushing. Elle est brute de naturel, au même titre que son partenaire, la révélation. Et tout les deux brillent de leur imperfection.
CONCLUSION : Un film français brute, touchant et humain porté par ses acteurs au diapason, et mis en images avec perfection par Audiard.
jeudi 21 juin 2012
Timelapse panoramique de Fenêtre sur Cour, by Jeff Desom
Voici une création de Jeff Desom qui a grand renforts de Photoshop et d'After Effects (ça donne envie d'apprendre à se servir de ce logiciel) a crée ce qu'on appel un timelapse panoramique (sorte de reconstitution des scènes en temps réél) du film d’Hitchcock : Fenêtre sur Cour (Rear Window). Il a réussi à reprendre toutes les parties des différents appartements que l'on peu voir depuis la fenêtre du héros du film interprété par James Stewart. Il les a ensuite assemblé et mis bout à bout, en suivant (surprenamment) l'ordre chronologique du film. Et voici le résultat.
Je vous conseille d'aller faire un tour sur son site officiel pour trouver encore plus d'explications sur le comment du pourquoi de ce petit film, hommage au chef d'œuvre du maître du suspense.
C'est une découverte que j'ai faite par l'intermédiaire du site Vodkaster.com.
vendredi 1 juin 2012
The Newsroom, affiche et trailers
Voici une nouvelle série made in HBO que j'ai vraiment hâte de découvrir pour la simple raison que c'est une nouvelle création du génie Aaron Sorkin à qui l'on doit la brillante série À la Maison Blanche (The West Wing) et dernièrement le film The Social Network. Il s'agit donc d'une série qui commence le 24 juin et qui s'appelle The Newsroom (la salle de rédaction).
L'histoire se déroule dans les coulisses de la fiction Atlantis Cable News (ACN) et des centres autour de du pilier de l'émission Will (Jeff Daniels), autour de lui gravitent son nouveau producteur exécutif Mackenzie MacHale (Emily Mortimer), Maggie (Alison Pill), Jim (John Gallagher, Jr.), Sloan (Olivia Munn), Neal (Dev Patel aka Mr Slumdog Milionnaire), Don (Thomas Sadoski), et leur patron Charlie Skinner (Sam Waterston). Et cerise sur le gâteau, Jane Fonda (Leona Lansing) dans le rôle de la CEO d'Atlantis World Media, la société mère d'ACN.
Entre Sorkin et le super casting, tout ceci était déjà des plus alléchants sur le papier. Et en voyant ensuite les bande annonces si dessous, des plus dynamiques autant de par le montage que par la force des dialogues et de leurs interprètes, je suis plus qu'impatiente. Cela me rappel l'énergie du film de Facebook, ou de la série politique. Ce qui promet que du meilleur pour la chaîne câblé et le paysage audiovisuel en général.